MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTES, MOUMOUS, MOUMOUTES, FOUFOUS, FOOFOOTS, PENALTY, COUP FRANC ET AUTRES PETARDS MOUILLES
Retour aux fondamentaux!
Week end de la fête du travail! jour de deuil national pour Antoine ou de commémoration mais de quoi?
La fête du Travail est le nom de plusieurs fêtes qui furent instituées à partir du XVIIIe siècle.
Au Canada et aux États-Unis, la fête du travail est un jour férié du mois de septembre
En Australie, elle est fêtée à différentes dates proches du printemps ou de l’automne.
Dans certains pays, comme la France, elle se confond avec la journée internationale des travailleurs, fête internationale instaurée à l'origine comme journée annuelle de grève pour revendiquer la journée de huit heures, qui devint au XXe siècle une journée de célébration des combats des travailleurs. Elle est célébrée le 1er mai dans de nombreux pays du monde et est l’occasion d’importantes manifestations du mouvement ouvrier.
Nous la fêterons donc plusieurs fois dans l'année par solidarité internationale et parce que travailleurs de tous les pays unissez-vous, vous êtes tous des exploités ou des chômeurs ou les deux à la fois, sauf les dealers, les travailleurs(ses) du sexes, ceux de l'image et surtout ceux de l'argent. Car nous sommes de l'époque ou l'argent travaille, votre banquier vous le dit tous les jours et comme dit la caisse d'épargne vous êtes ce que vos comptes sont. Macron aussi vous le dit , vous êtes ce que vos retraites sont, des anorexiques pour la plupart.
Mais revenons aux pépettes, au trèfle, à la flouze. Avant mais c'était avant, il fallait travailler pour monnayer. Depuis il faut chômer pour protéger le travailleur, qu'il travaille non pas huit heures par jour mais à chaque micro seconde 24h sur 24.
Mais où est le bonheur partagé pour tous? pour tous nos centimes, assurant nos rentes et notre bien être? ou faut - il valoriser le travail pour tous sans le vendre ni l'acheter comme cela pourrait se faire dans une autarcie de gens de biens comme à la ZAD notre dame des Landes.
Connaissez vous le familistère de Guise?
« établissement où plusieurs familles ou individus vivent ensemble dans une sorte de communauté et trouvent dans des magasins coopératifs ce qui leur est nécessaire », construit en s'inspirant du phalanstère de Charles Fourier, le familistère de Guise, situé dans la commune de Guise, dans le département de l'Aisne, voulu par l'industriel Jean-Baptiste André Godin pour l'hébergement de ses ouvriers, est un haut lieu de l’histoire économique et sociale des XIXe et XXe siècles. ah bon?
Sensible à l'idée de la redistribution aux ouvriers des richesses produites, il souhaitait créer une alternative à la société industrielle capitaliste en plein développement, et offrir aux ouvriers le confort dont seuls les bourgeois pouvaient alors bénéficier. C'est ce qu'il appelait « les équivalents de la richesse ». À partir de 1859, il entreprit de créer un univers autour de son usine de Guise, le « familistère », dont le mode de fonctionnement est comparable à celui des coopératives ouvrières de production.
Cà nous change des
Godin écrit en 1874 dans La richesse au service du peuple. Le familistère de Guise5 : « Ne pouvant faire un palais de la chaumière ou du galetas de chaque famille ouvrière, nous avons voulu mettre la demeure de l'ouvrier dans un Palais : le Familistère, en effet, n'est pas autre chose, c'est le palais du travail, c'est le PALAIS SOCIAL de l'avenir. »
Nous nous avons voulu mettre la plage et le sable au service du peuple et de ses coreligionnaires fidèles à poil. C'est la plage, l'océan, et ses rouleaux de printemps.
Enfin, Godin met en place tout un système de protection sociale en créant des caisses de secours protégeant contre la maladie, les accidents du travail et assurant une retraite aux plus de 60 ans.
Voilà pour Godin. Et les Zadistes pourront il s'en inspirer?
Ou alors le KIBBOUTZ
Le kibboutz est, par définition :
- « une communauté délibérément formée par ses membres, à vocation essentiellement agricole, où il n'existe pas de propriété privée et qui est censée pourvoir à tous les besoins de ses membres et de leurs familles »2. Le caractère principalement agricole est aujourd'hui largement dépassé.
- « une unité de peuplement dont les membres sont organisés en collectivité sur la base de la propriété commune des biens, préconisant le travail individuel, l'égalité entre tous et la coopération de tous les membres dans tous les domaines de la production, de la consommation et de l'éducation »3.
- Une organisation sioniste destinée à l'implantation de populations juives en terre d'Israël.
la plupart des kibboutzim sont conçus sur le même modèle : au centre se déploient les édifices communs tels que réfectoire, auditorium, bureaux et bibliothèque, entourés par des jardins et les maisons de leurs membres ; légèrement décentrés sont les bâtiments et les équipements sportifs ; les champs, vergers et bâtiments industriels enfin se trouvent à la périphérie.
Il n'y a généralement pas vraiment de structure élue : les décisions sont prises par l'assemblée générale. Avec le temps, des organes élus sont apparus, mais l'idéal kibboutznik impose qu'ils aient peu de pouvoir.
La laïcité et l'égalité des sexes sont revendiquées depuis les débuts (sauf dans les kibboutzim religieux), ce qui explique les relations historiquement très tendues avec les religieux. Les membres des kibboutzim ont même été accusés de ne plus être Juifs, même si cette accusation, qui avait été portée par le rabbin Eliezer Menahem Schach (en) (ou Chakh), un des principaux rabbins haredi israéliens de la fin du XXe siècle, reste relativement isolée.
L'origine des Kibboutz se trouve au sein du parti Ha'poel Hatzaïr, un parti politique non-marxiste, influencé par le socialisme populiste russe et l'œuvre de Tolstoï, dont le principal inspirateur est Aharon David Gordon. L'idéal est celui d'un socialisme rural, anti-industriel et anti-autoritaire, très marqué par l'anarchisme avec le refus des structures élues.
Le principe du kibboutz est l'autoconsommation paysanne : "les pionniers vivront des produits de leurs champs5" pour supprimer autant que possible le marché.
Sa principale force vient de l'engagement individuel de tous les membres. L'esprit d'entreprise collective compte pour beaucoup et contribue à la création et à la maturation de communautés qui réussissent économiquement sur le marché libre. Enfin, le niveau de vie élevé aujourd'hui, atteint grâce aux succès économiques, favorise aussi le maintien des communautés.
L'institution du kibboutz, inspirée du collectivisme socialiste, a sans doute réglé le problème de l'inégalité sociale entre les membres du village collectiviste ; mais elle a créé d'autres formes d'injustices qui sont "aux sources du conflit israélo-arabe et du problème palestinien7".
Selon l'historien Gershon Shafir, le développement d'un nationalisme juif en Israël, dont le kibboutz est une traduction parfaite, s'explique au départ par la lutte des travailleurs juifs européens contre d'autres travailleurs non-juifs8, pour des questions de salaires.
Rien n'est parfait.
Les utopies et le culte du travail bien fait. les balades d'Antoine.
Et les balades? Outre le fait que ce sont des structures éphémères, l'autre énorme avantage différentiel et non des moindres est que le travail y a une place particulière. Le faire ensemble. Non pas pour mais ensemble. Non en échange de ,mais ensemble. Ce sont les exercices qui s'y déroulent et qui crée l'ataraxie chère aux épicuriens et aux stoïciens et qui nous lient, nous entrelacent avec nos potes à poil, qui ne sont pas nos palestiniens, ni notre main d'œuvre émigrée mais nos coreligionnaires de territoires partagés.
Le plaisir partagé est la force des relations et de leur construction et il se vit et se construit autour de la notion de faire ensemble, de produire ensemble, ce qu'est la définition de tout "exercice ou travail de coordination".
L'exercice est là pour construire par l'apprentissage à la parole, la confiance réciproque.
Il a pour objet le travail de coordination nécessaire pour partager le territoire de façon apaisée.Et toc, boudieu, boudia.
Allez sur wikipédia, universalis ou autre pour y lire que toute utopie a toujours sa part de rêve mais souvent des fondations cachées. La fraternité est un chemin semait d'embûches.
Soutien aux ZADISTES, même si on les sent utilement naïfs mais paradoxalement pas assez réfléchis. Par contre a-t-on le droit de casser des rêves utopiques au nom d'un manque d'imagination et des données comptables utiles et nécessaires mais tellement rébarbatives. Les aider serait sans doute une belle mission de la préfectorale ou d'un service civique.
Donc vive le 1° Mai, la grève, la plage, la jeunesse et les rentes de situation aux quelles j'ai droit en tant que panseur du samedi et du dimanche.