Mes chers tous, mes chères toutes, mes chers doux, mes chères douces, mes chers coups, mes chères coupes etc etc etc etc

Le saviez vous? le bonheur n'est pas que dans le près!

Qu'est ce que la belle vie?

la belle vie est la vie heureuse, insouciante; une vie libre comme l'air mais surtout selon Jean Jacques Rousseau: "le précieux farniente, l'occupation délicieuse et nécessaire d'un homme qui s'est dévouée à l'oisiveté".

Hummmmmmm c'est  tout moi çà; Désolé.  Une fois encore j'ai inspiré. J'ai été muse et éphèbe de la cervelle, du jarret et du ris de veau pour les plus grands. Pour commencer,  qui peut se vanter d'avoir été dans une prémonition divinatoire, le sujet que dis je, la muse, à distance temporelle du divin Jean Jacques!!

et Sartre me citant: J'existe. C'est doux, si doux, si lent. Une déambulation déambulatoire, bref, une balade d'Antoine. Et tout léger, n'en déplaisent aux poules d'Ô médisantes, on dirait que çà tient en l'air tout seul. Déjà que dans l'eau cela ne bat beaucoup des pieds, mais encore plus merveilleux le beau Jean Paul ajoutait: si seulement je pouvais arrêter de penser, çà irait mieux (la Nausée). Un cogito sans cogitones.

HUUUUUUUMMMMMMM quel risque je prends, huuuummmm à ne rien faire?

Le vide? la téléréalité, les marseillais, les chti??? ce con de César????

Qui ne voit pas la vanité du monde est bien vain lui même. Pascal. Qui ne la voit, exceptés les jeunes gens, tous dans le bruit, la tentation, la componction de s'être noyé dans le stupre et le chocolat liégeois au lait entier de vache que çà ne déplaise aux ayatolletes du kinoa, du thé vert et des salades césar (putish encore ce grand con d'amerlock)

Alors que demeurer au repos dans sa chambre, quel pied! toujours Pascal et oui le divertissement est une stratégie pour éviter de penser à la mort, alors que de fait, le présent nous insatisfait toujours, nous blesse ainsi nous ne vivons jamais, nous espérons de vivre et dans cet espoir se trouve notre inévitable malheur.

je fais tourner la table

Tripotons nous vite, aurait dit Lucrèce, me plagiant à 2 millénaires de distance pour que je ne m'en plaigne et en demande réparation.

Esprit es tu là????je t'ai trouvé, t'es lààààààà

Je veux mon neveu, comme dirait Descartes pour qui nous avons l'arme absolue la réalisation de nos vies heureuses: La volonté.

La seule arme pour mener une vie généreuse et allez! comme dirait vous tous,  encore un inspiré par l'Antoine, pléonasme de bon. Le maître de la quête et du crossfounding, du blablabla et de la volonté!!! 

La confiance en soi est une conquête!

La générosité n'est pas de l'ordre de l'obligation morale. elle est une passion.

trois c'est mieux, je m'offre seul....

Le sage ne peut rien perdre. Il a tout misé sur lui même, sa femme, ses poules,

poule sans cure dent

Spinoza, encore un, se disait en pensant aux balades: toutes les occurrences de la vie sont vaines et futiles. Ni la richesse, ni le pouvoir, ni les plaisirs ne procurent une belle vie car tout cela rend atrocement dépendant des circonstances!

pfffff des circonstances humides et troubles de pressebitte

et Aristote qui la ramène sur mon compte en banque

le bonheur ne saurait se passait des biens extérieurs! bien des actes exigent argent, amis, pouvoir, internet, le mode vie privé, Wattsapp et des moyens de paiement en bitcoins pour les étudiantes à protéger, les milf à convoiter et les commissaires Magellan à regarder. Et toujours Aristote qui me dit qu'on ne saurait être pleinement heureux en étant disgracié par la nature ......

nature

Bon la vie serait elle faîte que de beautés masquées, inaccessibles et hors de prix? A force de contempler le ciel et les étoiles, Thalès, l'inventeur de la philosophie, tomba dans un puits et fit bien rigoler sa servante!

et comme dit Jankélévitch: la vie n'est pas faite que de dimanche! il faut retourner au turbin, à la prose sans la pose, au lundi pour certain puis au mardi et mercredi, pour enfiler d'une traite le jeudi, se réveiller le vendredi impatient.........

  MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTES, MOUMOUS, MOUMOUTES, FOUFOUS, FOOFOOTS, PENALTY, COUP FRANC ET AUTRES PETARDS MOUILLES

Retour aux fondamentaux!

Week end de la fête du travail! jour de deuil national pour Antoine ou de commémoration mais de quoi?

La fête du Travail est le nom de plusieurs fêtes qui furent instituées à partir du XVIII^e siècle.

Au Canada et aux États-Unis, la fête du travail est un jour férié du mois de septembre

En Australie, elle est fêtée à différentes dates proches du printemps ou de l’automne.

 Dans certains pays, comme la France, elle se confond avec la journée internationale des travailleurs, fête internationale instaurée à l'origine comme journée annuelle de grève pour revendiquer la journée de huit heures, qui devint au XX^e siècle une journée de célébration des combats des travailleurs. Elle est célébrée le 1^er mai dans de nombreux pays du monde et est l’occasion d’importantes manifestations du mouvement ouvrier.

Nous la fêterons donc plusieurs fois dans l'année par solidarité internationale et parce que travailleurs de tous les pays unissez-vous, vous êtes tous des exploités ou des chômeurs ou les deux à la fois, sauf les dealers, les travailleurs(ses) du sexes, ceux de l'image et surtout ceux de l'argent. Car nous sommes de l'époque ou l'argent travaille, votre banquier vous le dit tous les jours et comme dit la caisse d'épargne vous êtes ce que vos comptes sont. Macron aussi vous le dit , vous êtes ce que vos retraites sont, des anorexiques pour la plupart.

Mais revenons aux pépettes, au trèfle, à la flouze. Avant mais c'était avant, il fallait travailler pour monnayer. Depuis il faut chômer pour  protéger le travailleur, qu'il travaille non pas huit heures par jour mais  à chaque micro seconde 24h sur 24.

Mais où est le bonheur partagé pour tous? pour tous nos centimes, assurant nos rentes et notre bien être? ou faut - il valoriser le travail pour tous sans le vendre ni l'acheter comme cela pourrait se faire dans une autarcie de gens de biens comme à la ZAD notre dame des Landes.

Connaissez vous le familistère de Guise?

« établissement où plusieurs familles ou individus vivent ensemble dans une sorte de communauté et trouvent dans des magasins coopératifs ce qui leur est nécessaire », construit en s'inspirant du phalanstère de Charles Fourier, le familistère de Guise, situé dans la commune de Guise, dans le département de l'Aisne, voulu par l'industriel Jean-Baptiste André Godin pour l'hébergement de ses ouvriers, est un haut lieu de l’histoire économique et sociale des XIX^e et XX^e siècles. ah  bon?

Sensible à l'idée de la redistribution aux ouvriers des richesses produites, il souhaitait créer une alternative à la société industrielle capitaliste en plein développement, et offrir aux ouvriers le confort dont seuls les bourgeois pouvaient alors bénéficier. C'est ce qu'il appelait « les équivalents de la richesse ». À partir de 1859, il entreprit de créer un univers autour de son usine de Guise, le « familistère », dont le mode de fonctionnement est comparable à celui des coopératives ouvrières de production.

Cà nous change des

déambulateurs

Godin écrit en 1874 dans La richesse au service du peuple. Le familistère de Guise⁵ : « Ne pouvant faire un palais de la chaumière ou du galetas de chaque famille ouvrière, nous avons voulu mettre la demeure de l'ouvrier dans un Palais : le Familistère, en effet, n'est pas autre chose, c'est le palais du travail, c'est le PALAIS SOCIAL de l'avenir. »

Nous nous avons voulu mettre la plage et le sable au service du peuple et de ses coreligionnaires fidèles à poil. C'est la plage, l'océan, et ses rouleaux de printemps.

Enfin, Godin met en place tout un système de protection sociale en créant des caisses de secours protégeant contre la maladie, les accidents du travail et assurant une retraite aux plus de 60 ans.

Voilà pour Godin. Et les Zadistes pourront il s'en inspirer?

Ou alors le KIBBOUTZ

Le kibboutz est, par définition :

• « une communauté délibérément formée par ses membres, à vocation essentiellement agricole, où il n'existe pas de propriété privée et qui est censée pourvoir à tous les besoins de ses membres et de leurs familles »². Le caractère principalement agricole est aujourd'hui largement dépassé.

• « une unité de peuplement dont les membres sont organisés en collectivité sur la base de la propriété commune des biens, préconisant le travail individuel, l'égalité entre tous et la coopération de tous les membres dans tous les domaines de la production, de la consommation et de l'éducation »³.

• Une organisation sioniste destinée à l'implantation de populations juives en terre d'Israël.

la plupart des kibboutzim sont conçus sur le même modèle : au centre se déploient les édifices communs tels que réfectoire, auditorium, bureaux et bibliothèque, entourés par des jardins et les maisons de leurs membres ; légèrement décentrés sont les bâtiments et les équipements sportifs ; les champs, vergers et bâtiments industriels enfin se trouvent à la périphérie.

Il n'y a généralement pas vraiment de structure élue : les décisions sont prises par l'assemblée générale. Avec le temps, des organes élus sont apparus, mais l'idéal kibboutznik impose qu'ils aient peu de pouvoir.

La laïcité et l'égalité des sexes sont revendiquées depuis les débuts (sauf dans les kibboutzim religieux), ce qui explique les relations historiquement très tendues avec les religieux. Les membres des kibboutzim ont même été accusés de ne plus être Juifs, même si cette accusation, qui avait été portée par le rabbin Eliezer Menahem Schach (en) (ou Chakh), un des principaux rabbins haredi israéliens de la fin du XX^e siècle, reste relativement isolée.

L'origine des Kibboutz se trouve au sein du parti Ha'poel Hatzaïr, un parti politique non-marxiste, influencé par le socialisme populiste russe et l'œuvre de Tolstoï, dont le principal inspirateur est Aharon David Gordon. L'idéal est celui d'un socialisme rural, anti-industriel et anti-autoritaire, très marqué par l'anarchisme avec le refus des structures élues.

Le principe du kibboutz est l'autoconsommation paysanne : "les pionniers vivront des produits de leurs champs⁵" pour supprimer autant que possible le marché.

Sa principale force vient de l'engagement individuel de tous les membres. L'esprit d'entreprise collective compte pour beaucoup et contribue à la création et à la maturation de communautés qui réussissent économiquement sur le marché libre. Enfin, le niveau de vie élevé aujourd'hui, atteint grâce aux succès économiques, favorise aussi le maintien des communautés.

L'institution du kibboutz, inspirée du collectivisme socialiste, a sans doute réglé le problème de l'inégalité sociale entre les membres du village collectiviste ; mais elle a créé d'autres formes d'injustices qui sont "aux sources du conflit israélo-arabe et du problème palestinien⁷".

Selon l'historien Gershon Shafir, le développement d'un nationalisme juif en Israël, dont le kibboutz est une traduction parfaite, s'explique au départ par la lutte des travailleurs juifs européens contre d'autres travailleurs non-juifs⁸, pour des questions de salaires.

Rien n'est parfait.

Les utopies et le culte du travail bien fait. les balades d'Antoine.

Et les balades? Outre le fait que ce sont des structures éphémères, l'autre énorme avantage différentiel et non des moindres est que le travail y a une place particulière. Le faire ensemble. Non pas pour mais ensemble. Non en échange de ,mais ensemble. Ce sont les exercices qui s'y déroulent et qui crée l'ataraxie chère aux épicuriens et aux stoïciens et qui nous lient, nous entrelacent avec nos potes à poil, qui ne sont pas nos palestiniens, ni notre main d'œuvre émigrée mais nos coreligionnaires de territoires partagés.

Le plaisir partagé est la force des relations et de leur construction et il se vit et se construit autour de la notion de faire ensemble, de produire ensemble, ce qu'est la définition de tout "exercice ou travail de coordination".

L'exercice est là pour construire par l'apprentissage à la parole, la confiance réciproque. 

Et toc, boudieu, boudia.

Allez sur wikipédia, universalis ou autre pour y lire que toute utopie a toujours sa part de rêve mais souvent des fondations cachées. La fraternité est un chemin semait d'embûches.

Soutien aux ZADISTES, même si on les sent utilement naïfs mais paradoxalement pas assez réfléchis. Par contre a-t-on le droit de casser des rêves utopiques au nom d'un manque d'imagination et des données comptables utiles et nécessaires mais tellement rébarbatives. Les aider serait sans doute une belle mission de  la préfectorale ou d'un service civique.

Donc vive le 1° Mai, la grève, la plage, la jeunesse et les rentes de situation aux quelles j'ai droit en tant que panseur du samedi et du dimanche.

Mes chers Tous, toutes, toutous, toutoutes, moumous, moumoutes, loulous, loulouttes, poupoux, poupouttes, rouroux, rourouttes, quouquou, coucouttes.....

l'état des lieux

Abats les cadences infernales. Merci les retraités. Abats les riches qui n'ont pas de  président et qui sont perdus, sans boussoles et sans impôts. Vive les forces vives, abats les forces molles. Vive les oiseaux, les abeilles et les décharges sauvages et publiques,  le plastique dans les mers et les océans, c’est bon pour les tortues. Le dernier rhinocéros blanc a disparu de l'hémisphère nord, vive le rapatriement des émigrés qui enrichissent nos sols.  On dit tout et son contraire, son contraire et son tout.

On veut faire du participatif à l'opéra de Paris! travailler sur une écoute, puis trahir  et mettre en pâture au Figaro, ce qui doit être secret, intime socialement par ceux là même que l'on veut aider, voilà la dernière trouvaille des faire ensemble.  Qui n'a pas été harcelé mais qui n'est pas pour certain harceleur! Se faire traiter de gros(se) quand on est danseur(se), que l'on a un rapport au corps neutralisé par son exposition travailleuse et travaillante, où est l'équilibre, l’ambiguïté et la limite?

Quand ce n'est pas la bêtise, c'est la jalousie. Quand ce n'est pas la jalousie, c'est la prétention. On est toujours le mieux informé du monde, le meilleur pour savoir ce qu'il nous faut, jamais pour savoir que l'on ne sait pas et que le plus difficile est l'humilité dans la fierté de la co-construction d'une vision et d'une vie d'un monde commun dans nos incommunautés.

Entre les jamais de Médoc mais toujours du côte du Rhône, plus d'huiles essentielles et de bio, de cucurma et de thé blanc le matin,  les fous du régime sans sucre, sans gluten, de la méditation en pleine conscience, de la visualisation, de la psychanalyse, du connais toi toi même et autres injonctions au bonheur, Mère Thérésa vous le direz, pourvu qu'on est l'ivresse buvons le vin de messe.

Macron nous enfume. Les étudiants n'ont plus de sens critique, de rêve, d'utopie. Où sont les pavés sous le sable de la plage. La misère étudiante se retrouve à faire la pute pour être comme dans la téléréalité. Paraître. Maître Gimms, la Fouine, Orelsan pour Brel, Nougaro, Barbara ou Joan Baez et les autres.

Où sont nos penseurs quant un Kev Adams, le rebelle fils caché de Line Renault et de Johnny Hallyday Citroën, souligne  qu'être sous les caméras inquisitrices de nos iphones, de nos fesses bouquées, compteurs edf etc fait partie de l'évolution, du TGV de la vie comme la montée des eaux, la disparition de la bio diversité et la présence de flics dans les écoles primaires de Nice.  Souligner cette grande avancée sociale dans la protection d'un monde trop terrorisé et terrorisant a mis mal à l'aise les humoristes de la  bienpensance de gauche pris à partie d'une vision qui se voulait commune sur  les flics de toute façon  trop désarmée en CP, CM1 et CM2, Une erreur de suite rectifiée  par le Kev je suis con et pas qu'un peu,  qui voulait se la jouer progressiste socialo écolo humaniste en préconisant le stockage de l'arme à dix coups dans un coffre fort confiné dans une pièce isolée de l'école (celle réservée aux autistes sans doute, pour le déchiffrage du code en cas d'urgence et perte de mémoire). L'accès serait connu seul du policier et des adultes mais non des enfants pour qu'ils n'aient pas la bonne idée de jouer à pigeon d'argile vole avec leurs petits camarades.  Cirer les chaussures de ce poujadiste de la pensée mégalo friquée et auchanisée a été un grand moment de perdition et de déshonneur. Quand le maître étalon de la bienpensance a argumenté sur l'exploitation des données personnelles de fesses bouc, qui est au capitaliste du pixel ce que le livret A est au CAC 40, le malaise fut grand mais son expression discrète. Sous prétexte qu'on était assez con pour vouloir notre quart d'heure de spectacle comme tout bourgeois de l'image, nous n'avions vraiment rien à critiquer sur la manipulation dont nous sommes l'objet par l'exploitation de nos données personnelles.   De toute façon qu'avons  nous à cacher. 600 000 000 de caméras avec reconnaissance faciale prévues en chine pour vous dénoncer à la moindre sortie de route comportementale de votre vie de robot à chair putride. Notre avenir sous la caméra, permettre de distribuer le nombre de feuilles de papier cul strictement nécessaire (pas plus de deux par dépôt de bilan, ce qui confirme que le chinois non seulement a une petite bite mais fait aussi de petites merdes ou alors ce sont des A3) puis n'autoriser la prochaine distribution au même popotin qu'au bout de 9 minutes. Embouteillage, bouchon   et constipation, l'avenir radieux de l'asiatique, éradiquons la gastro!!! et appelons Confucius, Lao Tseu et Mathieu Ricard pour méditer et maîtriser  nos évacuations.  Oh Kev t'en dis quoi?  ce sont des communistes, c'est çà, c'est pas faux, le régime rêvé des winners sauce Macron! c'est pas faux non plus.

Où sont nos universités antichambre de l'ANPE et des DRH en tout genre, qui étaient le lieu de la réflexion, des alternatives, de la critique et des propositions.

Mangés par la technicisation, découpés, individués à l'extrême, dépossédés de la compréhension de nos liens alors que nous sommes à maturité intellectuelle pour balayer ce qui nous opposent et travailler à notre vrai développement en tant que personne et humain connecté au monde et sans doute au reste, nous végétons dans le manque d'utopie.

Mais il faut des talents!!!! fondés sur l'émergence de l'égoïsme et non de l'altruisme. Mon pauvre Macron, tu résonnes étriqué comme un banquier, sacralisant l'actif et ayant peur du passif sauf quand il t'enrichit par ponction et droit de péage. Macron tu es le président des parasites, des rentiers de situation, des compétiteurs et des winners, gardiens de guérites des autoroutes de l'argent roi. Tu es l'adorateur des agressifs, des avides et des avares et tu t'en vantes. Pauvre imbécile étriqué. Le partage, la répartition, la coopération, la préservation, le confort et le bien être pour tous en préservant la soif d'aventure et de réalisation  de chacun, c'est une autre paire de manche. Tu n'en as pas le costume. Mais quand je dis Macron, je dis aussi les autres, Mélenchon compris et sa clique nervurée à part Ruffin, Dupont Moretti et quelques autres.

Non à la loi sur le code du travail, du j'ai raison et vous ne savez pas, vive cuba et son marché du dimanche,  son double peso, son agriculture planifiée et ses danseurs de pasodoble. Vive les écolo chasseurs, les pollueurs travailleurs, les atomistes décarbonés et les bûcherons golfeurs. 

Vive les ordonnances sur les congés payés à perpétuité pour les chauves aux yeux couleurs d'espoir et de promesses non tenues!

Et arrêtez de croire que faire un chèque en blanc sur les parasites de la planète ne les empêchera pas de nous éliminer et nous ostraciser dans des camps ni naturels, ni naturistes mais concentrés, très concentrés.

l'avenir

Mes chers tous, toutes, toutous, toutoutes, éléastes, ioniens, pythagoriciens, pythagoriciennes, épicuriennes, péripatéticiens, péripatéticiennes, stoïciens, stoïciennes, coloscopés, proctologisés, éreintées, claustrophobes, étroites d'esprit et larges du bassin

Ne voyant presque plus personne, mes marketeuses blondes et brunes  m'ont prescrit un remède de cheval  pour retrouver la foule des week-end endiablés où les chiens, les chiennes, leurs maîtresses et leurs maîtres venaient en masse se faire tancer, bordurer et secouer dans leur rôle inabouti de chef de la meute à gogo.

Apollon sortant du bain

Donc je viens de recevoir un cahier des charges musclé:

1° Ne plus mettre en avant mon charisme d'étalon sauvage fougueux au galop léger et endurant, aux bonds majestueux, à la crinière d'ébène et la queue d'âne.

2° Arrêter de recruter via les ouvrages de cuisine, union libre du républicain lorrain, le chasseur français et surtout ses petites annonces.

3° Ne pas rêver, mystic et fesse bouc, j'ai pas le flow!

4° Arrêter de répondre aux lettres d'admiratrices par des réponses ronéotypées avec des photos de moi même même, sculpté, conquérant le monde, m'élevant l'âme. Alors que  que j'étais trop grand et fort pour l'idéal de Praxitèle. Pour Léocharès,  marbrier, Lysippe de Sicyone, exclusivement bronzier,  Scopas présent dans le Péloponnèse, je suis, j'étais et je reste  l'idéal masculin du spartiate, de l'hoplite et du socio-éthologue clinicien  germanopratin.

5° Faire simple et court, pertinent et en même temps enivrant, sensuel, délicat, long comme une fugue de Tsering ou de Django

Sur une musique d' Anicée Le Pors (ancien ministre de la fonction publique) et des paroles inspirées par mes marketeuses

mon pauvre Antoine

Femmmmmmmme, femmmmmmmme, femmmmmmme,

Mature, adulte, jeune, jolie, pleine de charme, femmmmmeeeee, femmmmmmmmeee

Je t'accueillerai avec ton toutou de course et de balade

femmmmmmme, femmmmmmmme

On prendra le train du bonheur, des crêpes et de la chandeleur

Suzette elles seront ou au beurre de crème fraîche secouée

Nous virevolterons dans la fleur de pin au son des abeilles et des frelons

Nous parlerons chiffons, queue perchée et mâle dominant

Qui seront pour toi ce que l'anis est au pastis etc etc

Malheureusement, les balades c'est comme les agences matrimoniales. Manquant de jeunes gars à la peau tendre ayant peur de la concurrence, mon cheptel d'Antigone s'amenuise.

Arrête de parler de ton cor, mets en avant le reste.

Je m'exécute donc et me pose non plus en durillon olympien de la prosodie mais en expert sophiste, qui vous fera passer un moment agréable et néanmoins bilingue.

 et comme disait mon pote Bouddha,