Balade du 9 et 10 Février 2019 dite balade des courtes pattes

Mes chers .......mes chères......., .......,......ETC

Après les incohérences prononcées sans complexes concernant le  chlordécone par Macron et la reculade sur la suppression du glyphosate  sous prétexte de mettre en "péril" des "filières" alimentaires, soyons rassurés ils ont tout compris sur nos attentes. 

Rappel: pour Macron le chlordécone n'est pas cancérigène. Interdit aux états unis en 1975, en France métropolitaine à partir de 1980, il a été autorisé d’épandage aux Antilles jusqu'en 1993. Le chlordécone dont les "souillures" ont une durée de vie de plusieurs siècles, ont pollué les terres Antillaises (plus de 95% des terres impactées). En exposant les ouvriers agricoles des bananeraies, en refusant de reconnaître les cancers de la prostates, les leucémies liés de façon certaine au Chlordécone comme maladies professionnelles, en refusant toute politique de protection et de soutien face à ce désastre sanitaire annoncé, le scandale du Chlordécone et ses répercussions ne sont pas qu'un énième épisode des conséquences de la lutte des grands lobby de l'industrie agricole. Maximiser les profits et conforter les positions dominantes sur la filière au nom d'un productivisme nimbé de rationalité devant assurer sécurité des ressources et un travail efficient pour tous en est la conséquence et la justification. Il est aussi le symbole de la perte d'égalité face à la souffrance et à l'exposition des risques et des dangers acceptables suivant son extraction.  Le triomphe du productivisme, de la libre entreprise et de l'exploitation du travail pour le bien des travailleurs peut être un paradigme définissant la notion de modernité et de progrès. A ce niveau, Macron, président des super modernes ou des seuls qui le sont par leur richesse et leurs signes de distinction affichés, progressiste auto-proclamé, définit ce que sont les réformateurs à ces yeux. Un oxymore de la dynamique civilisationnelle. Se désengager et laisser libre cours à l'égoïsme, la cupidité, l'avidité et l'agressivité à quelques uns des grands "mâles" dominants, voilà la dernière et unique action politique digne, au nom d'un "contrat de confiance philanthropique" de redistribution, d'assurer par ruissellement le bien-être de tous. L'établissement des nouvelles lois de régulations de notre vivre ensemble découlera seul de l'ordre de bataille que tout un chacun devra tenir dans les luttes incessantes aux places de domination économique et de monopole qui assureront l'aiguillage des richesses produites vers leur seul profit. Est ce un "projet de société", au jour de l'échéance mortifère du réchauffement climatique? Si ce n'est, que d'accepter de façon réfléchie, que ces détournements aboutissent à permettre de créer les oasis de leur survie et de leur confort pendant que les hordes de souffreteux seront considérés comme des nuisibles dont l'existence met en péril même leur pérennité. Ne vous y trompez pas. Ce sont les prémisses de la prochaine extinction massive de l'humain pilotée au nom d'une inutilité de l'homme au service des "dominants". Je sais c'est polémique mais le nier serait une erreur. Croire à la théorie du ruissellement, de la sélection compétitive et du darwinisme social est peut être objet de débat, de choix et d'enjeu démocratique. à condition d'en révéler la doctrine eugénique. Mais effacer l'idéologie du discours, en interdire la remise en cause et la discussion rhétorique qui l'accompagne et donc la proposition d'autres choix, c'est dénier le contrat "démocratique". Interdire d'en discuter sous prétexte de rationalité, serait en faire une "totalité", les prémisses d'un totalitarisme, dont la loi anticasseur serait le premier outil de musellement, non de manifestants violents, prétextes à son établissement mais des déviants idéologiques et dogmatiques proposant d'autres "dynamiques de régulations sociales non fondées sur la soumission et la domination". Premier round.

Deuxième round. En réfutant la dimension cancérigène du chlordécone, Macron passe le du cap déni de gravité du au fait que les populations touchées ne sont que celles de "sans dents", de travailleurs pauvres, noires et antillais de surcroît, populations bonnes qu'à être sacrifiées puisque superflues. Voilà la note nauséabonde, de façon sous-jacente et masquée, racialiste, colonialiste de son discours qui porte en elle aussi la note génocidaire. Les 5000 morts en Méditerranées, les Rohingas, les massacres en Syrie et en Libye, donne un avant goût de la démonétisation de la vie humaine, de la dés individuation que les hommes ne rentrant pas dans le schéma expiatoire qu'on leur propose, gagne.

Qui chez lui est toujours accompagné d'une paternalisation de la parole tenue.

Le chlordécone: (insecticide cancérogène, perturbateur endocrinien, ... dans le sud de la Basse-Terre, zone d'exploitation de la banane dont la population subit une sorte d'épidémie de cancer dont celui de la prostate et de la leucémie plus les troubles de fertilité)

Pendant plus de deux décennies, le chlordécone, un insecticide ravageur, a contaminé la quasi totalité de la population antillaise. Malgré son interdiction définitive il y a 25 ans, ce puissant perturbateur endocrinien utilisé dans les bananeraies ne disparaîtra pas des sols de Guadeloupe et de Martinique avant plusieurs siècles. Les premiers touchés sont les ouvriers agricoles. Ils sont pourtant les grands laissés pour compte de ce scandale sanitaire. Certains ont décidé de lever le voile sur leurs conditions de travail. Ils veulent que leurs problèmes de santé, dont de nombreux cancers de la prostate et leucémies, liés aux différents pesticides employés et à la pénibilité du métier, soient enfin reconnus comme maladie professionnelle. https://www.bastamag.net/En-Guadeloupe-les-ouvriers-de-la-banane-malades-d-un-pesticide-devastateur

STOCAMINE

Stocamine, « une bombe à retardement » en Alsace

Les déchets dangereux enfouis dans le centre de stockage Stocamine à Wittelsheim (Haut-Rhin) devraient être extraits « si cela est techniquement possible », selon un rapport parlementaire.

Quelle est l’activité du site de Stocamine ?

Qu'est-ce que Stocamine?

La société Stocamine, filiale des Mines de potasse d'Alsace, a été créée dans les années 1990 afin d'utiliser la mine de Wittelsheim, près de Mulhouse, dans le Haut-Rhin, comme site de stockage souterrain de déchets dangereux non radioactifs. Cette reconversion visait notamment à permettre une création d'emplois et à utiliser une partie des infrastructures existantes. Ce stockage avait initialement été présenté comme «réversible» et temporaire.

Au départ, le projet ne devait concerner que les déchets de classe 0 - dont le danger est tel qu'ils doivent être enfouis - issus de toute la France, faisant de Stocamine le seul site capable d'accueillir ces déchets. Leur quantité a toutefois été estimée trop faible pour rentabiliser ce stockage. Celui-ci a donc été étendu aux déchets de classe 1 - déchets dangereux pouvant être stockés dans une installation - venus d'Alsace. Le site de stockage a ouvert en 1999.

Peu rentable et confronté à plusieurs incidents, il sera exploité seulement quatre années: un incendie survenu en 2002 dans un bloc contenant plus de 1800 tonnes de déchets signe la fin définitive de la société, dont le directeur a été définitivement condamné en 2009 pour violation manifestement délibérée des règles de sécurité résultant du code du travail. Au total, 42.000 tonnes de déchets y ont été déposées jusqu'en 2002. Parmi les substances qu'ils contiennent, on trouve de l'arsenic, du cyanure, du mercure ou encore de l'amiante.

Que s'est-il passé depuis la fin de l'exploitation?

Le site est situé à proximité de la nappe phréatique d'Alsace, l'une des plus grandes étendues d'eau en Europe, dont l'éventuelle contamination inquiète les habitants et élus locaux. Différentes études ont été menées, à partir de 2004, pour gérer le futur du site et cette problématique. Une alternative se présente: confiner les déchets enfouis sur place, ou envisager un désenfouissement partiel ou total. Les ministres de l'Écologie successifs ont pris acte des diverses conclusions d'experts et ont engagé certaines démarches, jamais suivies de décision politique jusqu'en 2012.

Le site de stockage en septembre 2002, au lendemain de la fin de l'incendie qui a couvé pendant plusieurs jours.

En 2012, un déstockage partiel est décidé: un peu plus de la moitié des déchets mercuriels doivent être retirés, le reste confiné. La ministre Ségolène Royal, qui a succédé à Delphine Batho, validera finalement en 2014 un projet de retrait de plus de 90% des déchets contenant du mercure, après une concertation publique. Les déchets contenant du zirame, un produit phytosanitaire soluble dans l'eau et qui risquerait de contaminer la nappe phréatique, seront par la suite ajoutés au projet.

Entre 2014 et 2017, plus de 2300 tonnes de déchets ont ainsi été retirées du stockage. Pour ce faire, plus de 10.000 autres tonnes ont dû être déplacées. Le montant de l'opération s'est élevé à 42,3 millions d'euros, auxquels il faut toutefois ajouter un coût supplémentaire estimé à 44 millions d'euros au minimum, précise le rapport de la mission information des députés.

• Pourquoi cette décision intervient-elle maintenant?

Malgré les procédures engagées, la question de l'avenir restait à trancher. Le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot avait notamment demandé une nouvelle expertise indépendante, en 2018, concernant le temps nécessaire à un déstockage.

La mission d'information des députés a étudié les différentes options de sortie du problème: système de confinement ou déstockage - partiel ou total. L'option d'un déstockage engendre d'autres risques concernant notamment le transport de ces déchets et le danger pour les personnes y travaillant. Dans leur rapport publié en septembre, les députés recommandaient en conséquence une décision «dans les trois mois» et préconisaient «de déstocker l'ensemble des déchets, à l'exception du bloc 15», ce dernier devant être soumis à une évaluation des risques.

Selon un document du ministère de la Transition écologique dont l'AFP a obtenu une copie, lundi, le gouvernement a décidé de ne pas suivre ces recommandations. «Compte tenu des enjeux, de la balance des risques» et du «surcoût» lié au déstockage, «la solution la plus adaptée demeure la poursuite du chantier de confinement des déchets restants, sans déstockage supplémentaire», indique le document adressé aux députés auteurs du rapport. En d'autres termes, le ministre de la Transition écologique François de Rugy estime que les risques humains et environnementaux engendrés par un déstockage sont plus élevés que ceux engendrés par un confinement des déchets sur le site.• Quelles réactions?

Le député LaREM du Bas-Rhin Vincent Thiébaut, président de la mission parlementaire, a salué une «décision pragmatique et responsable». Une position éloignée de celle de ses collègues, comme celle du député LaREM du Haut-Rhin, Bruno Fuchs, coauteur du rapport, qui «condamne» ce choix. Son collègue également coauteur, Raphaël Schellenberger, député LR dans le même département, a également fustigé une «décision scandaleuse». Le président (LR) de la région Grand Est, Jean Rottner, a dénoncé un choix «incompréhensible et inacceptable» qui «va à l'encontre de toute logique environnementale». Neuf élus alsaciens ont également contesté cette décision, mardi, dans un communiqué commun. À l'échelle nationale, l'eurodéputé écologiste Yannick Jadot s'est dit «indigné» par cette annonce.

L'association France Nature Environnement a ironisé sur le fait qu'en renonçant à un déstockage, «l'État renonce à assurer la sécurité sanitaire et environnementale du Grand Est». Dans un communiqué diffusé mardi, l'association de protection de l'environnement, a fait part de ses inquiétudes. «Si en moins de 10 ans, il n'arrive pas à garantir la sécurité de stockage de déchets dangereux, il n'est pas en mesure de garantir la sécurité du site d'enfouissement de déchets nucléaires à Bure où le stockage est prévu pour au moins 120 ans», dénonce notamment le président de l'association. Le collectif Destocamine , en première ligne contre le projet de confinement, a également dénoncé un non-respect du principe de précaution, auprès de Reporterre.

» LIRE AUSSI - À Bure, un tombeau nucléaire pour l'éternité

• Quels sont les risques?

Tout le problème autour de Stocamine vient du fait que les galeries de stockage sont situées sous la nappe phréatique d'Alsace. Cette étendue d'eau, parmi les plus grandes d'Europe, se prolonge en Allemagne et en Suisse et fournit la quasi-totalité des besoins en eau potable de la plaine du Rhin. Or, parmi les substances toxiques présentes dans les déchets entreposés dans l'ancienne mine, certaines sont solubles dans l'eau. Toute infiltration ferait donc courir le risque d'une contamination.

Le site de stockage des déchets est installé quelques centaines de mètres en-dessous de la nappe phréatique d'Alsace.

«On sait ce que valent les confinements, aucun ne peut être garanti à 100%», dénonce Daniel Reininger, président de l'association Alsace Nature, association locale affiliée à France Nature Environnement. Sa position résume la défiance exprimée localement, et dont la mission parlementaire se fait l'écho dans son rapport, soulignant qu'elle a été «nourrie par les erreurs commises lors des expertises passées sur la nature des déchets stockés ou l'impact du projet de stockage sur l'environnement».

Si les habitants et associations reconnaissent qu'il ne s'agit pas d'un risque immédiat, ils dénoncent l'absence totale de garantie et le fait que la seule solution mettant fin au problème serait de retirer les déchets pour les placer dans des centres de stockage en Allemagne, où une dizaine de sites de stockage similaires existent et ne se situent pas à proximité immédiate d'une nappe phréatique. «C'est du long terme. Mais comme toujours, ceux qui ont pris ou prennent les décisions ne seront pas là pour répondre des responsabilités», fait valoir Daniel Reininger.

J'ai cité le Figaro pour vous montrez que je ne puise pas mes sources qu'à gauche même si mon cœur s'y trouve attaché comme vous tous. Non en fait c'est suite à un reportage TV et une recherche rapide de 5 minutes sur internet. Via Google, guidé par ses algorithmes sélectionnant pour moi la pertinence des sources et la paresse de ne pas aller au delà de deux pages de consultations, on tombe en tapant STOCAMINE, sur le site du Figaro et sur un article concernant ce sujet. et là je dis attention  DANGER. Si même le FIGARO nous signale STOCAMINE  comme un scandale, alors c'est que cela doit être chaud patate!!!

Situé en Alsace, au nord-ouest de Mulhouse, le centre de Stocamine, dépendant à la fois de l’entreprise Mines de potasse d’Alsace et de l’État, est le seul « centre d’enfouissement de déchets industriels ultimes en couches géologiques profondes », c’est-à-dire non recyclables et hautement toxiques, remisés dans les galeries d’une ancienne mine de sel gemme. À plus de 500 mètres sous la surface de la commune de Wittelsheim reposent en effet 23 000 tonnes de déchets dangereux de classe 1 (résidus d’incinération et amiantés), ainsi que 18 000 tonnes de déchets très dangereux (classe 0, à base de mercure, d’arsenic, de cyanure, de chrome et de pesticides).Ces déchets sont enfermés dans des colis déposés dans des galeries. L’air y est très sec, la température élevée (30 à 35 °C), l’eau théoriquement absente. Toutefois, un incendie « inattendu » survenu le 10 septembre 2002 dans l’une des galeries, très probablement à la suite d’une réaction chimique avec un « mélange indéfinissable » de pesticides et d’engrais, a libéré des gaz toxiques (dioxines, acide chlorhydrique, acide cyanhydrique…). Depuis, le site a cessé de stocker de nouveaux déchets.

Que préconise le rapport parlementaire ?

« Notre enquête a permis de mettre en évidence une succession d’erreurs et de dysfonctionnements dans la gestion du centre Stocamine, comme l’excessive assurance des ingénieurs, qui assuraient qu’un tel site était très stable et pouvait fonctionner durant 10 000 ans, ou l’entreposage de résidus de pesticides non autorisés, ou encore le risque de pollution de la nappe phréatique », observe Bruno Fuchs, député du Haut-Rhin (LREM) et corapporteur de la mission d’information créée au printemps 2018 (1). Des dysfonctionnements tels que le rapport préconise, en conclusion, d’extraire les déchets du site et de le fermer. « La priorité est de protéger la grande nappe phréatique qui, alors qu’elle est située bien au-dessus des tunnels de stockage, peut être polluée par des remontées d’eau polluée depuis les galeries », explique Bruno Fuchs.

Depuis des années, les élus locaux et les associations environnementales dont Alsace Nature et Consommation logement et cadre de vie (CLCV), réclament ce « déstockage des déchets ». Or, en mars 2017, l’État, par la voix du préfet, a opté pour la solution du confinement définitif d’environ 42 000 tonnes de déchets, les 2 200 tonnes restantes, riches en mercure et en zirame (un fongicide), devant être extraites. Mais en mai, le ministre de la transition écologique d’alors, Nicolas Hulot, a demandé au Bureau de recherches géologiques et minières (BRGM) une « étude sur la faisabilité d’un déstockage intégral des déchets hors le bloc 15 », où a eu lieu l’incendie de 2002.

Que va-t-il se passer maintenant ?

L’évaluation des ingénieurs du BRGM est en cours. Ils doivent donner leur réponse en octobre-novembre ». Après « autant d’années de non-décision » dans ce dossier, les parlementaires considèrent qu’une fois l’étude du BRGM rendue, une décision concernant l’avenir de Stocamine devra être clairement et rapidement prise par l’État.

Toutefois, si l’État décide de « déstocker », les déchets devront être transférés en Allemagne, dans d’anciennes mines de charbon, plus stables que celles de sel, car il n’existe aucun autre endroit en France en mesure de recevoir des déchets de classe 0, les plus dangereux.

Ne vous inquiétez de rien, soyez positifs de Rugy s'occupe de tout. MacrOn vous embobine et vous culpabilise. Il passe des contrats de confiance avec les plus riches qui s'autorégulent et freinent leurs appétits  pour se verser de justes salaires. Pendant ce temps, il met en œuvre une société de suspicions pour les plus "faibles", les "paresseux qui n'ont plus le sens de l'effort". Les "dominés", "les pauvres", les "bas salaires",  les "tas de merde", petits nom affectueux donnés par  les employés de banques aux titulaires de comptes à découvert, sont l'enjeu du maintien de l'ordre, de leur assignation à rester dans leurs cases (case comme celle de l’oncle Tom, celle dont on ignore volontairement la place, témoin de leur misère que l’on ne veut surtout pas voir),   symbole de la collectivisation de leur déchéance, de leur humiliation  privative de leur rêve de fraternité. Employés comme les gardiens de la paix, les forces dites de l'ordre et leurs gardes chiourmes, les employés de banque, sous-payés eux même n'ont d'avantages que d'avoir accès au salaire symbolique de la proximité aux technostructures représentants les possédants qui ont la peur au ventre de déchoir. (j'adore ces phrases longues comme le jour du débarquement sur les plages naturistes bondées des corps voluptueux des tentatrices offertes aux yeux de l'adolescent concupiscent hyper testostéroné que depuis mon traitement je ne suis toujours pas devenu. Le re de devenu n'étant pas de mise, n'ayant jamais été un soldat de l'amour en dentelle de la charge de la cavalerie légère américaine pour qui chevauchement amoureux est synonyme de "rut à bas gars", c'est à dire debout contre un mur. De toute façon, debout, à genoux ou rampant, je m’essouffle, j'ai toujours eu le genou et le rein fragile. c'est ainsi que j'ai édicté en loi civilisationnelle pour canidés, l'interdiction de chevaucher à cru ou tête bêche pour nos chers têtes à poil). Assumer de n'être qu'un nervi, outil de peur, de souffrance et de violence, se payent soit par le plaisir de faire souffrir soit par la culpabilité névrotique qui les habille, les cancérise et leur offre la possibilité de concourir au Clint Eastwood de la rédemption. Alors faut-il organiser le contrôle de la vie de ceux qui ont peur de perdre leur place sur le perchoir de leur domination ou se contenter d'emplâtres sur le pathétique de la nôtre. Faut-il jeter un œil sur leur compte en banque? Être témoin de leurs journées de paresse, de leur oisiveté, de leur peur de se faire "gauler" ou inconscient et sûr de leur impunité, les regarder se faire prendre à la glu de leur complexe de supériorité et de leur pathétique et outrecuidante nocivité.

Moralité 

Samedi salie sud 14h30 marche à 2 et 4 pattes pour se changer les idées, râler et profiter du presque printemps, 

Dimanche 9h46  salie NORD.

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