MISSION DU 9 et 10 MAI, DITES LA DER DE PAS DERCHE

ohhhhhhhhh PAS DE BOL, que d'eau, que d'eau
en bas, en haut
si demain il fait beau
après demain chaud
promis le Week end prochain
ce sera la fête à pimpim

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTES

Vous allez réussir

A me faire sortir

De ma tanière

Je croyais être

Enfin tranquille

Et bien non c'est fini

C'est la quille

Fini la belle vie.

Ne pas envoyez paître

Les afiçonados

De mes abdos,

De mon tour de biceps

Que je sors aux forceps,

De ma conversation

Et puis de mes poèmes

Qui sont aux nems

Ce que la saucisse est au croupion

Un hymne à l'amour

Au cœur de Strasbourg

10 ans d'édition

Pas un speed dating

Pas un rendez vous bling bling

Non que du lourd

De la bave, du poil, du fouet

Pas une petite main

Sur mon popotin

Quouiiiicchhe , que dalle, que tchictch

Non que des expériences

De groupes certes

Au sein de forêts vertes

Qui si elles avaient été rouges

Auraient révélé les fouges

Que gros cochon j'aurai disputé

Pour me mettre au jus de racine

Pour de ma taille m'affiner

Et enfin ressembler à mélusine

Mélusine et les yaourts de la mort – Lire c'est partir

Signé: L'Eluard du lard

 

A la semaine prochaine

MISSIONS DU 2 ET 3 MAI DITES MISSIONS IMPOSSIBLES DE REPRISE DU TRAVAIL REPOUSSÉE AU 11 MAI

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, RAOULT, RAOÛT, PROUPROUT, CADOR

En ce 1° Mai , fête du travail, de la souffrance, de l'injustice la plus profonde pour les aficionados de la paresse dont je suis, et de la joie et l'ivresse pour Roux de Bézieux qui ne l'a plus connu (LE TRAVAIL) qu'en dehors de ce qu'il vole et détourne au nom des activités (DE TRAVAIL) libératrices, humanistes, mais néanmoins créatrices d'engelures, de crampes, d'ampoules aux mains, de courbatures, de myopies et autres douleurs physicopsycho délétères, qui nous empêchent d'avoir une vie de jouissance totale et ininterrompue, comme toute la ploutocratie du monde se réjouit d'avoir à s'en réjouir!!! Car c'est bien connu,  le prince et le milliardaire, le patron du CAC 40, le préfet  ou  le directeur de prison ou d'Auchan, qui son autant garde-chiourme les uns que les autres,   sont doués d'une physiologie propre à l'orgasme ininterrompu, car s'ils n'étaient pas doués de cette faculté, on pourrait se poser la question: pourquoi tant d'avidité à vouloir tout posséder et régenter?  A moins que nous ne fassions fausse route. Qu'ils ne prennent plaisir à jouir que du spectacle  de l'humiliation de ceux et celles qui se livrent corps et âme à leurs désirs de mouvements de marionnettes désarticulées,  sans autres attraits que ceux d'avoir les traits grossiers de l'effort vain et une capacité à se soumettre sans limites à leur caprices, pour faire face soit à leurs créanciers soit aux chausses trappes tendues par les  marchands du temple et pas d'Ankor.  

Et comme le disait Tarantino:  Viva le Lumpenproletariat : « prolétariat en haillons » mais pas encore masqué qui assure le ramassage de nos ordures, les soins aux toussotants dus au virus, la couture des masques (70 / H/ Pers) non rémunérés, les manutentions et autres mises en rayon, les encaissements, les infirmières, les cantinières, les transports de fonds, de marchandises et pour certains qui assurent les élans tarifés mais rackettés, etc.

 Sur ce, on aura beau dire, le monde de demain, si il loupe la chance historique de se détacher du consumérisme mortifère et de Roux de Bézieux, Pénicaud, sa Marie Madeleine, et tous les autres pseudo compétents aux ridicules prétentions de rationalités décomplexées, sera quand même lamentablement responsable de sa lobotomisation et de son aliénation aux grands distributeurs alias, toujours les mêmes marchands qui s'organisent en franchisés de l'exploitation, non me dit on à l'oreille, de la distribution, l'exploitation, c'est pour les couturières, le bénévoles, et autres vigiles tout de noir vêtus. 

 

sur ce rdv le 2 et 3 mai, propre sur elle Nord, dans vos rrrrêêêêêvvvvveeeeesss

MISSIONS DU 25 ET 26 AVRIL DITES MISSION DU CON QUI DANSE OU DE L’INDUSTRIEL PRETENTIEUX

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTES, MOUMOUS, MOUMOUTTES, TONSES, CHAUVETTES, 

Sur mes cahiers d'écolier
Sur mon pupitre et les arbres
Sur le sable de neige
J'écris ton nom

Sur toutes les pages lues
Sur toutes les pages blanches
Pierre sang papier ou cendre
J'écris ton nom

Sur les images dorées
Sur les armes des guerriers
Sur la couronne des rois
J'écris ton nom

Sur la jungle et le désert
Sur les nids sur les genêts
Sur l'écho de mon enfance
J'écris ton nom

Sur les merveilles des nuits
Sur le pain blanc des journées
Sur les saisons fiancées
J'écris ton nom

Sur tous mes chiffons d'azur
Sur l'étang soleil moisi
Sur le lac lune vivante
J'écris ton nom

Sur les champs sur l'horizon
Sur les ailes des oiseaux
Et sur le moulin des ombres
J'écris ton nom

Sur chaque bouffées d'aurore
Sur la mer sur les bateaux
Sur la montagne démente
J'écris ton nom

Sur la mousse des nuages
Sur les sueurs de l'orage
Sur la pluie épaisse et fade
J'écris ton nom

Sur les formes scintillantes
Sur les cloches des couleurs
Sur la vérité physique
J'écris ton nom

Sur les sentiers éveillés
Sur les routes déployées
Sur les places qui débordent
J'écris ton nom

Sur la lampe qui s'allume
Sur la lampe qui s'éteint
Sur mes raisons réunies
J'écris ton nom

Sur le fruit coupé en deux
Du miroir et de ma chambre
Sur mon lit coquille vide
J'écris ton nom

Sur mon chien gourmand et tendre
Sur ses oreilles dressées
Sur sa patte maladroite
J'écris ton nom

Sur le tremplin de ma porte
Sur les objets familiers
Sur le flot du feu béni
J'écris ton nom

Sur toute chair accordée
Sur le front de mes amis
Sur chaque main qui se tend
J'écris ton nom

Sur la vitre des surprises
Sur les lèvres attendries
Bien au-dessus du silence
J'écris ton nom

Sur mes refuges détruits
Sur mes phares écroulés
Sur les murs de mon ennui
J'écris ton nom

Sur l'absence sans désir
Sur la solitude nue
Sur les marches de la mort
J'écris ton nom

Sur la santé revenue
Sur le risque disparu
Sur l'espoir sans souvenir
J'écris ton nom

Et par le pouvoir d'un mot
Je recommence ma vie
Je suis né pour te connaître
Pour te nommer

Liberté

Que c'est mimi en plein confinement, de crier ton nom LIBERTÉ! 

Un peu vain et stupide, sa seule revendication se résumant à celle de l'abandonner en recherchant à reprendre le travail, qui ne nous émancipe que dans les cerveaux abîmés et de mauvaises fois des oisifs  

Missions du 18 et 19 AVRIL 2020, dites mission du missionnaire, de l’apothicaire, du pervers pépère

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, ALPAGAS, ALPAGUETTES, PIPES A EAU, PIPELETTES

Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie !

Ô page Ô petit n'enfant, Ô gourmandise ennemie

N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ?

N'ai je donc tant vécu que cette épidémie !

Et ne suis-je blanchi dans les travaux guerriers

et ne suis je blanchi que par ma calvitie, 

Que pour voir en un jour flétrir tant de lauriers ?

Que pour voir en un jour tomber tant d'araignées

Mon bras qu'avec respect tout l'Espagne admire,

Mon bras les repousser que tout le monde admire

Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire,

Mon bras honoré de ma main  sauvé par un soupir

Tant de fois affermi le trône de son roi,

Tant de fois de grattage, mes fesses, mon doux giron,

Trahit donc ma querelle, et ne fait rien pour moi ?

Exulte ma quenelle, et fait de moi ma foi,  

Ô cruel souvenir de ma gloire passée !

Ô éternel souvenir d'un Alzheimer pressé, 

 Oeuvre de tant de jours en un jour effacée !

Pieuvre de cent jours à l'odeur faisandée

Nouvelle dignité fatale à mon bonheur !

Poulpe belle pleine, remplie de frais, gardons notre honneur

Précipice élevé d'où tombe mon honneur !

Touillé en belle branlade si ce n'est de Nîmes 

Faut-il de votre éclat voir triompher Le Comte,

Au moins de Noirmoutier, l'olive bien affûtée et BIM

Et mourir sans vengeance, ou vivre dans la honte ?

Prête à faire la fusée dans Sa lune de fonte;

Comte, sois de mon prince à présent gouverneur ;

Coachette faut pas rêver, assurer la marée

Ce haut rang n'admet point un homme sans honneur ;

Ce haut rang n'admet pas une fille sans brassière

Et ton jaloux orgueil par cet affront insigne

Et ton jaloux orgueil par ce torse sans insigne 

Malgré le choix du roi, m'en a su rendre indigne.

Malgré le choix du roi n'en est pas moins indigne

Et toi, de mes exploits glorieux instrument,

Émoi de mes exploits , mon glorieux instrument 

Mais d'un corps tout de glace inutile ornement,

Mets mon corps au frais, nu , au poil de l'ornement

Fer, jadis tant à craindre, et qui, dans cette offense,

Faire, refaire, remettre sur le métier,  était ma belle engeance

M'as servi de parade, et non pas de défense,

Servir en paradant, le drap dressé pour la défense 

Va, quitte désormais le derniers des humains,

Oui  quitte désormais le chien, le dernier des humains, 

Passe, pour me venger, en de meilleurs mains.

Passe pour me rincer, la lessive à la main 

Quand Maître Corneille par l'odeur alléchée, ne fit tout un fromage de mirliton ces vers, qu'Antoine, le "suce" nommé, quoiqu'abusé on peut bien y rêver, des Abatilles le roi et des ruches la reine, produisit ce verset des saintes gourmandises.   

 

Signé CORNIAUD DES ABATLLES 

ce qui en résumé donne:

 

Ô page Ô petit n'enfant, Ô gourmandise ennemie

N'ai je donc tant vécu que cette épidémie !

Et ne suis je blanchi que par ma calvitie, 

 Que pour voir en un jour tomber tant d'araignées

 Mon bras , les repousser que tout le monde admire

Mon bras honoré de ma main  sauvé par un soupir

 Tant de fois de grattage, mes fesses, mon doux giron,

Exulte ma quenelle, et fait de moi ma foi,  

Ô éternel souvenir d'un Alzheimer pressé, 

Pieuvre de cent jours à l'odeur faisandée

Poulpe belle pleine, remplie de frais, gardons notre honneur

Touillé en belle branlade si ce n'est de Nîmes 

Au moins de Noirmoutier, l'olive bien affûtée 

Prête à faire la fusée dans Sa fonte de lune;

Coachette faut pas rêver, assurer la marée

C'est déjà un métier, Ce rang deux  filles sans brassière

Et son jaloux orgueil de ces torses sans insigne 

Malgré le choix du roi n'en est pas moins indigne

Émoi de mes exploits , mon glorieux instrument 

Mets mon corps au frais, nu , au poil de l'ornement

Faire, refaire, remettre sur le métier,  était ma belle engeance

 Servir en paradant, la hampe dressée pour la défense 

Oui  quitte désormais le chien, le dernier des humains, 

Passe pour me rincer, la lessive à la main.

MISSIONS DU 11 et 12 AVRIL 2020 DÎTES MISSION DE L’ANNIVERSAIRE ET DE LA PATERNITÉ

MON CHER FILS

POUR LES AUTRES TOUS, TOUTOUTES, LOULOUS, LOULOULLOUTES, EN MANQUE ET EN SEVRAGE DES BALADES, JE NE DIRAI QU'UNE CHOSE////

WEEK END A ROME POUR TOUS

TGV, AVION, METRO, A LA QUEUE LEULEU, CASSEZ VOUS........FAITES SONNER LES CLOCHES, TOURNER LES AUBES,  CHANTER LES CURES, LE PAPE ET SES ÉVÊQUES.

Faîtes sonner les cloches, pas la sonnerie de mon téléphone, je réponds plus, trop d'envie, de passion de la part de mes groupies 

 

 

POUR  MON COTE JUIF? 

La fête de Pessa’h, qui dure huit jours, est célébrée en début de printemps, du 15 au 22 du mois hébraïque de Nissan. EN FAIT CA COMMENCE CE VENDREDI. Elle commémore la libération des Israélites de l’esclavage en Égypte ancienne. Elle est observée en s’abstenant de consommer toute nourriture levée et en célébrant les repas du Séder qui incluent quatre coupes de vin, la consommation de matsa et d’herbes amères, et le récit de l’histoire de l’Exode. ET SURTOUT L'HISTOIRE DES  10 PLAIES d’ÉGYPTE infligées pour qu'elle laisse les juifs partir.  

Pour mon côté musulman 

La nuit du pardon.  Lailat Al-Bara'ah ou Layla Al-Barâ’a est « la nuit du pardon » ou « la nuit du destin » la nuit ou ALLAH accorde sa miséricorde au prophète.  15 jours après , c'est le ramadan.

Mais le 11  AVRIL,

Plus fort que Noël et Pâques réunis, c'est the "célébration", the "day" to never forget, le jour où je suis enfin devenu un VRAI HOMME, le jour où j'ai mangé pour la dernière fois du rôti de porc à l'ananas.

le jour où ma femme a accouché seule et où je n'ai ni tourné de l’œil ni essuyé du vomis sur ma chemise. Un miracle, merci ma femme, à coté de toi l'immaculée conception n'est plus qu'acculée au précipice du vide intra-sidérale de mon esprit gourmand.  

BON ANNIVERSAIRE, MON FILS, MON MIGNON.

Mon cher fils, 

Je ne t'ai pas donné le sein mais  y était le cœur

Je n'ai pas changé tes couches, mais y étaient les odeurs

Je t'ai vu grandir par effraction 

Devenir un homme par péremption

Et être témoin   de ta réalisation

Tu te dois tout

Tu as décidé, résisté, osé

Tu es beau, tu es fort, tu es courageux

Dès fois un peu dindonneau

Couillon de la lune

Tu es gentil et généreux, 

Fiable, fidèle et responsable 

Tu as la vaillance de ta mère

La sagesse de ton frère,

Fratrie heureuse.

Mon fiiiiiillssss que  de toi je suis fier

Pour ton bon caractère, souriant, ombrageux

Jamais prétentieux ni orgueilleux, 

Trempé, heureux, jamais hypocrite

toujours affectueux.

Mon fils mon bonheur de te voir, 

T'envoler et planer 

Au-dessus de ta vie 

je t'aime. Merci. 

MORALITÉ RESTER CONFINÉS  EST UN SACERDOCE POUR TOUT CEUX QUI N'ONT PAS ACCÉS AUX BRIOCHES ET CHOCOLATINES QUE JE VAIS DE CE PAS ALLER ME CHERCHER.

Çà commence à faire long. Mais même ma coachette que je salue bien bas en ce jour,  me le dit, plus c'est long.................plus c'est long, y rien à dire d'autre.