MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, LOULOUS, LOULOUTTES, PROUPROUS, PROUPROUTES...
Allez la France, allez la France.......
Mais où??????
On accueille les Jeux OLYMPIQUES, normalement c'est magique, une grande fête populaire, le symbole de la fraternité et ne voilà-t-il pas que l'on se retrouve avec PARIS assiégé, PARIS ficelé, PARIS ligoté, PARIS muselé....
Bistrotiers, restaurateurs, commerçants (quoiqu'à part ceux de la place Vendôme, du faubourg St Honoré et tous les petits vendeurs de légumes de ces quartiers macronisés de premiers de cordée) à la diète!
Les jeux devaient nous enrichir, nous divertir, être une fête. On se baigne dans la seine, ohh la belle affaire. Entre Valérie Pécresse, Anne Hidalgo et AOC c'est les vachettes lâchées en plain Paris. Les écarteurs parisiens et banlieusards renforcés par les touristes internationaux sauteront, feinteront, écarteront corde à terre ou pas, pour éviter le mal des transports, le racket des hirondelles ou de ce qu'il en reste, capées, blindées, robocoppées.
Et pendant ce temps là, le roi ou la reine macron premier, va pavaner, défiler, se vantant de son déni de démocratie, attendant d'adouber, prenant son temps pour s'en croire maître, attendant la prochaine crise, plus grave, plus extrême afin qu'il en profite pour s'ériger en oxymore républicain, en nouveau Napoléon, le IV ème, usant de l'article 16 au nom de la sûreté et de la protection de la France et comme Pétain à force d'à force, rendre la France "Touquet", afin que Brigitte puisse continuer à se cacher derrière sa mise en plis.
ARTICLE 16. de la constitution/
Lorsque les institutions de la République, l'indépendance de la nation, l'intégrité de son territoire ou l'exécution de ses engagements internationaux sont menacées d'une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le Président de la République prend les mesures exigées par ces circonstances, après consultation officielle du Premier ministre, des présidents des assemblées ainsi que du Conseil constitutionnel.
Il en informe la nation par un message.
Ces mesures doivent être inspirées par la volonté d'assurer aux pouvoirs publics constitutionnels, dans les moindres délais, les moyens d'accomplir leur mission. Le Conseil constitutionnel est consulté à leur sujet.
Le Parlement se réunit de plein droit.
L'Assemblée nationale ne peut être dissoute pendant l'exercice des pouvoirs exceptionnels.
Après trente jours d'exercice des pouvoirs exceptionnels, le Conseil constitutionnel peut être saisi par le Président de l'Assemblée nationale, le Président du Sénat, soixante députés ou soixante sénateurs, aux fins d'examiner si les conditions énoncées au premier alinéa demeurent réunies. Il se prononce dans les délais les plus brefs par un avis public. Il procède de plein droit à cet examen et se prononce dans les mêmes conditions au terme de soixante jours d'exercice des pouvoirs exceptionnels et à tout moment au-delà de cette durée.
Et bien Dimanche on marchera et on se baignera car si on résiste au sel, au froid et au vent, on résistera à tous les impétrants.
Impétrant: Celui (celle) qui a obtenu de l'autorité compétente (où? c'est pas gagné) ce qu'il (elle) avait sollicité (charge, titre, privilège).
DIMANCHE 9H45 AU WHARF EN MAILLOT ROUGE........