BALADES DU 7 ET 8 AOÛT DITES BALADES DES DEPITES DE LA VIE ET DES EN MANQUE D’IZUMI

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, IZOU, 

Alors que notre teckel préférée manque à l'appel,

Notre petite Izou qui nous présentait son petit ventre rose 

A chaque début de balade pour nous dire son plaisir

De participer à ces escapades avec ses amis canins

Ne sera pas là ce matin pour faire l'éclaireuse ,

La coureuse de lièvre et autre chevreuil

Dont elle était la seule à humer la piste 

Donnant aux autres l'exemple de la liberté 

De la joie et du plaisir des gambaderies sans peur et sans contraintes. 

Petite Izoumi, tu hanteras à jamais cette forêt, ta forêt. Tu y as accueilli

Tous tes amis chiens, tu les as amusés, dissipés, tu y as rassuré les maîtres 

Et les maîtresses qui gràce à toi savaient que leur toutous reviendraient toujours à la caresse

Tu as du en chasser des sangliers et autres monstres de la forêt

Tu as couru derrière les bécassaux, les mouettes, les goëlands

Tu en as fait décoller des aigles, des cigognes et autres gorgones, petite Izoumi,

Dans ton monde onérique d'odeurs et de couleurs, samedi l'une t'a pétrifiée.

Comme dans la chèvre de Monsieur Seguin, Jeannine s'inquiétait de toi mais ne s'empêchait pas de te laisser vivre ta liberté.

En retour tu veillais sur elle et ses petits enfants que tu aimais tant et plus 

Que toute l'année tu partais à leur recherche au cas où ils se seraient cachés 

Derriere un arbre, un bosquet, une dune d'où on s'attendra toujours à te voir resurgir.

Ma petite Fleur, je pense à toi et suis désolé, Izoumi  vaillante et intrépide, tendre et affective veillera sur toi

Eprise de liberté, tu étais sa vigie, son ange gardien, elle t'adorait. Elle te le rendra et ne te quittera pas du regard du haut de son immense stature

Ma petite Jeannine, de ta profonde peine ne fais pas un remord, Izoumi n'est pas au paradis des chiens mais à celui des gens libres

Tu lui as offert la joie, l'affection, la tendresse et de vivre ses bonheurs

Elle nous accompagnera toujours dans les années à venir dans sa forêt plus célèbre que celle de Brocéliande,

La forêt d'Izoumi, vous savez celle où se situe la Salie, la forêt de tous les amis. 

SAMEDI ET DIMANCHE 9H15 FORÊT D'IZOUMI, BALADES.

BALADES DU 31 JUILLET ET DU 1° AOUT DITES BALADES DU QUI QU’EN VEUT DES CAUSES PERDUES, DE LA PERTE DE LIBERTE CERTES MAIS AU NOM DU PLUS GRAND BIEN DE CHACUN

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, FOUFOUS, FOOFOOTS ET TOUT CEUX QUI ONT ENCORE ENVIE DE RIRE

C'est désespérant. Le réchauffement n'est que de 1,1 degrès et on croule dèjà sous le nombre de catastrophes de plus en plus violentes. On ne parle plus en l'air QUE d'écroulement de la biodiversité, de fracture dans le continuum de l'évolution, que des abrutis ne trouvent rien de mieux que de faire des sauts dans l'espace. Les voitures de luxe hyper puissantes ne se sont jamais aussi bien vendues que depuis que l'on n'a plus d'arbre pour faire de l'ombre sur les chemins viscinaux sus nommés "autobahn".

On met moins de 6 mois pour bruler tout ce que la terre peut produire de renouvelable. On assèche, on pille, on désertifie, on bétonne, on sait que c'est con mais on le fait quand même. Les pauvres se multiplient de façon exponentielle, hors ce n'est pas qu'ils polluent, c'est qu'ils sont pollution. Le pauvre est sale. Se nourissant de ce que l'on jette à la poubelle, il ne sait plus s'en servir que pour les vider et non pour les remplir. Il est le premier à jeter sa canette de bière sur les pelouses de nos parcs et autres jardins publics. Lieux accueillant  qui permettent de se donner bonne conscience en  raisonnant "dignité" humaine plutôt que pouvoir d'achat d'escalope de dinde du père dodu.

Courant après un Master, un doctorat ou une chimère science poïste à rente viagère, on vante les dynasties et les tribus tel Mulliez et consort, qualifiés de "communisme familial" pour se persuader que l'exploitation de l'homme par l'homme n'est qu'une étape nécessaire à son nirvana. Karl revient mon lapin mais prends Darwin et Rosa Luxembourg dans ta besace, t'en auras besoin pour ruisseler vers les sommets. 

Mais pourquoi l'ours Staline n'était pas écolo. Pourquoi aux Etats Unis les ententes pour l'obsolescence programmée sont devenues les théories pour l'obsolescence esthétique. Pousser à la consommation, jeter, gaspiller, rend plus pauvre. 

Plus la richesse disponible est grande, plus les inégalités croissent et elles sont criantes et sans doute rarement atteintes un tel niveau.

Plus vous êtes dans un état de grande insécurité et de catastrophe plus vous redécouvrez les vertues de l'altruisme et de l'égalité. 

Bonne nouvelle, ça vient. 

On va crever de toutes ces inepties mais on nous vend une loi climat qui jamais mise en oeuvre est déja en retard sur ce qu'il faudrait faire pour freiner la catastrophe. 

Avez vous remarqué qu'en plus de nous prendre pour des faisans que les chasseurs élèvent afin de réguler les populations de poules à tirer,  les politiques ont inventé les lois d'"engagement", déclaratives non pas d'intention ni de programme de réalisation mais de souhait. On inscrit au frontipisce de la république l'urgence climatique, on la déclare comme importante "sans doute", rien n'est prouvé d'ailleurs. Praud Pascal qui n'a de pro que ce que Pâris fils d'Hécube et de Priam avait de chaste et puritain et de Pascal, l'art du bonneteau et du bonimenteur, se disait au pyla ou ailleurs: "mais de quoi est ce que l'on parle de réchauffement climatique quand le matin en juillet on se caille à 17°".  

Et les chiens dans tout cela. Comme tout ils sont victimes de l'effet consumérisme et diktat du "soulagement des besoins affectifs et dominateurs" que nos égos dépréciés se doivent de consommer pour se supporter et supporter la sophistique des pilleurs de troncs. Nos chiens toutes races confondues qui n'en sont pas, supportent notre incompétence inconsciente qui nous limite à n'être que des gobbeurs non de mouches ni même de couleuvres mais de mensonges et de lachetés. 

SAMEDI ET DIMANCHE 9H45 SALIE SUD, ON IRA VOIR COMMENT LA FORÊT S'EXPLOITE, SE DESAGREGE ET CECI AU NOM DU BIEN DE TOUS!

comme d'hab les pauvres sont acceptés, les pauvresses en déshabillé et  les éboueurs et égoutiers en cuissardes du dimanche. 

Ps. Cet Antoine est un putain de bourgeois mal remis de pas habiter en HLM. Dès qu'il parle des pauvres, il écrit en minuscule. Bravo l'apôtre de l'apocalypse.!!

BALADES DU 24 ET 25 JUILLET CE QUI FAIT EXACTEMENT UN CERTAIN NOMBRE DE MOIS AVANT NOËL, PEUT-ÊTRE 5 ET QU’IL EST DEJA TEMPS DE PREPARER SA LISTE DE CADEAUX NON PAS A FAIRE MAIS A RECEVOIR.

MES CHERS CHERES CHAIRES COULEUR CHAIR DONT JE CHERIE LA CUISSON A POINT COULEUR  D'EPICE, LES TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES,  

DE CES POEMES LEQUEL EST DE MOI????

NUMBER ONE;

Cher ange, vous êtes belle
A faire rêver d’amour,
Pour une seule étincelle
De votre vive prunelle,
Le poète tout un jour.

Air naïf de jeune fille,
Front uni, veines d’azur,
Douce haleine-de vanille,
Bouche rosée où scintille
Sur l’ivoire un rire pur ;

Pied svelte et cambré, main blanche,
Soyeuses boucles de jais,
Col de cygne qui se penche,
Flexible comme la branche
Qu’au soir caresse un vent frais ;

Vous avez, sur ma parole,
Tout ce qu’il faut pour charmer ;
Mais votre âme est si frivole,
Mais votre tête est si folle
Que l’on n’ose vous aimer.

NUMBER TWO: 

Mon très cher petit Lou je t’aime
Ma chère petite étoile palpitante je t’aime
Corps délicieusement élastique je t’aime
Vulve qui serre comme un casse-noisette je t’aime
Sein gauche si rose et si insolent je t’aime
Sein droit si tendrement rosé je t’aime
Mamelon droit couleur de champagne non champagnisé je t’aime
Mamelon gauche semblable à une bosse du front d’un petit veau qui vient de naître je t’aime
Nymphes hypertrophiées par tes attouchements fréquents je vous aime
Fesses exquisement agiles qui se rejettent bien en arrière je vous aime
Nombril semblable à une lune creuse et sombre je t’aime
Toison claire comme une forêt en hiver je t’aime
Aisselles duvetées comme un cygne naissant je vous aime
Chute des épaules adorablement pure je t’aime
Cuisse au galbe aussi esthétique qu’une colonne de temple antique je t’aime
Oreilles ourlées comme de petits bijoux mexicains je vous aime
Chevelure trempée dans le sang des amours je t’aime
Pieds savants pieds qui se raidissent je vous aime
Reins chevaucheurs reins puissants je vous aime
Taille qui n’a jamais connu le corset taille souple je t’aime
Dos merveilleusement fait et qui s’est courbé pour moi je t’aime
Bouche ô mes délices ô mon nectar je t’aime
Regard unique regard-étoile je t’aime
Mains dont j’adore les mouvements je vous aime
Nez singulièrement aristocratique je t’aime
Démarche onduleuse et dansante je t’aime
Ô petit Lou je t’aime je t’aime je t’aime

SAMEDI ET DIMANCHE 9H15 SALIE SUD, ELECTION DE LA FRIVOLE ET COMING OUT DE LA LOU COEUR DE LOU. VENEZ NOMBREUSES.

ps/ l'un est de Théophilie Gauthier, l'autre de Guillaume Appolinaire. 

BALADES DU 17 ET 18 JUILLET DITES BALADES DES ANTIBALLADES QUI ENDORMENT LE BON PEUPLE ET LE BERCENT D’ILLUSIONS ET DE …..

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, HALLUCINOGENES, HALOTOLERANTS, HALOPHYTIQUES, HALLEBREDA ET LEUR MOITIE 

AVANT DE BLABLATER ET DE VOUS CHARMER GRÂCE A RIEN,  UNE PETITE HISTOIRE DRÔLE/ et un hommage à CHRISTIAN BOLTANSKI. 

On dit à quelqu'un que si tel leader politique, (au hasard Zemmour ou Lepen) arrive au pouvoir, il va déporter les juifs et les coiffeurs. Que lui répondriez vous? Pourquoi les coiffeurs? (ça marche aussi avec les arabes, les noirs, les roms, les gitans etc.)

BOLTANSKI avait pensé un jour aller à Berlin et y dresser une liste de tous les coiffeurs de la ville. Il y a renoncé. Même cela c'était trop dangereux. 

Il disait: l'art est une chose sérieuse qui n'a rien de joyeux, on n'est pas là pour s'amuser mais pour poser un questionnement existentiel. 


Les deux articles précedants vont être repris pour les rendre plus digestes.


 Par contre celui-là sera indigeste et copieux, roboratif à souhait. 

J'y reprends entièrement un article de wikipédia sur le conditionnement opérant. 

1 Conditionnement opérant

La contribution théorique majeure de B.F. Skinner (1904-1990) à la psychologie est le concept de conditionnement opérant, qu'il distingue du conditionnement classique pavlovien ou conditionnement répondant (terme qu'il invente lui-même). Une classe de comportement constitue un opérant si la probabilité d'apparition de ces réponses est modulable par la manipulation des contingences de renforcement. En clair, on dira qu'une action est conditionnée de manière opérante quand sa fréquence augmente dans le comportement d'un organisme du fait de ses conséquences positives pour l'organisme. Dans le conditionnement classique un stimulus entraîne une réponse, dans le conditionnement opérant, on renforce une réponse par la manipulation des contingences.

2 Reforcement et punition

L'apprentissage skinnerien repose sur deux éléments, le renforcement et la punition, pouvant chacun être soit positif soit négatif. Ces termes doivent être pris dans le sens précis du conditionnement opérant :

  • Renforcement : Conséquence d'un comportement qui rend plus probable que le comportement soit reproduit de nouveau.
  • Punition : Conséquence d'un comportement qui rend moins probable que le comportement soit reproduit de nouveau.

Un renforcement ou une punition peut être soit :

  • Positif : Par l'ajout d'un stimulus agissant sur l'organisme.
  • Négatif : Par le retrait d'un stimulus agissant sur l'organisme.

3 Les différents types de conditionnement opérant

Ainsi, il existe 4 types de conditionnement opérant :

  • Renforcement positif : Procédure par laquelle la probabilité de fréquence d'apparition d'un comportement tend à augmenter suite à l'ajout d'un stimulus appétitif contingent à la réponse. Ex: Ajout d'une récompense, félicitations...
  • Renforcement négatif : Procédure par laquelle la probabilité de fréquence d'apparition d'un comportement tend à augmenter suite au retrait d'un stimulus aversif contingent à la réponse. Ex: Retrait d'une obligation, d'une douleur...
  • Punition positive : Procédure par laquelle la probabilité de fréquence d'apparition d'un comportement tend à diminuer suite à l'ajout d'un stimulus aversif ou conséquence aversive contingente au comportement cible. Ex: Ajout d'une obligation, d'une douleur...
  • Punition négative : Procédure par laquelle la probabilité de fréquence d'apparition d'un comportement tend à diminuer suite au retrait d'un stimulus appétitif. Ex: Retrait d'un privilège, d'un droit...

4 Les renforçateurs

Il existe 2 sortes de renforçateurs (éléments de renforcement) :

  • Renforçateur primaire : Le renforçateur répond directement à un besoin essentiel de l'individu. Ex: Nourriture... On peut le comparer au stimulus inconditionnel de Pavlov (même si, là, il a un rôle a posteriori
  • Renforçateur secondaire : Le renforçateur est un renforçateur par un certain apprentissage fait au préalable. Ex: Jouet, argent...

4.1 Schéma du conditionnement opérant

schéma du conditionnement opérant

5 Expérience

Le paradigme expérimental du conditionnement opérant est le suivant : Un animal affamé est placé dans un cage pourvue de deux mécanismes : un dispositif réponse pouvant être actionné par l’animal et un réceptacle destinée à recevoir une quantité déterminée de nourriture ou de liquide. Sur la base des réponses d’exploration du milieu présentées par l’animal, l’expérimentateur amène progressivement une unité de comportement sous le contrôle du renforcement. En d’autres termes, la réponse choisie par , l’expérimentateur, actionner le dispositif réponse, est suivi de l’octroi d’un peu de nourriture. Comme chez Thorndike, le hasard est un élément déterminant de la résolution de problème. En effet, le dispositif est actionné par hasard par l'animal. On verra ensuite l’animal répéter la réponse dont la probabilité d’apparition atteindra un niveau stable aussi longtemps qu’elle sera suivie d’un renforcement. L’unité de comportement ainsi installée, ou réponse opérante, est fonctionnellement reliée à ses conséquences, ou renforcement. Dans le paradigme expérimental du conditionnement opérant, il n’existe aucune relation de cause à effet entre la réponse et le renforcement avant le conditionnement, contrairement au conditionnement pavlovien. En effet, dans les expériences de Pavlov, stimulus inconditonnel (nourriture) et réponse inconditionnelle (salivation) sont liés avant le conditionnement. Ce n'est que par la suite qu'un lien artificiel va être créé en superposant un stimulus neutre au stimulus inconditionnel. En outre, dans le conditionnement pavlovien, l’organisme subit la réponse. Dans le conditionnement skinnerien, il agit sur son milieu, et obtient son renforcement grâce à son action. En d’autre termes une réponse de type classique ou pavlovien est contrôlée par les événements qui la précèdent ; une réponse de type opérant est contrôlée par ses conséquences.

vidéo de l'expérience de skinner

6 Et l’être humain ?

La théorie du conditionnement opérant de Skinner nous permet d'établir un lien direct entre béhaviorisme et pédagogie. Les autres théoriciens (Pavlov, Watson) s'étaient intéressés jusque-là aux mécanismes d'apprentissages, tant humains qu'animaux, mais n'en avaient pas tiré d'application concrète à destination de l'enseignement. Skinner, nous le verrons, tirera des applications pédagogiques de ses théories. Mais commençons d'abord par examiner ce que signifie l'apprentissage pour ce dernier.

Pour Skinner, l’efficacité de l’apprentissage est liée à six principes :

  • le principe de la participation active : le sujet doit construire sa réponse et non la choisir ;
  • le principe des petites étapes : il faut fragmenter la difficulté pour que même les plus faibles puissent répondre ;
  • le principe de progression graduée ;
  • le principe de l’allure personnelle : chacun doit pouvoir avancer à son rythme ;
  • le principe des réponses correctes : trop d’échecs découragent les élèves, il faut les guider.

7 L’enseignement programmé

Skinner critique l’enseignement classique. Ses travaux en psychologie du comportement soulèvent l’importance d’un renforcement pour l’apprentissage. Pour lui, ce renforcement est fondamental et doit être immédiat, or, dans les classes habituelles, le délai est très long, trop long. De plus, pour lui, le renforcement ne s’intègre pas dans une suite logique d’activités qui permettrait à l’élève d’apprendre un comportement complexe. Enfin, les renforcements sont trop rares, ceci étant lié essentiellement au fait que de nombreux élèves dépendent d’un même enseignant. Il propose donc de réformer cette école, en partant des résultats du conditionnement opérant, en tant que théorie du contrôle des mécanismes d'apprentissage. Il envisage ainsi la création d'une technologie scientifique de l'enseignement qui utilise l'enseignement programmé, susceptible d'être dispensé par une machine à enseigner. La machine à enseigner de Skinner est une boîte parallélépipédique dans laquelle se trouve un rouleau de papier. L’élève commande le déroulement de la bande par la molette se trouvant sur le devant. Les questions apparaissent ainsi une par une ouverture dans la fenêtre. L’élève inscrit sa réponse sur un espace blanc réservé à cet effet, puis tourne la molette. Ceci lui permet de voir la réponse. Il compare ainsi son résultat à la réponse fournie et, si elle est juste, il actionne un levier qui, par perforation de la feuille de programmation, enregistre les bonnes réponses. Puis, il passe à la question suivante. Dans la machine de Skinner, l’enseignement est apporté par la correction immédiate. Mais il s’agit avant tout de machines d’auto-évaluation et non de support de connaissances au sens où nous l’entendons habituellement. La machine propose en outre un enseignement linéaire, en aucun cas la réponse de l’élève ne peut influencer le choix de la question suivante. Pour Skinner (1968), « l’élève doit composer lui-même sa réponse, plutôt que de la choisir parmi plusieurs possibilités, comme c’est le cas dans les dispositifs à choix multiples ». En effet, il pense que le Q.C.M entraîne des erreurs que l’élève n’aurait jamais commises sans cette suggestion. De plus, dans la machine de Skinner c’est l’élève qui s’auto-corrige en comparant sa réponse à celle du programme. Enfin, dans ces machines, bien que Skinner prône le renforcement, il juge qu’un renforcement extérieur n’est pas nécessaire car les renforcements intrinsèques de la réussite et du progrès sont suffisants et inépuisables.

Voilà vous avez appris ce qu'est le conditionnement opérant. Maintenant vous aurez la semaine pour en faire l'analyse critique. Ce dont on se sert dans les balades et ce dont on ne se sert pas. 

Petites pistes:

1° EX: la guidance n'est pas un renforcement aversif/appétitif ou récompense/punition. La guidance est un signal, ni plus ni moins qui joue le rôle d'une écholocation qui suivant sa force et sa direction, sur une échelle partant du blanc (proche) au noir éloigné ou à l'opposé, du chaud au froid, indique la proximité de l'objectif. La métaphore de la guidance est l'écho radar. 

2° EX: La différence entre disruption et punition

Une disruption : Venant du latin, "disruption" qui signifie : rupturebrisurecassure.

Exemple : Disruption est un terme bien connu des cruciverbistes.
Synonymes : rupturebrisurecassure
Contraires : continuitépoursuitepermanence
Étymologie : du latin disruptionem, signifiant rupture, fracture
Traduction anglais : disruption
 
Une punition:
Sens 2
Cette sanction.
Traduction anglais : punishment
 

Remarque/  la punition implique le châtiment. Un châtiment implique la nécessité d'une réparation, celle-ci étant le prix à payer pour effacer la dette contractée ou dont on se croit redevable. On peut se poser la question au nom de quoi? Une supériorité ontologique, divine, un esprit saint mais pas au nom d'une raison saine qui fait prendre la non automaticité d'une réponse pour une désobéissance, un crime de lèse majesté! 

  Si le châtiment est la réparation octroyée pour non respect  d'un contrat, elle acquiert une dimension dissuasive et sa mise en oeuvre plus que aversive pour celui qui la subit, sera  aversive pour ceux et celles qui en sont témoin. C'est pour cela entre autre qu'une punition est toujours injuste est disproportionnée pour celui ou celle qui la subit.  Le châtiment a alors une valeur, celui de racheter la rancune et ainsi de l'effacer tout en ayant une dimension dissuasive. 

On en arrive donc même aux balades, à se poser la question légitime des fondements du droit, de la loi et de la violence institutionnelle qu'elles possèdent. Les deux mamelles en sont telles la prévention par la dissuasion et la réparation par la vengeance "dirigée"!?

Voilà pourquoi aux balades le mot punition est banni à cause de tous ces synonymes qui me hérissent encore les fesses. Enfant  surtout aimé par une mère adorée, mais martyrisé à coups de martinet que je devais acheter moi même avec mon propre argent de poche avant de me prendre une "punition" maternelle extrêmement douloureuse pour mon fondement, ce qui m'empêcha de m'en servir dans ma vie affective qui à jamais a été amputée d'une jambe si ce n'est d'un tronc, du coup je volai, à 14 a sa voiture, à 17 je dealai de la drogue, à 19 je faisais papa par intérim,  à l'âge du christ j'étais séro positif, trois jours après c'était l'ascension, j'étais guéri et toujours multigame, à 40 je faisais mon coming out  et me déclarais "paresseux" vertueux et décidais de travailler sur les chiens, à 59 a je m'arrêtai de travailler, à 64a je continue à simuler l'intelligence, le courage mais jamais ma bien heureuse fainéantise. 

châtiment
peine
correction
sanction
fouet
condamnation
coup
schlague
représailles
retenue
revanche
répression
supplice
torture
vengeance
question
pénitence
arrêt
blâme
colle
emprisonnement
expiation
fessée
pénalité
knout
leçon
lignes
martinet
pensum
piquet
prison
privation
pénalisation
réprobation
internement
gifle
bonnet d'âne
calamité
coin
consigne
devoir supplémentaire
feu du ciel
fléau
fustigation
gage
garcette
talion

 

SAMEDI ET DIMANCHE 9 15 SALIE SUD, VENEZ NOMBREUX VOUS FAIRE HUMILIER, PUNIR, OSTRACISER JAMAIS CONDITIONNES, RAREMENT GUIDES, TOUJOURS LAISSES DANS L'EXPECTATIVE DE REUSSITES MERITOIRES DONT VOUS SEREZ  LES SEULES  RESPONSABLES, DEBITEUR ENVERS VOUS MÊME D'UNE RECONNAISSANCE ETERNELLE D'AVOIR TRAVERSE SANS FAIBLIR LA CROISEE DU CHEMIN DE L'APÔTRE DU LAISSER FAIRE, DU BROUILLARD ET DE L'ENFUMAGE SCOLASTIQUE 

BALADES DU 10 ET 11 JUILLET DITES BALADES DES BIENS PENSANTS OU PAS ENCORE BIENS INTELLIGENTS

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTES, TUTTI QUANTI, TUTTI FRUTTI, E PERICOLOSO SPORGERSI, NE     DESCENDEZ PAS EN MARCHE DU TRAIN QUI N'EST PAS A L'ARRÊT DE BUS ETC.

8° Le raisonnement chez le chien

Le chien animal sensible, émotionnel, communicant est aussi un animal raisonnant.

 

Définition, ce que pour nous est le raisonnement et quels en sont les types.

Raisonnement : Faculté d'analyser le réel, de percevoir les relations entre les êtres, les rapports entre les objets, présents ou non, de comprendre les faits; exercice de cette faculté, activité de la raison discursive. 

Capacité de connaître, de juger, de convaincre; aptitude à comprendre, envisagée du point de vue de son développement plus ou moins grand selon les personnes; qualité d'une personne, disposition d'un esprit qui juge avec discernement, avec sagesse. Synon. intelligence, jugement, esprit critique 

Opération qui consiste à lier deux propositions pour en former une troisième (ou conclusion), au moyen de règles logiques. 

 

Les différents types de raisonnement

 Raisonnement par l'absurde*,  apagogie, sur le Wiktionnaire Le raisonnement par l'absurde (du latin reductio ad absurdum) ou apagogie (du grec ancien apagôgê) est une forme de raisonnement logique, philosophique, scientifique consistant soit à démontrer la vérité d'une proposition en prouvant l'absurdité de la proposition complémentaire (ou « contraire »), soit à montrer la fausseté d'une proposition en déduisant logiquement d'elle des conséquences absurdes.

Par inférence : Opération qui consiste à admettre une proposition en raison de son lien avec une proposition préalable tenue pour vraie.

 par analogie :  Rapport de ressemblance, d'identité partielle entre des réalités différentes préalablement soumises à comparaison; trait(s) commun(s) aux réalités ainsi comparées, ressemblance bien établie, correspondance. (Correspond à analogue). Trouver, constater une analogie, un rapport d'analogie.

Méthode de raisonnement qui consiste à passer d'une ressemblance partielle à une ressemblance générale :

par récurrence*; Caractère, état de ce qui réapparaît par intervalles, de ce qui se reproduit; processus répétitif.

ÉPISTÉMOL. ,,Concept spécifique de l'histoire des sciences restituant le passé de la science à partir du présent de la science, et selon lequel l'histoire des sciences n'est pas seulement récit d'événements, mais histoire jugée, en référence à l'actualité des sciences`

Raisonnement réductif ou syllogistique:  Raisonnement déductif rigoureux se fondant sur les rapports d'inclusion et d'exclusion des propositions sans qu'aucune proposition étrangère soit sous-entendue:

 Raisonnement déductif formé de trois propositions, deux prémisses (la majeure et la mineure) et une conclusion, tel que la conclusion est déduite du rapprochement de la majeure et de la mineure.

Partout où il y a esclavage, il ne peut y avoir éducation; dans toute société, les femmes sont esclaves; donc la femme sociale n'est pas susceptible d'éducation.
 

Raisonnement par induction (v. induction A 1 a et inductif A 1); type de raisonnement consistant à remonter, par une suite d'opérations cognitives, de données particulières (faits, expériences, énoncés) à des propositions plus générales, de cas particuliers à la loi qui les régit, des effets à la cause, des conséquences au principe, de l'expérience à la théorie. 

Raisonnement hypothético-déductif (rem. s.v. hypothétique, ex. de Piaget);  Type de raisonnement qui conduit de une ou plusieurs propositions dites prémisses, à une conclusion « nécessaire », c'est-à-dire inévitable si l'on accepte la règle du jeu``

Raisonnement à priori (v. à priori B) ou a postériori (v. à postériori A). Qui ne se fonde pas sur des données d'expérience. Raisonnement, idée, connaissance à priori.

− P. ext. [Chez C. Bernard] Qui est antérieur à telle expérience.

 

Que nous démontre le chien.

Lors de la guidance, le chien ne sait jamais ce qu’il a à faire.

La plus grande difficulté qui synthétise toutes les autres, intervient lorsque l’on demande au chien de chercher. Son interrogation est: que me demande-t-on? 

La difficulté est double/

1° le chien ne sait ce que veut dire chercher.

2° le chien ne sait pas quoi ou qui chercher.

3° et nous, nous croyons savoir que chercher c'est sentir!!!!dans le meilleur des cas mais on oubie que chercher à la place de l'autre c'est le précéder et donc qu'être précédé est le prémisse à cette ontologie qu'est la recherche et pas que du temps perdu ou de ses bijoux de famille et non l'abandon d'un complexe de supériorité et de directivité. 

Découpons le processus de recherche en phase.

Prenons pour hypothèse que ce qu’il y a à chercher est une personne et que nous supposons qu’elle est partie devant nous. Pour faciliter l’exercice, pour la première fois, nous pouvons mettre un signe indiquant la bifurcation que la personne a prise pour se cacher.

A/ nous sollicitons le chien, nous pouvons dans celle-ci lui indiquer que nous allons chercher quelqu’un.

A-1 Le chien propose un mouvement supposé donner un sens non à la notion de recherche mais à l’expérience qu’il croit qu’on lui demande. Il part dans une direction.

Si cette direction est dans le sens que la personne a pris, nous le renforçons en disant c’est bien cherche terme qu’il entend pour la première fois.

A-2 Nous faisons alors un pari Pascalien.

Nous parions que dans cette direction qui est devant nous, cela correspond à la recherche

A-2-1 comprendre que chercher c’est toujours être devant nous et

A-2-2 c’est avoir l’opportunité qu’il croise une odeur « différente »

 

Nous parions donc sur l’association de prémisses  « devant + odeur » pour l’amener à les associer pour en déduire ce qu’il a à faire.

Remarque : c’est notre croyance que la recherche équivaut à mobiliser l’odorat, donc notre cerveau et ses à priori, qui nous entraîne dans une observation active et influenceuse en renforçant ce que l’on croit devoir se passer mais qui souvent ne se passe pas ainsi !!!

A-3 cette association est en concurrence avec d’autres et nous devons alors le guider pour qu’il sélectionne les bonnes (direction odeur)

Ceci se fait en guidant ce qu’il nous semble être la bonne direction mais avant tout et surtout la position « devant », seule à pouvoir nous assurer une probabilité plus élevée de croiser l’odeur recherchée.

Nous voyons bien que le chien fait pour réussir ce qui n’est pas « programmé » mais qu’il va quand même réussir mettre en place de inférences complexes qui doivent aussi partir d’un environnement contingent nécessaire, la « guidance «  mais qui elle-même a un taux d’erreur assez élevé.

 

A-4 Le chien  à la bifurcation est confronté à une rupture, ici d’odeur.

Soit il dépasse mais tout en cherchant, soit il ignore. Dans les deux cas on guide en négatif.

Mais en revenant s’il saisit l’odeur, par association d’idée il propose d’en prendre la direction, ce que l’on renforce, ce qui lui fait comprendre deux choses: ce que chercher est et qui chercher. On valide en renforçant à la fin pour marquer la réussite mais le double renforcement complice qui suit valide que cela est bien un travail commun.

 

Voilà résumé et édulcoré une expérience où le chien raisonne pour faire ce qu’il n’a jamais fait au paravent. Ceci aboutit à un « apprentissage couronné d’une réussite ».  car un apprentissage est toujours de faire une chose réussie pour la première fois, le reste c’est de la répétition, de la virtuosité ou de la productivité, de l’efficience mai ce n’est pas de l’apprentissage.

Mais cela va plus loin ! parce que le chien n’a peut être pas du tout mobilisé son odorat mais uniquement son ouïe ou sa vue.

Il va donc devoir mettre en œuvre un raisonnement prenant en compte des renforcements qui ressemblent plus à un brouillard plus ou moins dense suivant la direction prise  et la captation de stimuli par d’autres sources de captation qui par la rupture qu’elles offriront lui permettra de pouvoir déduire ce qu’il a à faire.

 

Par cet exemple on démontre que le chien raisonne par inférence, induction, déduction, par association d’idée, par déduction de ce qu’il capte et qu’il va au-delà de nos à priori et de nos erreurs qui souvent sont accompagnées de nos manifestations d’impatience alors que nous même sommes infoutus de comprendre, saisir et analyser ce qu’il fait mais que l’on a l’outrecuidance de le lui demander quand même.

 

Dans ce cas de recherche, d'un objet, d'une personne identifiée par son "emprunte olfactive",  le chien est dans la situation la plus « facile». Mais lorsque l’on demande de chercher quelqu’un ou un objet que l’on n’a pas fait sentir ni identifier et qu’il faut organiser la recherche, le chien pour « s’accommoder » de ce genre de situation, doit beaucoup plus raisonner que son maître impatient et idiot qui croit que par le conditionnement et l’automatisation il sera plus efficace. PERDUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUU

MORALITE: VENEZ VOUS PERDRE SALIE SUD 9H15 ET N'AYEZ PAS PEUR, SI ON EST TOUS LES TAFIOLES D'AUTRES, C'EST QUAND MÊME NOUS QUI SOMMES LES MAÎTRES DU CIEL PAR L'ARC EN CIEL QUI NOUS ENLACE. VIVE L'OCEAN, LA MER EGEE, LA MER IONIENNE, LA MEDITERANEE ET PENSEES A TOUS CEUX QUI S'Y NOIENT.