1° Caractères des chiens: la race ne fait rien, la variabilité des comportements et des caractères s'expliquent mieux par l'environnement que par les gènes.
Extrait d'un article de Libération du 5 Mai.Malgré tous les stéréotypes qu’on lit sur Internet et la ténacité des croyances populaires, il s’avère que la race des chiens est un très mauvais indicateur de leur caractère. Elle sert à définir un ensemble de traits physiques très précis, ça oui, mais la personnalité des toutous montre une grande variabilité au sein de toutes les espèces, et s’explique mieux par l’environnement que par leurs gènes.
La biologiste américaine Kathleen Morrill avait déjà cette intuition à l’adolescence, raconte-t-elle dans le magazine Science, quand ses parents ont adopté deux chiens «papillon» (des épagneuls nains) dont l’un était timide et anxieux, et l’autre extraverti et affectueux. Deux chiens de même race peuvent-ils avoir un caractère totalement opposé ?
Depuis 2015, elle gère un projet de science participative avec ses collègues de l’université du Massachusetts, «l’Arche de Darwin» : plus de 18 000 internautes s’y sont inscrits pour répondre à de longs questionnaires sur leur chien, ses caractéristiques, ses habitudes et ses traits de personnalité. Parmi eux, 2 155 chiens ont été choisis, certains «pure race» et d’autres croisés, et leur ADN a été séquencé pour pouvoir faire un lien très précis entre leurs gènes et leur comportement. Les chercheurs avaient donc d’un côté un descriptif précis des caractères canins (Fluffynours a peur des étrangers, adore chasser les écureuils et réagit au quart de tour quand on lui envoie une balle) et leur patrimoine génétique (Fluffynours est à 37 % border collie et 51 % shetland).
Bilan : «La race offre une faible valeur prédictive, et explique seulement 9 % des variations comportementales», écrivent Morrill et son équipe dans l’étude de Science parue cette semaine. Quelques traits de caractère sont effectivement susceptibles de se transmettre par hérédité, donc d’être associés à la race. Parmi eux, on trouve la docilité (la facilité à être éduqué et à obéir aux ordres) : les bergers malinois et les braques hongrois à poil courts sont vraiment plus dociles que la moyenne globale des toutous, tandis que les bassets et les malamutes de l’Alaska sont sensiblement plus indépendants.
Pour d’autres traits de personnalité en revanche, comme la propension du chien à être provoqué par un stimulus désagréable, «la race n’apporte quasiment aucune information». C’est une affaire d’individus. Les chercheurs n’ont pas pu prouver non plus que les labradors sont plus sociables avec les humains que la moyenne des chiens. Un mythe sans fondement scientifique.
Au niveau génétique, l’équipe de Kathleen Morrill a identifié 11 régions (des ensembles de gènes) qui sont manifestement associées à des comportements du chien, comme la fréquence à laquelle ils aboient et leur sociabilité avec les humains. Mais il n’y avait pas de différence notable entre les espèces. Seuls les morceaux d’ADN qui définissent des traits physiques sont clairement différenciés selon les espèces.
2° Les bons comportements à adopter lorsque je croise un chien guide?1) C’est un chien de travail, il est important de ne pas le toucher, ne pas le caresser et de ne pas l’appeler quand il travaille. Il convient donc d’ignorer le chien lorsqu’il travaille il a besoin d’une concentration optimale, il ne doit en aucun cas être dérangé.
2) Lorsqu’un chien guide ou d’assistance est dans un magasin, restaurant ou autre lieu public, il faut le laisser tranquille : c’est un lieu atypique pour y voir un chien certes, mais l’humain autant que le chien ont besoin de concentration.
Ne pas l’appeler quand il travaille (il porte son harnais ou un gilet d’élève chien guide). Cela pourrait le distraire dans sa mission. Il convient donc d’ignorer le chien lorsqu’il travaille : si le chien a son dossard de travail, il a besoin d’une concentration optimale, il ne doit en aucun cas être dérangé.
2) Lorsqu’un chien guide ou d’assistance est dans un magasin, restaurant ou autre lieu public, il faut le laisser tranquille : c’est un lieu atypique pour y voir un chien certes, mais l’humain autant que le chien ont besoin de concentration.
3) Si vous croisez un chien guide et que vous êtes en compagnie d’un autre chien, veillez à le contrôler pour éviter qu’il vienne perturber le chien au travail (reniflement, appel aux jeux, etc.). Cela ne sera pas agréable pour le chien au travail qui pourrait commettre une faute (changement de trajectoires, distraction, tirer, etc.).
4) Ne lui offrez pas de friandises ou de nourriture. Son maître en dispose et le récompensera au moment opportun.
5) Lorsque vous vous dirigez vers une personne déficiente visuelle accompagnée de son chien guide, parlez directement à son maître et non pas au chien. Il en va de même pour les familles d’accueil et moniteurs en compagnie du chien en éducation : il faut s’adresser à l’humain avant tout. Faites comme si le chien était absent.
6) Lorsque le chien est en détente, vous pouvez le caresser après avoir eu l’accord de son maître.7) Si une personne non ou malvoyante accompagnée de son chien guide vous demande de l’aide, approchez-vous par la droite, de façon que le chien reste à sa gauche et sans perturber son champ visuel.
8) Ne pas toucher au harnais du chien car c’est un élément de travail et ne doit en aucun cas être utilisé par une tierce personne. Il y a une façon de l’utiliser, une mauvaise manipulation pourrait gêner le chien.
Pour rappel, les chiens guides (ainsi que les élèves chiens guides) ont accès à l’ensemble des lieux publics en accès libre : centres commerciaux, bars, cafés, restaurants, transports en commun, supermarchés, etc.
CONCLUSIONSLa déracialisation du discours, la dégenrification, la déconstruction des mythes de hiérarchie dont le plus pernicieux, celui de famille meute, le patriarcat, le viriarcat, les mythes virilistes accompagnés de leur mythologie mortifère déniant le droit au consentement aux femmes et faisant de l’assujettissement du féminin au masculin l'evidence de tout rapport, ont toujours été, sont et seront toujours l'alpha et l'oméga du travail des balades.
Les aliénations construites autour de la lobotomisation des cerveaux qu'ils soient des chiens ou des homme-femmes par des conditionnements invalidant et autres propagandes et mots d'ordres fondés sur la bêtise et la dé-rationalisation organisée dans les discours populistes, émotionnels et irrationnels, ont été, sont et seront toujours déconstruits quand j'en aurai le temps, le courage, la bienveillance et la patience à moins qu'ils ne soient combattus par l'élimination territoriale du champs des balades de leurs portes voix. Je me passerai alors avec joie de leur présence à force d'avoir des acouphènes provoqués par la stridence douloureuse de leurs vociférations sur les révélations mystiques concernant les pilotes du monde. Les forces blanches et noires nous menant par le bout du nez n'auront pas le dernier mot. Par contre celles qui qui dirigent les hommes depuis la nuit des temps, c'est à dire qui ont pour panégyristes l'élite germanopratine s' adonnant au culte tenu par les prestolets mythiques, Bocuse et Cléopâtre, célébrant les rites de la chatte qui gratte et de la queue qui mord, je dis benvenutto, c'est déjà l'été, et comme le dit Eric Piolle, même s'ils participent grassement à la quête du week-end des balades et autres chemins de croix!!!, l'été c'est la fête aux nénés et pour certaines au burkini mouillé qui doit être porté juste au corps, serré et si possible transparent sur les voies dites impénétrables hors barbus et saint Pierre (je parle du carrelet, le poisson).
SAMEDI ET DIMANCHE SALIE SUD, FORET IZUMI, DIMANCHE POUR CEUX QUI VEULENT, PIQUE NIQUE POSSIBLE. INSCRIVEZ VOUS OU PAS.