BALADES DU 6 ET 7 MARS, DITES BALADES DES CONVERTIS AU MARXISME LENINISME VERSUS MAHOMET ISLAMABAD

MES CHERS TOUS, TOUTESTOUTOUS, TOUTOUTTES, SINBAD LA MARINE, SARKO LE COCO

Et voilà,  la "France mère de toutes les batailles ou fille aînée de ..", est convoquée par Sarkozizi qui, grand dieu, jure, crache et peste sur la tête de carlita, (Peron cela va de soit, il est pas con non plus en plus d'être de mauvaise foi et riquiqui de l'éthique et du toc, il va pas risquer la seule madone gourmande de ......zi) qu'il ne l'a jamais trahi. (La France pas Carla qui ne se prend pas pour Eva! C'est que c'est pas son genre à Carla l'usurpation de pseudonyme comme certain tel que cela laisserait entendre qu'il  se prend pour un suppositoire pour la gorge dont on n'a pas l'usage lors-qu’entre entre père et fils on choisit le sample  d'esprit: sarkozi (MusiqueÉchantillon.)).   Mais est-ce bien là le sujet? (Là j'ai honte mais c'est tellement bon le ridicule). Je reviens sur la Carla qui est à la Marie Madeleine ce que la Madeleine de chez Marie la congelée  est à Proust: étouffante. Alors que fourrée de chantilly et de chocolat fouetté à coups de 11000 verges (d'Apollinaire), la Carla est encore fraîche mais le Sarkozizi semble bien fatigué mais est-il le seul? là ici et maintenant n'est pas la question. 

 

Et que mon HHHHonneur est bafoué et çà c'est non seulement inadmissible mais  cela justifiera l'administration  d'un lavement radical ET RECTAL, récureur et défoliant par le fond de la culotte démocratique, cela va sans dire. 

J'en étais là sur la misère de l'argumentation d'un orgueilleux quant je me suis dit mais que nenni, Antoine, toi qui défend bec et ongles toujours la cause de l'orphelin et du migrant, du travailleur, du salarié et du pensionnaire des lilas, qu'attends tu, voles, cours, estourbis tous ces petits juges jaloux de leurs prérogatives, roi de l'interprétation de la loi qu'ils n'ont pas commise mais dont ils ont la charge de la sanction  lorsqu'elle est violée, bafouée, non respectée.   

Çà c'est pour l'égalité de tous devant la loi. Mais il n'y a pas que. Et la peine! pas de veine: 

OUAHHHHHHH je souhaite qu’il n’y ait pas de mesures d’aménagement de peine pour les peines supérieures à 6 mois #NSParisien signé mon Nico qu’il est beau et intègre.

En plus pas d'aménagement de peine pour lui puisqu'il l'a demandé expressément. C'est ballot mais qui peut souhaiter à n'importe qui d'aller en prison découvrir les joies de la défécation sans isolement, à vue et à odeur. Là PAS MOI. ou anonymement. 

Les cris d'injustice de Sarkodrôledecoco sont d'une banalité confondante. Il est comme les copains lorsque l'on se sent trahi et pris la main dans la culotte du zouave sous prétexte que l'on aurait jamais pensé qu'elle pourrait se mouiller hors période d'inondation qui quoique décennale ou centennale doivent prévenir et respecter la ligne de flottaison que la sus dite main définie avec précision par la poigne d'acier qui s'accroche aux bijoux de la famille recomposée versus Napoléon III comté de Nice via la cap Nègre.  Il se sent "trahi". Tous on trouve le radar pas innocent, pervers, mal placé. On se plaint de son manque de nuance, du  km/h dépassé etc. Mais de plus là il y a automaticité de la peine, ce qui cache une volonté de l'état et des francs maçons sémites de lever un impôt déguisé pour financer le retour à la terre en bio dynamique ou en "Alya jacta est" (prononcé este), pour les sceptiques.     Pas d'argumentations possibles sur ses origines lointaines ou la misère de son enfance, son délit présumé de  gueule de "pauvre con méprisé", du bruit et des odeurs dont on est l'instrument à l'insu de son plein grès.  Et puis comment dénommer les faits de petits arrangements entre adultes consentants se croyant sous l'impunité conférée par un anonymat fabriqué ne devant laisser nulles traces grâce à l'utilisation de téléphones anonymisés. Pas cons quand même d'autres choses que de corruption, non de  délicatesse, du pur Soft power. Pas de canon scié sur la tempe ou de tête de cheval coupée dans le lit mais un doux arrangement fondé uniquement sur la reconnaissance de compétences et de grandeurs d'âme entre gens de biens, jouisseurs de leurs prérogatives et de leurs prébendes.

De plus un tribunal n'est ce pas aussi une tribune? Où l'on argumente, justifie. Ce n'est pas un "sas" de passage, non. C'est toute l'opportunité d'exposer et puis d'être exposé à la loi et à son interprétation possible. C'est un acte démocratique qui assure aux plaignants et aux accusés la possibilité de l'argumentation et de la justification. C'est un lieu de mesure, de relativité et de pondération. 

Visiblement il n'a pas été convaincant l'avocato Sarko. 

Le PNF y est il pour quelque chose? j'ai du mal mais e que je sais est que Sarkococo sauras se faire défendre et faire traîner les choses. 

Et la dernière pour PPDA qui jure et crache aussi qu'il n'a jamais consenti à un viol, un harcèlement, une main aux fesses où une chevauchade sous couvert d'une pige dans un journal. Et dieu seul sait combien de fois il en a été sollicité!!! Il l'a toujours refusé. Il a toujours été raide comme la justice, prêt à pisser sur le canapé de l'autre vedette qui n'a de claire que son côté Chazal sous prétexte qu'elle voulait s'adonner à la Couture en dehors des heures de travail. Il n'a jamais donné son accord pour de tels agissements "à lui infligés" et non par lui, ce qui sous-entend que c'est lui qui a été abusé, harcelé et sans doute violé dans l'hymen de son honneur.

Dans le genre grand salopard, démago et imbu de lui même, au dessus des parties qui n'ont d'intimes que ce qu'il en vante d'unicité de paire de boules parfumées au pipi de priapique du journal de 20H, PPDA, palme d'or au Polanski et woody Allen de l'année 2021. Honneur, Honte,  Suffisance et  Prétention lauréats de la mise en scène et du scénario.

SALIE SUD   9 45 SAM ET DIM

Un peu de sciences politiques pour mes Dafettes car c'est pas parce qu'on nous prend pour des jambons qu'on va rester à planer comme des dindons:

La démocratie suivant les penseurs et les étapes de leur réflexion. Où Sarkozy nous situe-t-il?????

SCIENCES HUMAINES articles parus mars 2021

 

PLATON, ARISTOTE

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La démocratie est-elle  le meilleur régime pour l’homme ? Comme Platon, Aristote répond par la négative. Il montre notamment comment elle peut dégénérer si elle n’est exercée que dans l’intérêt des masses. L’ensemble de la cité est alors soumis aux passions du peuple, ce qui peut conduire à la guerre civile ou à l’anarchie. C’est d’ailleurs ce qui se passe en Grèce à la fin du 5e siècle avant notre ère. Il plaide pour des « régimes mixtes » qui combinent des éléments de ces trois types de régimes : la monarchie (gouvernement d’un seul), l’aristocratie (gouvernement d’un petit nombre, les meilleurs ou les plus riches) et la démocratie (gouvernement du peuple).

JOHN LOCKE

1632-1704

L’homme possède des droits naturels inaliénables (liberté, propriété, sécurité) qu’aucun pouvoir ne peut confisquer. Les instances qui gouvernent ont un pouvoir limité. La délégation de souveraineté qui leur est attribuée est provisoire et non pas définitive. Locke fixe également certains traits essentiels de la conception moderne de l’État : le respect de la loi est une garantie fondamentale de la protection des droits et s’applique aussi au législateur.

CHARLES DE MONTESQUIEU

(1689-1755)

On lui doit le célèbre principe de la séparation des pouvoirs. John Locke avait déjà distingué pouvoir législatif (qui crée les lois) ; exécutif (qui veille à l’exécution des lois) et confédératif (qui mène les relations internationales). Dans De l’esprit des lois, Montesquieu y ajoute le pouvoir judiciaire et confond les deux derniers. Pour autant, Montesquieu n’est pas favorable à la démocratie. Pour lui, la séparation des pouvoirs justifie un régime aristocratique bien tempéré, une manière de retrouver le régime mixte cher aux Anciens.

Jean-Jacques Rousseau (1712-1778)
La souveraineté du peuple

la souveraineté dans le peuple. Une et indivisible, cette souveraineté s’exprime par la volonté générale, qui résulte de la délibération entre tous les citoyens assemblés. Aussi Rousseau est-il hostile à tout système représentatif mais également à tout ce qui divise la souveraineté : les groupes de pression, les partis. Rousseau distingue néanmoins le pouvoir législatif du pouvoir exécutif : si le premier est du seul ressort du peuple assemblé, le second revient à un gouvernement, révocable à tout moment mais distinct. 

 

Benjamin Constant (1767-1830)
La liberté des modernes

La citoyenneté est une obligation morale nécessitant un investissement considérable rendu possible par l’existence des esclaves chargés de l’essentiel du travail productif. Elle ne peut concerner que des sociétés homogènes et de petite taille. Par opposition, la deuxième repose sur les libertés civiles, le règne de la loi et l’absence d’intervention de l’État. La taille des États modernes et l’avènement d’une société commerçante dépourvue d’esclaves limitent la participation directe des citoyens.

Alexis de Tocqueville (1805-1859)
« La tyrannie de la majorité »

l’élection au suffrage universel représente selon lui un risque : celui d’une « tyrannie de la majorité ». Rien de pire, pour Tocqueville, qu’une démocratie sans esprit démocratique, dont les citoyens, apathiques et centrés sur leurs intérêts privés, se contentent d’élire « un pouvoir immense et tutélaire » chargé de régenter leur existence.

Cornelius Castoriadis (1922-1997)
Pour une démocratie radicale

Saisir le « germe grec » pour repenser et « radicaliser » nos démocraties.

C. Castoriadis milite pour l’instauration d’une véritable sphère publique, une ekklesia, qui appartiendrait à tous les citoyens, plutôt que d’être « privatisée » par des élites, des experts ou des bureaucrates.

Claude Lefort (1924-2010)
Le « lieu vide » du pouvoir

Il met notamment en évidence le caractère inachevé – et constamment créatif – de la démocratie. Selon lui, la démocratie diffère des régimes totalitaires en ce qu’elle laisse place à l’expression des conflits et des désaccords, sans sombrer pour autant dans le désordre ou la guerre civile. Pour que la paix sociale se perpétue, les individus doivent perpétuellement renégocier le pacte civil qui les unit, à travers le débat public ou les élections. C’est le sens de l’expression célèbre : « le lieu vide » du pouvoir.

Jürgen Habermas (né en 1929)
Le sens de la délibération

Pour Jürgen Habermas, la démocratie n’a de sens et de vie que par la délibération et la discussion publique.

John Rawls (1921-2002)
En quête d’équité

« la base morale qui convient le mieux à une société démocratique ». Il imagine un scénario, l’hypothèse de la « position originelle » : pour décider quels principes doivent régir leur coopération, des partenaires ont accepté de se placer sous un « voile d’ignorance », c’est-à-dire dans une situation où chacun ignore quels sont les talents et la situation sociale des autres. De la sorte, leur raisonnement ne sera pas influencé par la considération de leurs intérêts personnels. Selon J. Rawls, cette position originelle aboutit à un consensus sur deux principes : un « principe de liberté » et un « principe de différence ». Le premier établit un égal accès au plus grand nombre de libertés telles que les droits de vote et d’éligibilité, la liberté d’expression, la protection de la personne, le droit à la propriété privée. Le second principe définit les règles de la justice sociale : les inégalités socioéconomiques ne sont acceptables que si elles induisent en compensation des avantages pour les membres les plus défavorisés et si on respecte le principe d’égalité des chances.

Amartya Sen (né en 1933) et Martha Nussbaum (née en 1947)
Ce dont les gens sont capables

l’économiste indien Amartya Sen veut construire une théorie de la justice sociale qui tienne compte des opportunités réelles des individus. J. Rawls propose une liste de biens premiers (libertés, revenus, richesses…) qui constituent ce que chaque homme rationnel est censé désirer pour mener son projet de vie. Pour A. Sen, c’est insuffisant : il faut s’attacher non pas tant aux biens que possèdent les individus qu’à ce qu’ils permettent d’accomplir. Il introduit avec Martha Nussbaum le concept de « capabilité » qui renvoie aux capacités réelles qu’ont les individus d’utiliser leurs biens pour mener leur projet de vie. Ce qu’il est nécessaire d’égaliser, ce ne sont pas les biens premiers mais plutôt les « capabilités » qui permettent aux individus de réaliser leurs projets. Dans La Démocratie des Autres, l’économiste montre que la démocratie a une vocation universelle en tant que pratique de délibération publique. 

Chantal Mouffe (née en 1943)
Le conflit au cœur du politique

La politique est faite de « conflits pour lesquels aucune solution rationnelle n’existe ». Elle se montre notamment critique vis-à-vis de Jürgen Habermas et de son principe de délibération, l’action politique ne pouvant se résumer selon elle a un travail de négociation. Elle critique également la rationalité de John Rawls, les passions humaines lui paraissant constitutives des identités collectives. C. Mouffe utilise les concepts d’antagonisme et d’agonisme. « Le but d’une politique démocratique est de transformer l’antagonisme potentiel en une agonistique », c’est-à-dire en un lieu d’affrontement quant aux significations qu’il conviendrait de donner aux grands principes démocratiques comme la liberté ou l’égalité. Attachée au clivage droite/gauche et à la diversité partisane, C. Mouffe milite pour une « démocratie plurielle » qui laisserait plus d’espace au conflit et au débat. 

SAMEDI MATIN ET DIMANCHE MATIN 9H45 SALIE SUD.

SAMEDI APRES MIDI,14 H MAC DO LA TESTE, 14 H15 AU PARKING DE L'USINE PETROLIFERE

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