Les principes de Léonard de VINCI sont ils les même que ceux des balades?  Léonard de Vinci: « principes pour le développement d’un esprit complet : étudiez la science de l’art, étudiez l’art de la science. Développez vos sens – en particulier, apprenez à voir ». 

Et bien si je ne m'abuse, vous vous dîtes: pétard de pétard,  y-a-t'il plagiat ou pas? Vinci serait-il un PPDA sous influence ou un Gad el Maleh en devenir? D'autant plus qu'Antoine en parle sans timidité ni précaution oratoire: mais p..... Anne, Léa etc. regardez précisément ce qui se passe sous vos yeux hébétés qui vous honore d'un regard vide si ce n'est orné de faux cils! C'est pas sorcier. Plutôt que de rechercher à argumenter comme une nonne escarcisée à force de genoux flexion  face au petit jésus caché sous la soutane, arrêtez de  retenir votre respiration et regardez, matez et pas que le ciel, non tout ce qui vous entoure qui comprend le tissage qui nous lie tous à tout.

Détourne ton regard des courbes appétissantes du TOINE, regarde ton chien, les chiens, les humains, devant, derrière, de travers, dans les fourrés, les gens, les oiseux etc. ouvre toi aux autres. 

" Non, le vivant n’est pas uniquement un paysage, une nature passive. Mais notre « crise de sensibilité au vivant » nous fait passer littéralement à côté des épistémologies et des vécus qui florissent ici. « Cette absence de culture du vivant, écrit-elle, a des effets indéniables sur la richesse et la finesse de l’équipement mental de notre œil et ainsi sur notre manière de voir le vivant. » 

"L’auteur défend un apprentissage de la vision pour ne percevoir le vivant comme un « décor inanimé ou une matrice de symboles, non plus comme le reflet de nos émotions intérieures ou comme des corps-matières dépourvus de significations – mais comme des corps-perspectives et des parents féeriques ». 

En effet, il faut comprendre que la théorie de l’évolution a augmenté notre généalogie en l’ouvrant au non-humain : « Les liens de parenté qu’inaugure la théorie de l’évolution entre nous et le reste du vivant sont des liens de parenté très profonds : nous venons tous d’une même lignée, nous partageons avec certains des ancêtres communs, nos corps sont constitués à partir des mêmes substances (cellules) et êtres vivants (bactéries), et la physionomie de nos vies elles-mêmes, ce qui nous occupe, ce qui a de l’importance, ce que nous traversons, est également partagé. »

Seulement voilà, nous ressentons peu, sinon pas, « la parenté biologique darwinienne », si bien que l’enchantement du monde naturel nous est étranger. Il est temps de comprendre que c’est en restaurant nos fonctions esthétiques que celles cognitives se démultiplieront.