BALADE DU 6 et 7 Octobre dîte balade des Baltringues

Mes chers tous, toutes, toutoutes, toutous etc. etc.  

trois c'est mieux, je m'offre seul....

C'était l'époque où Nelson supportait de se faire rouler par des chiennes §§§!!! Où sa maîtresse ne commettait pas un délit de "sale gueule" à l'encontre de "choubidou et choubida"     Ma vétérinaire préférée était toujours ma vétérinaire préférée.   En résumé on était encore jeune et innocent. Samedi dernier, on a passé une très mauvaise balade qui heureusement a été rattrapée par celle de Dimanche. Les apriori "raciaux" concernant les chiens et donc par la même ceux concernant les gens, sont à un moment tellement ancrés dans la mentalité des personnes et défendus mordicus comme un bonne et bien pensance qu'ils amènent non seulement à être difficilement supportables mais surtout qu'ils démontrent toute leur incongruité, leur ineptie et leur absence totale d'efficacité dans le "bien vivre ensemble". Les chiennes de Delphine et par dommage colattéral, Delphine elle-même, en ont été les victimes. Nelson en a été  puni. Non pas parce qu'il est noir mais parce qu'il est "coquet-fragile-délicat-propre sur lui-bien élevé et inconscient de tout cela". Il ne doit ni peut "frayer" avec ses congénères, joueurs, de bonne humeur et légèrement enfantins si ce n'est branleurs par hygiène morale et syndrôme de déficience immunitaire vertueuse! En conséquence il n'a pu développé son autonomie, sa  confiance en lui  et la conscience de ses capacités. A force d'être sans cesse "castré" de toutes ses vélléités  divagatrices possibles et autonomes, au lieu de renforcer son lien de "partage de territoire" avec sa "maîtresse", il a vécu son lien de rétention administrative et de privation de  liberté de curiosité et d'analyse au nom de son confort "poilistique". Adieu la complicité, bonjour la dépendance, l'atermoiement et la soumission  privative d'affection mais imposant la mise sous tutelle et l'absence de mise en confiance. Quelqu'un en prison ne peut être aimé. il est enfermé, privé de liberté et de libre arbitre. L'oiseau en cage n'est pas en couple. Il ne fait le bonheur de son geolier qu'à la mesure où l'on croit méticuleusent ce mensonge affectif qui cache la maltraitance de défaut de liberté mais qui révèle un  manque de respect,de considération et d'empathie pour le soi-disant être aimé. Quant à Françoise et sa petite chienne, l'effort qu'elle a produit pour suppoter la balade alors qu'elle était "morte de peur", démontre que tout état "hyper anxieux" lié à un ressenti dépressif fort, altère totalement la façon de voir et d'aborder toutes interractions sociales au juste niveau pour pouvoir en respecter les acteurs et ne pas les mettre en danger. Le problème de la typicité de ces comportements est qu'ils aboutissent systématiquement à une rancoeur envers le lieu, le moment, les participants de son mal être et que  c'est compliqué de développer une empathie réciproque si on se claquemure dans son état (ce qui peut se comprendre). D'autant plus  que l'on n'est jamais à l'abri de se faire prendre en otage par les attrabilaires de la bien pensance sus-mentionnée précédemment afin d'être ou de se voir empêcher de développer une résilience à sa souffrance grâce à l'entourage amical de la balade. Mais comment faire alors pour "affronter" ces dysfonctions? Faire appel à la raison. Ce n'est qu'en interpellant, en faisant réfléchir sur le sens de son action, de son discours, tout en étant immergé dans un climat résilient de camaraderie fondé sur le partage d'une volonté commune qui est de "partager le territoire de façon apaisée" que l'on peut apprendre à developper des compétences afin de vivre une grégarité respectueuse de nos différences.    Hors cette volonté, les balades ne sont jamais qu'un épi phénomène de convivialité qui aboutira à rejeter l'autre; les rhodésian rejetant les berger noirs, les cokers,les chow chow, les noirs,les arabes, les hommes,les femmes, les voilées, les excisées etc.   Les balades sont là pour  développer et acquérir les compétences d'une égarité sereine et respectueuse.   Deux solutions: je vire ou j'accepte tout le monde.  j'ai décidé d'accepter tout le monde, mais je n'ai pas décidé d'exonérer tout le monde de mes remarques et de mes explications.  Tout le monde y a droit.   Bienvenu à tous et toutes. Armez vous de raison, de patience et venez apprendre le respect et les mécanismes de la tolérance aux autres.   Samedi mac do la teste 14h30 Dimanche Salie Nord 9h45 

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