MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, ADONIS, ANISETTE, ZETTE EN BERNE, BERNE EN ZETTE, ANISÉ, SANISETTE.....

Depuis plusieurs semaines j'ai traité de sujets sérieux et délicats tel que le melon, la citrouille, les blettes, les blattes. Et BIEN aujourd'hui, nous allons nous dépasser en parlant des Aspergers. 

Comme me le disait ma Maman quand j'étais jeune et encore bien portant alors  que je n'avais pas encore attaquer la longue litanie de mes maladies infantilisantes jusqu'à mes maladies actuelles, discrètes et efficaces dans leur capacité à assumer leur promotion, Maman donc, citant Virgile, Achille et Périclès me susurrait à l'oreille que j'ai fort belle quoiqu'un peu décollée: Aspergez, aspergez, il en restera toujours quelque chose!

Ce matin, douce surprise quand me rendant à ma boîte aux lettres, je fus saisi d'un doux émoi, d'une douce sensation de surprise qui émulsionna ma curiosité. En effet une enveloppe estampillée "la NASA" m'était adressée.

Voilà la lettre qui y était jointe à l'intérieur, (Je précise même si cela n'a aucune importance) pliée en trois morceaux dans le sens de la longueur.

Apollonide extraverti, souvenir d'enfance de vos séjours en Ehpad, villégiature de tes humanités, Toi Dionysos aux pieds ailés, digne représentant de la mâle branche qui ne s'étiole qu'au contact de l'ambroisie et du beaujolais nouveau au goût de cerise et d''yaencoresoif", toi, toi mon toit, toi toi mon tout mon roi, l'humanité a besoin de toi.

Thomas Pesquet a les traits tirés, Armstrong la trompette en berne, cosmonautes, astronautes, spationautes de tous les pays ne se reproduisent plus. La souche est en train de dépérir, Pourquoi mon Toine des Carpates et de la dune du Pyla? Parce que me direz vous, mais encore?

Voilà la dernière menace avant celle du réchauffement climatique, de l'eurovision et de la colonisation des plages occitanes par les hordes sauvages d’hippocampes. Mon cher Antoine après maintes études on s'est aperçu que sur des jeunes hommes, les longs séjours en absence de pesanteur, amenait les corps caverneux à se ramollir, se distendre, s'affaisser pour en toute fin se flasquiser dans une léthargie chaude et humide ce qui était votre hypothèse de départ lorsque vous préconisiez des stages en altitude qui ne vous ont pas empêcher de louper le prix Nobel de la pet.  Cela nous a permis de corroborer l'hypothèse que vous aviez  émis lors de vos 62 premières années de veille à regarder, (vous n'avez eu accès à internet qu'à 4 ans), tout en relevant les  détails de vos observations des nuits entières sur les documentaires animaliers sans poils, de groupes à la mixité militante dans l'essence même de celle-ci, c'est à dire du froid au chaud en passant par le tiède et lycée de Versailles, ce que l'on appelle dans la robinetterie la révolution du mitigeur. Groupes à la densité féminine inversement proportionnelle au nombre de cm2 de tissus répandus  sur des peaux plus ou moins épilées, satinées, hâlées et qui à force d'introspection et de manipulation du "pencil à l'encre sympathique" confirma l'inexistence d'os pénien dans le tréfonds du pantalon de l'Apollo(n) des balades. Excellente nouvelle puisque l'apesanteur étant un élément contingent  essentiel dans le ramollissement de l'homme dans toute son humanité partie à la conquête des planètes et des trous noirs et blancs, cette observation n'aurait donc comme conséquence que de valider la candidature du coach comme "mol" professionnel. Représentant de façon avantageuse l'humain par sa fierté opiniâtre de conquistador mettant de côté ses capacités reproductives qui par l'effet de l'apesanteur s'apparente plus à la flanelle bien connue comme matière du costume du leader maximou, le coach fera face. Face à quoi? A vous de me le dire....

SAMEDI A 14H30 RUE DES GEMMEURS AU 24, BALADE DES EXPLORATEURS DE L'ESPACE A TRAVERS BOIS, ET DIMANCHE 9H45, BALADE AU WHARF.