MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, COUCOUS, COUSCOUS, GRIVES MUSICIENNES, CRÉCELLES.......

Il n'y a pas à dire le monde est incroyable. Entre les naturalistes, les naturistes, les intégristes, les bronzés sans marques, les situations surprenantes n'ont pas fini de nous offrir l'opportunité d'une réalité poétique , légère mais néanmoins résiliente au monde dominé par un capitalisme suceur du sang des prolétaires et des veines de charbons qui permettent aux machines d'être les chaînes énergiques et indomptables qui les privent de la liberté de pensée spoliée par la technostructure kafkaïenne de la fonction publique du grand argentier de l'état, le comte de Bercy, sus nommé Le Maire de toutes les batailles, qui nous mène à combattre la dette qui nous lie pour 140 ans de la même façon qu'elle a entravé, pieds et poings liés, Louis le bon 2 fois 8 ou 4 fois 4, grâce à Turgot  épaulé par Necker qui n'est pas l'alter ego d'Attal qui lui même n'est pas le petit fils d'Attali mais celui d'Elie Attal dont le fils Yves est le père de son fils et qui malgré qu'il nage dans le milieu interlope du cinéma et du droit n'a rien à voir avec Yvan qui lui même a un doctorat S'Charlotte, bien connue comme une pâtisserie ou une coiffure du genre, "je te protège de mes pellicules", ce qui met fin à la boucle cinématographique sur laquelle Gabriel a voulu nous entraîner afin de nous endormir tout en continuant à se justifier d'une réforme des retraites qui si elle n'est injuste est absolument scandaleuse et un déni de démocratie qui met coincoin au rang des improbables dirigeants sans talent.