MES CHERS TOUS, TOUTES, MI TOUTOUS, TOU, MI TOUTOUTTES, TOUTTES, MITAINES, TAINES, MICROBES, CROBES, MI PARCOURS, COURT VÊTUE, MYOPES, TOUCHE 0 TOUT, ME TOO, DEPARDIEU .....

CERVEAU ET COMPORTEMENT

En fonction des diverses informations que le cerveau perçoit et non reçoit, il génèrera des hypothèses, quant aux réponses, impliquant soit des actions soit des non actions.

Face au danger, l'entraînement mainte fois répété permet de limiter le risque de sidération face à un évènement (standardisé). Le DRILL est le processus de répétition d'une situation et de réponses automatisées, si elle réduit le risque de sidération, malheureusement, elle n'optimise pas forcément la pertinence de la réponse.

Tout décideur se doit de gérer 4 contraintes environnementales.

La volatilité ou absence de stabilité de la situation dans le temps

L'imprévisibilité , l'incertain

La complexité, la richesse, le nombre des sources

L'ambiguïté

Tout cela implique des surcharges cognitives dues a l'intensité des transmissions d'informations à prendre en compte qu'elles soient l'apanage du maître comme du chien. Elles peuvent alors faire aboutir à une inhibition de l'action, une précipitation ou une sidération. 

La peur vs la menace.

La menace n'est pas la peur même si elle en a des affinités. La menace est une incohérence entre l'observé et l'attendu. Elle déclenchera la plupart du temps une exploration curieuse lorsque la menace est lointaine ou une inhibition comportementale quand elle est proche.

Dans ce deuxième cas apparait la peur. Émotion négative mais nécessaire pour la sécurisation des individus. 

La peur déclenche ce que Kahneman (psychologue et économiste) appelle le premier niveau de réaction automatique et intuitive au détriment du second niveau, logique et rationnel. Un système rapide et intuitif vs un système lent et rationnel.

 La peur étant contagieuse, elle se transmet du chien au maître et réciproquement et déclenche des sidérations qui par l'annihilation de l'action aboutit à une mise en grand danger existentiel des deux.

Hors de la sidération la peur peut provoquer l'effet tunnel appelé dans les balades l"activités à spectre" étroit.

La tunnelisation s'opère quand des activités se concentrent sur une tâche à accomplir (jeu de balle, piste gibier, etc..). Elles aboutissent à occulter la  perception du "monde" dans sa complexité et à occulter sa rationalisation possible.

l'éducation et ce qui se passent dans les balades ne sont pas des drills répétés à l'infini mais un apprentissage à développer une communication relationnelle apprenante productrice de capacités décisionnelles "ajustées" dans un environnement incertain, à apaiser et apaisable. 

La sociologie et l'éthologie cognitive clinique a donc pour objet la mise en œuvre sociale des interrelations productives d'informations aptes à la prise de décision. 

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