En cet an de graisse 2021, veuillez trouver mes biens chaires sœurs, la promesse d'une vie meilleure et néanmoins chiantante dans laquelle vous garderez un œil non pas de pigeon mais de lynx. Un œil sur quoi me direz vous, mais un œil ouvert bien sûr, pas fermé, bandes de boutes-en-train, petits oiseaux moqueurs.  Là est la question.   

Le "wokisme" fait référence au terme "woke", qui signifie être "éveillé", en anglais. En clair, c'est être conscient des problèmes de justice sociale et de racisme. 

Oh la lalala, mon Michel, huuuuuuummmmm ne serait ce pas de l'ultra radicalisme d'islamogauchistes nourris à la tétine de modem et sujet à la  Bayrouisation d'ultra centre qui nous tyrannise tout en avançant masqué. Dis ma petite Blanquette de tête de veau et assimilés, ne serait ce pas une maladie auto immune qui nous mange le cerveau troué par la prise de substances viticoles et primeurs, appelée intersectionnalité??????

Mais de quoi est  ce qu'on parle là?

D'après wikipédia:

L'intersectionnalité étudie les formes de domination, d'oppression et de discrimination, non pas séparément, mais dans les liens qui se nouent entre elles, en partant du principe que les différenciations sociales comme le genre, la race, la classe, la couleur, la nation, la religion, la génération, la sexualité⁴ ou l'orientation sexuelle etc ne sont pas cloisonnées, ou encore les rapports de domination entre catégories sociales ne peuvent pas être entièrement expliqués s'ils sont étudiés séparément les uns des autres. L'intersectionnalité entreprend donc d'étudier les croisements et intersections entre ces différents phénomènes⁵.

Elle analyse les rapports sociaux aux niveaux macrosociologiques (notamment la façon dont les systèmes de pouvoir expliquent le maintien des inégalités) et microsociologiques (notamment via l'analyse des systèmes d'inégalités dans les trajectoires individuelles). Cette dualité macro/micro caractérise la recherche intersectionnelle³.

Tout ordre social se définit par la structure de domination qui par sa mise en œuvre le caractérise.  La domination de classe et la lutte à mener pour la maintenir ou la conquérir, consubstantielle à toute relation ou rapport social, qu'il soit traité sous forme de macro ou de micro sociologie,   ne peut se lire qu'à travers le prix à payer en tant que souffrance à infliger pour le maintenir.   C'est quoi "le". C'est l'"ordre". Tellement rassurant pour certains mais tellement triste et non joyeux pour les têtes en l'air.

Qu'elle soit constitutive d'un capital vernaculaire, culturel ou symbolique, toute domination doit maintenir cet ordre à travers des compromis vis à vis des classes dominées ou des dominés.

Et bien nous voilà bien! le chien n'en est il par un archétype, archétype de la relation hiérarchique et de domination promue au rang de vérité phénoménologique indépassable, exemple de la bonne organisation sociale dont la famille meute avec son mâle alpha et sa femelle bêta  en sont les parangons!!!

brooouuuuuaaaahhhhhh on est en plein intersectionnalité. L'homme par le patriarcat domine la femme. De par son appartenance à la classe dominante, sommet d'où tout doit ruisseler, il domine  la classe moyenne essentialisée en tant que contre-maîtres et coordinateurs, gardes chiourmes des travailleurs transformateurs et producteurs qui eux-mêmes pour se défouler et supporter leur condition, en contre partie, vont dominer leur domesticité et leur femme. Tout autant, au nom d'une éthique pernicieuse de la protection et de l'imitation "morale" de la subordination, femme au nom de la sécurité,   enfants au nom du respect, chiens au nom de l'image, ils passeront leurs nerfs à assouvir leur besoin de  vengeance des humiliations  subies. Par  l'abandon de leur dignité lors de leur soumission acceptée, ils se vengeront  sur leur ouah ouah qui  seront au même titre instrumentalisés pour flatter et cautériser leur égotisme  narcissique, blessé par toutes les humiliations et brimades subies lors de leur devoir de soumission.