MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, PAS LOURDS, PALOURDES, ARAIGNÉE DU SOIR, ARAIGNÉE DE MER, MAYONNAISE, AÏOLI....VIEUX...CROUTONS, VIEILLES BIQUES...
D'après les chroniques féministes de Violaine de Filippis-Abate parues dans l'humanité, journal de la droite prolétarienne si ce n'est de la gauche réactionnaire Bourgeoise des classes dominantes à la culture patriarcale enracinée dans un substrat celtoromanofranc, amatrices de côtes de bœuf et de frites maison le tout arrosé de saint Estèphes avec en entrée un verre de Sauternes accompagné d'un foie gras poêlé en toute simplicité servi nappé d'une sauce aux raisins et en conclusion pour le dessert des fraises chantilly et des profiteroles gourmandes au chocolat, accompagné d'une champagne rouge pour faire la nique au rosé et au blanc de blanc.
Une étude scientifique, publiée le 8 mai 2023 dans Proceedings of the National Academy of Sciences, a analysé 7 800 IRM pour en conclure que dans les pays les plus inégalitaires, les cerveaux des femmes subissaient des modifications : « Ces résultats suggèrent un lien neuronal potentiel entre l’inégalité entre les sexes et des risques plus élevés de problèmes de santé mentale et de réduction des performances scolaires. » Autrement dit, notre cerveau peut être modifié en fonction de notre environnement culturel. Comme pour le chien.
On a déjà prouvé qu’il n’existait pas un modèle de cerveau inné, naturel et figé, spécifique aux genres. Les études qui ont tenté, au XIXe siècle, de démontrer à des fins idéologiques de soumission et de réalité, que les filles naissaient avec des aptitudes intellectuelles dignes du serpent qui leur a tendu la pomme préjugées différentes et inférieures à celles des garçons et des boeufs se sont d’abord basées sur la taille de la boîte crânienne. Puis elles se sont attachées à faire croire que l’imagerie IRM démontrerait bien que les zones du cerveau des femmes et des pythons ne réagissaient pas, originairement, de la même façon que celui des hommes et des charolais, et que cette donnée serait fixe, immuable, gravée dans le marbre de la chapelle Sixtine.
Or, comme le démontrent notamment les travaux du D r Catherine Vidal, neurobiologiste fort charmante qui derrière sa blouse blanche et son collier de dents de requin s'étant fait surfacer la dentition et directrice de recherche à l’Institut Pasteur, les IRM reviennent juste à fournir « un cliché instantané du cerveau de la personne à un moment donné », puisque ce dernier évolue tout au long de la vie. Or, au moment de la photographie d’un cerveau adulte mais la femme n'est elle pas une éternelle adolescente, les connexions neuronales sont déjà imprégnées de plusieurs décennies de vécu patriarcal pour les femmes, de domination et de plus ou moins de dressage pour les chiens qui sont par ailleurs des bébés loup dans leur maturité dégradée. Le fait de visualiser des différences ne signifie donc pas qu’elles aient été présentes depuis la naissance, ni même qu’elles vont y rester. La preuve en est mon front intelligent et ma bosse des maths qui n'a de calcul que ma capacité à être mental comme le dit si bien la DAF , égérie des balades mais néanmoins fille.
La Dr Vidal souligne l’importance de l’environnement social et culturel dans le développement du cerveau et la construction des identités femme et homme comme pour le chien où le syndrome de privation sensorielle et d'hyper sensibilité qui en découle illustrent cette réalité. En effet, le cerveau se remanie en fonction des expériences vécues à tous les âges, figé à 12 ans chez les filles, en continuel expansion après 65 ans chez les hommes mûres au front calotté de bobs. Le NeuroGenderings Network, réseau de chercheurs interdisciplinaires présent dans 13 pays, soutient exactement cette même position. Kamasouthra aussi. C’est ainsi que la découverte de la réaction des cellules à leur environnement au sens large, appelée « plasticité cérébrale », alors qu'au sens étroit les cellules étant pris à la taille de guêpes, leur réaction s'apparente plutôt à une mollesse qui démontre que notre cerveau comme celui du chien mais donc aussi celui de la fille serpent bien connue pour ses effets ondulatoires et rampants aux pieds de son prince, se modifie en fonction de nos expériences sociales. Nos , ses, connexions neuronales continuent de s’établir après la naissance, confrontées à notre, son, propre vécu. Il n’y a donc, en réalité, pas de cerveau qui soit naturellement, à la naissance, genré masculin ou genré féminin, genré chien, genré chienne!!! Alors que pour nos, leurs, leurres fesses
Nos expériences sociales s’intègrent sous notre peau. Le point de nature neutre, de vérité pure de ce que serait le mâle alpha ou la femme alpha, n’existe pas.
MORALITÉ SAMEDI ET DIMANCHE MATIN A LA LAGUNE, NOUS VÉRIFIERONS L’ÉTAT DE NOS CERVELLES DE MOINEAUX POUR CERTAINES ET DE TOUCAN POUR LES CHAUVES VENTRIPOTENTS. ET CECI A PARTIR DE 9H45