BALADES DU 20 ET 21 JUIN, DITES BALADES DES PIEDS NICKELES, DES HE TIC ET TOC ET DES MÊME PAS PEUR LES BEBES

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUTES, OLEAGINEUX, OLIVES, NOISETTES, CASSE.......

la réputation est un instrument social propre à l’être humain et qui le distingue de toutes les autres espèces animales.

le phénomène de la réputation est étroitement lié à des observations et des opinions que des individus émettent à propos d’autres d’individus lorsqu’ils sont absents : elle est consubstantielle aux commérages.

Première objection : les conditions de la vie contemporaine

9La première objection n’est d’abord pas liée à la fiabilité des réputations, mais à l’existence même de la réputation personnelle comme caractéristique de la vie contemporaine. L’idée, en substance, est que les conditions de la vie sociale qui rendent la réputation personnelle significative et nécessaire, sans parler même de sa fiabilité, n’existent plus aujourd’hui. Les éléments suivants sont en effet indispensables [6][6]Nicholas Emler, « Gossip, Reputation and Social Adaptation »,… : il doit y avoir continuité d’association de façon à ce que les individus aient, et s’attendent à avoir, de manière répétée et régulière, des contacts et des relations avec un même ensemble d’individus. Ces personnes doivent par ailleurs entretenir des liens similaires avec un nombre significatif d’entre eux. Pour le dire autrement, certains de mes amis et de mes connaissances doivent également être de vos amis et de vos connaissances. Il faut ensuite que soient régulièrement entretenues des conversations entre individus interconnectés et que celles-ci incluent des échanges d’informations, d’observations et d’avis sur des connaissances mutuelles alors absentes.

PEU PRATIQUE

Deuxième objection : le caractère existe-t-il ?

12La seconde objection est que toute recherche qui vise à connaître le caractère d’un autre est vouée à l’échec si elle ne prend pas en compte l’apport de tiers ou de toutes autres sources de preuves extérieures. L’enjeu n’est pas tant de considérer l’existence de la réputation personnelle comme une revendication mais comme le phénomène sans lequel la vérité recherchée ne peut être trouvée.

13L’argument de l’« œil du spectateur » a dominé les analyses de la personnalité de la psychologie sociale expérimentale des années 1960 et 1970 [14][14]David Funder, Personality Judgment : A Realistic Approach to…. En un mot, cette théorie soutient que les individus ne se distinguent les uns les autres ni de manière significative ni de manière cohérente et qu’ils diffèrent encore moins conséquemment quant à leurs traits de caractère et de personnalité. Il en résulte que tout jugement porté sur les autres est une illusion convaincante créée par notre propre esprit par des biais fondamentaux et irrévocables dus à notre manière de traiter l’information. 

PAS FAUX

Troisième objection : quelle est la fiabilité du commérage ?

14La troisième objection consiste à dire que si des vérités sur le caractère des autres peuvent être trouvées, les rapports des tiers ne sont pas des sources suffisamment fiables pour les obtenir. Les opinions populaires sur les commérages vont dans ce sens [17][17]Nicholas Emler, « Gossiping », in H. Giles et W. P Robinson…. Culturellement les plus répandues, elles soutiennent que les potins se propagent par le biais d’individus soit dénués d’intelligence, soit malveillants, et qui ont, en tout état de cause, peu de considération pour la vérité. L’idée que l’approximation de l’information est proportionnelle à la longueur de la chaîne de communication par laquelle elle est diffusée rend enfin inévitablement le contenu des commérages peu fiable. La superficialité puis la duplicité de ceux qui les répandent ne semblent surpassées que par l’infinie naïveté de ceux qui leur donnent crédit.

ET TOC MA COUILLE

Quatrième objection : calculs complexes

24Le point principal de cette dernière objection est que les calculs nécessaires pour arriver à des jugements précis sur le caractère de quelqu’un, sur la base de propos tenus par des tiers, sont de nature trop complexes pour un observateur humain. Une objection parallèle a d’abord été avancée en psychologie sociale quant aux modèles de la formation des impressions. Le modèle de covariation de l’attribution, développé par Kelley [31][31]Harold Kelley, « The processes of Causal Attribution »,…, basé sur la méthode statistique d’analyse de la variance, était destiné à saisir la manière dont les percepteurs parviennent à des conclusions sur les traits de caractères des tiers. Il a fait valoir que les observateurs y réussissent par la combinaison d’observations et le recoupement de différentes sources de variation associées aux actions et réactions d’autrui. Kelley pensait ainsi que les plus importantes sources de variation étaient liées à la personne et à la situation. Le modèle a été critiqué parce qu’il nécessite des capacités de calcul en réalité supérieures à celles de l’observateur humain [32][32]Lauren Alloy et Naomi Tabachnik, « Assessment of Covariation by….

CA, C'EST SPECIAL POUR DOMINIQUE QUI AURA POUR MISSION DE NOUS EXPLIQUER CE QU'IL N'A PAS COMPRIS

POUR LES MENACEURS, LES DRAPES DANS LA BIEN PENSANCE ET LES POURVOYEURS DE NON SENS IMBECILE, JE LES EMMERDE COPIEUSEMENT, SURTOUT QUAND ELLES MENACENT DE NUIRE  A UNE REPUTATION QUI N'EN A PAS!!! 

EX/

L' éthique des balades est celle de la responsabilité.

J'invite à lire Lévinas. 

Elle implique d'accueillir tous les chiens quelque soit leur handicap comportemental. 

Quelque soit leur pseudo race, leur taille et  catégories qui n'ont de pertinence que le besoin de sélectionner, catégoriser et ostraciser autrui, nous acceptons tout le monde et nous mélangeons et mélangerons tout le monde.

Elle implique d'accueillir tous les individus quelque soit leur névrose et leur psychose, ce que l'on peut définir comme leur handicap psychique. 

Les balades ont pour objet de déconstruire ces catégories (canidéennes et humaines) et les réputations qui y sont associées. 

Un chien n'est pas une brute, il a des difficultés à pondérer l'interaction mais cela peut se comprendre, privation sensitive par exemple et c'est en apprenant à se concentrer sur le "phénomène" et l'activité liée que l'on travaillera et rééquilibrera les processus de prise de décision et d'action du chien. 

Les balades sont un endroit ouvert, permettant d'être confronté à de multiples expériences toutes les unes et les autres uniques et opportunément non  normalisées. 

C'est la richesse des balades, pouvoir être confronté à tout. Vous l'acceptez, personne ne vous force à venir. Le maître de cérémonie qui n'est pas plus maître que cérémonieux est là pour mettre en œuvre et vous faire mettre en œuvre les communications ayant des formes informationnelles et diminuant le risque des  paradoxes.

Quant aux accidents qui peuvent s'y produire, le risque est et  doit en être accepté. Ils sont pris en charge par votre responsabilité civile, elle est mutuelle et lié au fait d'une activité sociale et se gère entre concernés. LE RISQUE ZERO n'existe pas et n'est pas souhaitable puisqu'il équivaudrait à un monde sans vie. 

Si vous ne l'acceptez ne venez surtout pas, ceci est la règle depuis 17 ans.

 

Maintenant last:

Nous avons des chiens qui ont souffert non pas de maltraitance mais de traitance de domination et placement hiérarchique, de déni de dépression, du discours sur la spécificité génétique comportementale de la race,  chien de chasse, de berger, de meute, de combat et autres incongruités sur la prédation, l'instinct du sang etc.  Le discours, le cane corso (exemple) doit se dominer autrement c'est la merde à la maison etc...Le beagle est fugueur, le lévrier est afghan donc fourbe,  menteur etc.   La famille est une meute et j'en suis le mâle dominant, ou les ayatollah des "mon chien" doit se comporter dignement et être une grosse larve tendre, spongieuse, sans expression autre que celle de la douceur langoureuse de la peluche que je peux exhiber au vu de tous, démontrant ainsi mon exceptionnel savoir faire, bonté d'âme et autres qualités d'intégrité morale que les autres cas sauces (j'adore) n'ont pas etc. 

je les invite poliment à ne plus venir me casser le peu de noisettes que j'ai.  

Le discours existe sur toutes les races de chiens qui n'ont de race que des formes approximatives. 

Ceux qui se croient visés le sauront parce qu'ils auront la goutte au nez. Qu'ils se  mouchent; on soigne ce type de rhume aux balades aussi.

 

En ayant conceptualiser l'approche comportementale comme une problématique de communication et de flux informationnels, on a délibérément exclu du champs des possibles la conception de la relation comme étant celles d'affrontements de forces et donc de domination/soumission, ce qui est un des facteurs majeur des dysfonctions et maladies comportementales provoquant souffrances, mal être et insociabilité. 

Ceci est totalement congruent avec le rejet de la notion de virilité, de la nécessité de celle-ci et participe à dénoncer et déconstruire ce mythe comme fondement de la relation familial fondée sur la responsabilité. 

Comme elle est tout autant congruente avec le discours sur le machisme inhérent à tout homme, à la sur féminisation de la fragilité et de la délicatesse comme seule apanage de la femme aboutissant à l'honnissement de tout ce qui porte des gonades et pas qu'au bout de ses bretelles. 

RDV SAMEDI ET DIMANCHE MATIN SALIE SUD 9H45

POUR LES VOLONTAIRES SAMEDI APRES MIDI 14H30 PYLA. 

J'y aurai peut-être des bretelles si ma femme me les prête.

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