BALADES DES 8 ET 9 OCTOBRE DITES BALADES DES AOUTIENS EN AUTOMNE

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, AMISHS, PAPISHS, MIRLITONS, BELLES MÈRES DE LANGUES GOURMANDES ET BIEN PENDUES....

Et pourquoi pas l'automne. Les jours raccourcissent, les idées subissent déjà les affres du réchauffement climatique.

Emmanuel Macron  avait affirmé que, « dans le principe », un ministre devait « quitter le gouvernement » en cas de mise en examen. Un principe qui n’a depuis pas toujours été appliqué de manière stricte. Interrogé sur le sujet, le porte-parole du gouvernement a estimé qu’il y avait « la question du principe » et celle « de son application concrète ».

La règle édictée par Pierre Bérégovoy: un ministre mis en examen - ou susceptible de l'être - démissionne, a été  plus ou moins suivie selon ses successeurs et les affaires. Tour d’horizon. sources Figaro

  • Bernard Tapie, 1992

C’est le premier membre d'un gouvernement à avoir inauguré la jurisprudence. L’homme d’affaires, également ministre de la Ville, est alors attaqué par son ancien associé Georges Tranchant pour «abus de bien sociaux» dans le cadre d'une société de distribution de la marque Toshiba. Quelques jours avant sa mise en examen, il démissionne de son poste en mai 1992. En fin d’année, il obtient un non-lieu, ce qui lui permet de revenir dans le gouvernement en décembre 1992.

  • Gérard Longuet, 1994

 Lequel démissionnera après sa mise en examen pour «recel d’abus de crédit» en octobre 1994. Il sera néanmoins totalement relaxé par la justice en novembre 1998.

  • Dominique Strauss-Kahn, 1999

il doit démissionner en novembre 1999. Mis en examen un mois plus tard, «DSK» sera finalement relaxé en novembre 2001.

 

  • André Santini, 2007 et Brice Hortefeux, 2010.

 André Santini en 2007. Déjà mis en examen pour «détournement de fonds publics, faux et prise illégale d'intérêt» dans l’affaire de la Fondation Hamon, André Santini est tout de même nommé Secrétaire d’État chargé de la Fonction publique en juin 2007. Il restera à son poste jusqu'en juin 2009.

Brice Hortefeux, ministre de l’Immigration, de l'Intégration, de l'Identité nationale et du Codéveloppement entre 2007 et 2009. Puis ministre de l'Intérieur jusqu'en 2011. Mis en examen et condamné les 4 juin et 17 décembre 2010 pour «injures raciales» et «atteintes à la présomption d’innocence», il restera membre du gouvernement jusqu’en février 2011.

  • Eric Woerth, 2010

À l’été 2010, le ministre du Travail, de la Solidarité et de la Fonction publique Éric Woerth doit faire face aux affaires «Bettencourt» et de «l’hippodrome de Vincennes». Éric Woerth bénéficiera d’un non-lieu pour la première affaire en 2014. Et obtient une relaxe totale dans la seconde, l'année suivante. 

  • Jérôme Cahuzac, 2013

Jérôme Cahuzac sera condamné en 2018 pour «fraude fiscale» et «blanchiment de fraude fiscale» à deux ans de prison ferme et deux ans avec sursis. Peine aménagée avec un bracelet électronique.

  • Richard Ferrand, 2017

 l’association Anticor porte plainte contre X pour «délit d’abus de confiance».  Avant un premier classement sans suite en octobre 2017, l’affaire est relancée à la suite d'une deuxième plainte d’Anticor. Ce qui amènera à la mise en examen de Richard Ferrand, devenu président de l'Assemblée nationale en octobre 2019.

  • François Bayrou, Sylvie Goulard et Marielle de Sarnez, 2017

 Tous sont rapidement cernés par «l’affaire des assistants parlementaires» au Parlement européen. Au lendemain des élections législatives, les trois ministres démissionnent. Dans cette affaire, Emmanuel Macron dépasse la règle initiale de la jurisprudence, leur démission intervenant avant toute ouverture d'enquête ou de mise en examen. Ils le seront en décembre 2019 pour «complicité de détournement de fonds publics».

 Plus récemment d'après un article de l'OBS:

Viols, harcèlement, prise illégale d’intérêts… Huit ministres du gouvernement d’Elisabeth Borne ont été épinglés ou sont mis en cause par la justice.

  • Chrysoula Zacharopoulou, secrétaire d’Etat à la Francophonie, visée par une enquête pour viol

Nommée en mai secrétaire d’Etat chargée du Développement, de la Francophonie et des Partenariats internationaux, Chrysoula Zacharopoulou est visée par une enquête après le dépôt de deux plaintes pour viol. Selon les informations de « Marianne », les faits reprochés auraient été commis dans le cadre de sa profession de gynécologue.

La première plainte dénonçant des faits de viol a été déposée le 25 mai et l’enquête ouverte deux jours plus tard, a précisé le parquet. Concernant la deuxième plainte, les faits imputés se seraient déroulés « dans un cadre médical » en 2016 et concerneraient une femme majeure. L’enquête a été confiée à la Brigade de Répression de la Délinquance contre la Personne (BRDP).

  • Catherine Colonna, ministre des Affaires étrangères, visée par plusieurs signalements pour harcèlement

La nomination de Catherine Colonna au Quai d’Orsay a été actée malgré plusieurs signalements pour harcèlement, selon les informations de Mediapart. Alors ambassadrice de France au Royaume-Uni, Catherine Colonna a été visée par plusieurs signalements adressés à la cellule « tolérance zéro » du Quai d’Orsay au début de l’année 2022. Des témoignages qui devaient donner lieu à une inspection générale, suspendue après sa nomination au gouvernement.

 

Selon le média d’investigation, un signalement avait même déjà été effectué à la suite d’une inspection menée à l’ambassade d’Italie à Rome à l’époque où Catherine Colonna y était, entre 2014 et 2017. Les témoignages décrivent des faits s’apparentant à du harcèlement moral. « Il est connu que Mme Colonna a des pratiques consistant à briser les gens », rapporte un diplomate à « Libération ». D’après lui, « Emmanuel Macron a nommé ministre la diplomate la plus détestée du réseau diplomatique ».

 
  • Gérald Darmanin, ministre de l’Intérieur, accusé de viol

Plusieurs ministres sont accusés de violences sexuelles, à l’instar du ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin, visé par une accusation de viol et de trafic d’influence qui émanent de deux femmes différentes.

Il est accusé d’avoir promis un « service » à une femme en échange de faveurs sexuelles en 2009. Deux plaintes simples déposées en juin 2017 et janvier 2018 avaient été classées sans suite. Une troisième plainte déposée en mars 2018 par la même plaignante avec constitution de partie civile avait été classée sans suite dans un premier temps, puis relancée par la cour d’appel de Paris en juin 2020. Le parquet de Paris a requis un non-lieu début 2022.

Une autre femme avait porté plainte en février 2018, disant s’être « sentie obligée » d’avoir des relations sexuelles avec le ministre, alors maire de Tourcoing, pour obtenir logement et emploi. L’enquête préliminaire pour « abus de faiblesse » avait été classée sans suite en mai de la même année.

  • Damien Abad, ministre des Solidarités, accusé de viol

Au lendemain de sa nomination au gouvernement, le ministre des Solidarités Damien Abad a été accusé de viol par deux femmes. Selon les informations de Mediapart, les faits présumés remontent à 2010 et 2011 : la première femme, âgée de 41 ans, a adressé une lettre à l’Observatoire des Violences sexistes et sexuelles en Politique le 13 mai, dans laquelle elle « souhaite témoigner des faits de viol concernant Damien Abad », alors pressenti pour entrer au gouvernement. La seconde femme a pour sa part porté plainte pour « viol » en 2017, classée sans suite.

Le site d’investigation avait publié le 14 juin de nouvelles accusations de la part d’une « élue centriste » qui dit avoir subi une tentative de viol en 2010. Le parquet de Paris avait finalement indiqué le 25 mai qu’il n’ouvrait pas d’enquête préliminaire « en l’état », estimant ne pas disposer « d’élément permettant d’identifier la victime des faits dénoncés ».

  • Eric Dupond-Moretti, ministre de la Justice, soupçonné de « prise illégale d’intérêts »

Elle est connue comme étant « l’affaire Dupond-Moretti » et remonte à janvier 2021 quand la commission d’instruction de la Cour de justice de la République (CJR) ouvre une information judiciaire pour « prise illégale d’intérêts » dans deux dossiers. Le garde des Sceaux, mis en examen en juillet 2021, est soupçonné d’avoir profité de sa fonction gouvernementale pour régler des comptes avec trois magistrats du Parquet national financier (PNF) qui avaient fait éplucher ses relevés téléphoniques détaillés (fadettes) quand il était encore avocat.

Le ministre est également accusé d’avoir diligenté des poursuites administratives contre un ancien juge d’instruction qui avait mis en examen un de ses ex-clients. Le 10 mai, le ministère public de la CJR a jugé qu’il existait des « charges suffisantes » contre le ministre pour le renvoyer en procès devant la Cour. La commission d’instruction de la CJR a ensuite rejeté la demande d’annulation de la mise en examen formulée par les avocats du ministre.
  • Sébastien Lecornu, ministre des Armées, visé par une enquête pour « prise illégale d’intérêts »

Promu dans le nouveau gouvernement, l’ex-ministre des Outre-mer est visé depuis mars 2019 par une enquête pour « prise illégale d’intérêts » et « omission de déclaration à la HATVP », la Haute Autorité pour la Transparence de la Vie publique. Dans sa déclaration, Sébastien Lecornue mentionnait avoir touché 7 874 euros brut de « jetons de présence » en tant qu’administrateur de la Société des Autoroutes Paris Normandie (SAPN) entre 2016 et 2017. Le problème : il présidait alors le département de l’Eure et a approuvé plusieurs délibérations en lien avec la SAPN, dont l’une d’elles concernerait un projet pour lequel le département de l’Eure a déboursé un million d’euros, selon « le Canard Enchaîné ». Il a été entendu en avril par la police anticorruption lors d’une audition libre et l’enquête suit son cours.

  • Olivier Dussopt, ministre du Travail, visé par une enquête pour « prise illégale d’intérêts » et « corruption »

Autre promu du gouvernement Borne, Olivier Dussopt est visé par une enquête préliminaire du Parquet national financier pour « prise illégale d’intérêts » et « corruption », selon les informations de Mediapart en juin 2020. Alors qu’il était député et maire d’Annonay (Ardèche) en janvier 2017, il avait accepté deux lithographies en cadeau par la société de traitement de l’eau Saur. Six mois après la réception des œuvres, l’ex-ministre de l’Action et des Comptes publics avait signé un contrat entre l’entreprise et sa commune. Après une perquisition au domicile du ministre par l’Office central de Lutte contre la Corruption et les Infractions financières et fiscales en août 2020, l’enquête est toujours en cours.

  • Justine Benin, secrétaire d’Etat chargée de la Mer, accusée de clientélisme

Défaite lors des législatives, Justine Benin devrait quitter prochainement le gouvernement. Pour autant, elle est accusée par Mediapart d’avoir, en tant que députée, utilisé l’argent du MoDem pour arroser les associations de sa commune du Moule en Guadeloupe, alors qu’elle était candidate à la mairie.

 

Dans les comptes du parti centriste des années 2019 et 2020, le média d’investigation a repéré pas moins de 37 000 euros qui ont été versés à 14 organisations locales. L’argent ayant été versé en pleine période électorale, certaines dépenses auraient dû apparaître sur le compte de campagne du MoDem. Pour Mediapart, « la visée électorale est transparente ». Traduction : il s’agit de « clientélisme ».

 
 
 
 
Vous allez alors me poser la question mais qu'est ce que cela a à FAIRE avec les chiens?
 
Et bien je vais vous le dire si vous êtes sages.
 
Toutes ces personnes, pour des raisons propres, se sont, qu'on le veuille ou non, senties au dessus des lois, plus malines que la loi. Le sport, leur sport, a un  enjeu, celui de flirter avec la limite comme si leur dû n'était non pas à chercher dans l'esprit de la loi, l'honnêteté, la probité, la responsabilité mais dans la limite à la loi, avec comme "aune", comme mesure du "bien", le pas vu, pas pris. La jouissance du "hors la loi" parce que je le vaux bien!
Ce n'est pas la présomption d'innocence qu'il faut remettre en cause car elle existe en acte. Que je sache personne n'est incarcérée ou condamnée avant que d'être jugée.
 
Mais plutôt, ce qui est à remettre en cause, c'est la présomption de  légitimité et de supériorité pour tous les détenteurs de pouvoirs qu'ils soient symboliques, institutionnels, culturels, capitalistiques et même charismatiques comme les influenceurs et autres exhibitionnistes de sboobs se l'autoproclament par le nombre de smileys enregistrés.

La domination, comme pour les chiens, ne passe pas et ne doit pas passer par l'exacerbation de la mégalomanie dans la croyance en sa toute puissance et en son tout sachant. Etre  au dessus de tout, qu'ils soient humains  ou canins, se croire élu de ..... investi, porteur d'un projet transcendant dont la résultante serait la place du pouvoir occupé et l'usage,  l'hubris, c'est à dire l'agissement  avec démesure, intempérance, orgueil, confiance excessive en soi ou griserie du pouvoir, aboutit sans faillir à l'erreur, à la tyrannie et à la maltraitance de son milieu. La coordination au lieu de s'observer comme la résultante d'un partage de points de vue, une construction commune de solutions pilotées par la négociation et la coopération mutuelle, s'observera comme le fruit d'une tyranie de maître sur l'esclave ou d'individu sur l'objet. Elle sera inefficace et aboutira toujours, soit sur des maltraitances et des violences telles que l'on en est témoin en Iran, en Ukraine et maintenant aussi en Arménie, soit sur une mise en danger et une dégradation sociale, grégaire, écologique de nos milieux.

SAMEDI ET DIMANCHE 9H45 FORÊT DES MIMOZAS, A LA TORCHÈRE, ON APPRENDRA A ÉVITER L'HUBRIS DU TOINE TOUT EN APPRENANT A NOS TOUTOUS A RESPECTER LES IMMENSES NAINS AUX PERSONNALITÉS GANGRENÉES PAR LA SOCIÉTÉ MARCHANDE EN MANQUE DE GAZ POUR SE RÉCHAUFFER.

PS. prévenez si vous venez et si vous ne savez pas où cela se passe, on se donnera rendez vous dans dix ans, place Daniel Meller à 9h35, Uniquement si vous prévenez. 

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