BALADES DU 13 14 20 21 JANVIER 2018, dites balades de la reprise intensive

Mes chers tous, toutes, toutoutoutes, tu, tuttes, tutu, tututtes

Grande nouvelle, pas d'humour today.

L

je reprends le sport

Première grande résolution.

pas de bol

Deuxième grande résolution j'arrête de me moquer de Brigitte alors qu'il y en a qui n'ont pas de bol dès la naissance!

le chien est un loup pour les naturistes

Rendez vous des balades

Le samedi

Deux balades

Une le matin 9 45 sans doute Cestas, Martignas etc vous prévenez

Je voudrai que cette balade se fasse autour de la méthode, les capacités d'adaptation, la systémique etc. et fasse le pont entre vos jobs, l'organisation, l'entreprise et ce que l'on fait avec les chiens. Elles s'adressera à des gens motivés par le travail. Je pense à Maeva, Charlotte, Sabrina, Melissa etc

L'après midi 14h15 mac do la Teste

Balade d'accueil de la différence, et exploration forestière et travail sur les chiens.

La bruyère et ses caractères

Le dimanche

9 h 45 Salie Nord, la classique

14h 30 Salie Sud, Forêt Océan

Devant la vindicte populaire dénonçant un manque de courage et un vrai ras le bol à se confronter  à l'inconsistance  et la bêtise qui nous empêchent le vivre ensemble de façon apaisée, j'ai décidé face à moi même, de trois quart, de dos et de côté, de remplir le vide qui vous attire et vous précipite  dans une chute que je vais freiner  en créant le courant ascendant que mon universalité et ma pertinence vont produire comme un vortex cérébral antidote à la bêtise, rien de moins, rien de plus.

Car qui ne pense comme moi est un con pétant que cela soit dit une bonne fois pour toute.

Alors Brigitte, mmmma Brigitte, ta numérologie fout le camp, tu es marquée par le signe indien de ton prénom dont je te rappelle l’étymologie. Bri de tu me les brises de mer, Gît de ici gît les derniers avatars de la femme de cromacron et  comme disait Rousseau Waldeck, c'est pas parce que la sauvage est bonne que la bonne du curé est sauvage et Te de tetetetetetete de qu'est ce que tu dis encore comme connerie.

Vous avez vu, je tiens mes engagements, je ne me suis pas moqué de BM . de toute façon j'ai sous la main BL. Brigitte Lahaie.

J'espère que je n'aie pas été TROP IMPORTUN.

Importuner: .Déranger, fatiguer en intervenant mal à propos, ennuyer par une présence ou un comportement déplacé. Synon. gêner, exaspérer, assommer (fam.), tracasser; anton. amuser, divertir, laisser (en repos).

Une question de belvédère

La liberté d'importuner! Une argumentation inélégante, partant d'un bon sentiment de roucoule poupoule, si elle n'était de classe. Mais surtout une argumentation mal à propos, honteuse et inconséquente parce qu'elle provient de femmes connues et reconnues tel que  Brigitte Lahaie, Catherine Millet, Catherine Deneuve ou Laetitia Casta qui symbolisent l'émancipation, l'autonomisation de la femme et une démasculinisation souhaitable du rapport social ou grégaire.

Que l'on soit clair et ne nous méprenons pas. Ce ne sont pas les comportements, les mœurs dissolues (je fais exprès. Même si la pratique du fist fucking concomitamment avec une éjaculation faciale réalisée par une "sex  machine" lubrifiée à l'huile de palme m'est interdit à cause du risque de choc anaphylactique provoqué par mes allergies à la crème de marron, je suis fondamentalement pour la dissolution des mœurs) et les extravagances séductrices (Catherine Deneuve dans Belle de jour et Peau d'Âne)  de ces personnes qui sont gênants. Ce sont des libertés fondamentales qui sont à défendre, le droit au plaisir sans risque de jugement, ce qui ne doit jamais être remis en cause.  Au contraire, ce que j'enrage c'est de n'y être jamais invité mais là, comme disait Barbe Noire, c'est un autre problème.

Non, ce qui me contrarie vraiment, c'est le poids donné aux mots et à des opinions émises par le seul fait de la place à partir de laquelle ils sont émis, un belvédère, une position dominante. Le panorama (l'horizon) que cette place donne à observer est de toute façon une incomplétude du monde.  Au nom de quoi  permettrait-elle à cette parole d'obtenir une force péremptoire de justification? De plus, la question est de savoir si les conséquences mineures  si ce n'est opportunistes que certaines importunités subies et supportées par les signataires, justifient le fait de vouloir en faire un universel, un rituel de rentrée dans le monde "mature", une aune comportementale à laquelle on se devrait d'être assujetti au nom d'une liberté consenti à un "autre" qui est quand même celle revendiquée de gêner, exaspérer, ennuyer par une présence ou un comportement déplacé. Et toujours sur la gente féminine. Vivement la première tripoteuse de fesses dans le métro!

Tenons un raisonnement indélicat, importun, qui crée une gêne. 

Du vol, de l'emprunt, du crédit, mais pas du viol.

En tant que travailleur.se du sexe,  se faire sauter, chevaucher, tripoter, enjamber à la dérobée n'est il pas honteux, ou n'est ce tout bonnement que du vol ?

Par contre en tant que personne non travailleuse, non exploitable? est ce un emprunt ou du bricolage?

Vous remarquerez que la question est délicate et ne met pas vraiment à l'aise. On sent que c'est glauque non?  Le travail sexuel est respectable parce que rétribué et qu'il rend un service. Sa justification se trouve dans une échange négocié, une entente mutuelle, une acceptation. Mais peut-il être une fin en soi, est il souhaitable, le souhaitons nous pour nos proches, nos filles et nos garçons?

Hummmm tu vas faire pute, géniale, éclate toi bien dans ce métier porteur. Tu montes une start up ? Pléonasme, Je rigole, bien sur que t'es la spécialiste du décollage ou toi le spécialiste de l'alunissage, trop Cool! Si t'as besoin d'un directeur financier expert en cession acquisition, mon Saint Christophe  qui ne s'égare jamais et ne perd pas les boules de son boulier, a fait HEC. Il fait du consulting pour les TPE et TPI le week end à ses heures perdues. (TPE, Très Petite Extractabilité, TPI, Très Petite Intromissionabilité).

Alors pourquoi faire endurer ou tolérer le travail sexuel  en en faisant l'ontologie du rapport, de la relation humaine par ce droit à l'importunité.  Sommes nous tous des travailleurs sexuels?. Au geste déplacé, au sous entendu grivois et vulgaire d'une possible opportunité de rapport gagnant gagnant, t'as mon cul j'ai ton chèque ou alors je te vole mais ne te viole pas, quand même, pétard, j'ai mon honneur, je paye pour çà. (Putain, je viens d'éradiquer le viol en moins de maux qu'il ne faut pour l'endurer, c'est historique pour les statistiques, merci qui? kiki)

Camarade travailleurs-ses, à bas la propriété, à bas le capital. Rosa Luxembourg! (encore un paradis fuckal).  Tous les trous du monde  à tous sans distinction de race, de couleur d'urine et autres, (remarques: plus pour les noirs, pour une fois que l'on pourrait faire de la discrimination positive renversée, les "distinguer", leur créer un capital Bourdieusien, revendiquer "laissez nous de la place" etc) et  tous les manches à personne!  A bas l'exploitation au travail et le smig pour tous-tes. (je viens de créer le revenu universel).  Se résigner à l'exploitation des masses laborieuses, pourquoi et au nom de quoi?

Oui mais là  tu parles  du vol du produit du travailleur du sexe, du vol d'un travail, de son, de ton travail. C'est pas si grave. Le cordonnier risque bien de se faire piquer ses godasses, le médecin son cancer et le politicien ses vestes retournées! Dans travail sexuel il y a la dimension, travailleur, prolétaire de la fesse, OS de la cravate de notaire , organisation en chaîne de montage, taylorisation, fordisme, système Just In Time, kanban, la demande aspire, la production crache, le pompage à la chaîne, la soudure arrangée mais aussi le fantasme de grandes luttes pour le droit à la retraite et les rtt.  Donc en fait c'est aussi acceptable qu'Adam Smith, Darwin et ce qu'en fait le capitalisme évolutionniste, la loi du plus fort, la compétition, la recherche de productivité, la croissance du PIB et l'agressivité etc.etc.etc.c'est moderne. C'est la modernité. (j'ai expliqué le concept de modernité, coooooool) Remarque; en Hollande le calcul du PIB inclut les revenus du trafic de drogue et  les revenus de la prostitution.

La dialectique travailleur, outil de travail

Bien, serait ce dans le concept de travailleur du sexe ou dans celui de la modernité fondée sur  l'ontologie de ce nouvel humanisme de l'échange marchand ,  que se trouve la gêne?

Serait ce dans la dialectique du travail en lui même? soit travailleur, soit outil? Le travail est rémunéré, il est le fruit d'une mise en œuvre, avec un outil. Le travailleur est une force de travail mettant en mouvement un outil (dans l'industrie un marteau, dès fois un god mais là le plus souvent son propre cul). Le travailleur du sexe devient alors son propre outil. Il est soit  en tant que travailleur, exploité, soit en tant qu'outil,  utilisé de façon inerte, puis maintenu, réparé, affûté, entretenu. De toute façon,  il y perd son âme.

La qualification de travailleur - se sexuel.le et d'outil sexuel dans une dialectique justificatrice mais non jouissive de l'importun. Être exploité(e), marchandisé(e), rémunéré(e), organisé(e), agencé(e), optimisé(e), rentabilisé(e) comme tout travailleur, soit être objet, sans vie, à obsolescence programmée, entretenu ou usé comme tout outil.

Le sommes nous?

Pourquoi traiter indifféremment Brigitte Lahaie, Catherine Millet, Catherine Deneuve ou Laetitia Casta de travailleuse du sexe alors qu'il n'y en a qu'une qui le serait réellement, Brigitte Lahaie.  Le travailleur du sexe rend un service, il est honorable dans ce cadre. Ce service est créé  soit pour soulager et prendre en charge une misère sexuelle soit pour assouvir des pratiques qui sont respectables, tolérables mais inaccessibles dans "l'instant". A partir du moment où ces services sont réalisées par consentement mutuel (Catherine Millet, le  bricoleur) soit par contractualisation d'offre d'image rémunérée à destination sexuelle voulue pour Lahaie, (la professionnelle, l'architecte intérieure), soit par  prostitution pour des personnes des deux genres, leurs "acteurs" seraient de toute évidence dans un "libre arbitre" et une "capacité de choix" indéniable. (argument médiocre mais très répandu d'importuns opportunistes tel DSK). Qui peut croire encore que la marchandisation de son corps est un acte choisi! si ce n'est qu'il amène à une aliénation encore plus efficace que la violence, la terreur et le viol organisé. La dette est l'arme absolue de l'assujettissement.

Le travailleur.se du sexe a comme pour tout travail du plaisir et de la fierté à l'ouvrage bien fait.

La réalisation d'actes sexuels de "production" d'image ou de couchage   se réalisent toujours à travers le prisme de la relation contractée, tarifée et  le consentement, le devis, la négociation en sont la pierre angulaire. D'où la nécessité non pas de l'éloge mais du respect  de la pornographie, de la prostitution et de toutes autres pratiques débouchant sur l'intimité et touchant à la liberté fondamentale de chacun.

Mais de là à faire croire que le travail sexuel est recherché en dehors des contraintes subies de sécurité (menace, mal traitance) , de dettes, de manques et dépendances (drogues) c'est faire croire aux juifs nazis, SS, il y en a eu, aux pédés front national , il y en a beaucoup parait-il ou aux fils de Netanyahou, Poutine, Erdogan et Trump honnêtes et intègres.

Revenons à l'offre d'image.

Comprendre que l'offre d'image n'est pas innocente mais contractuelle à partir du moment où elle est rémunérée, pose la question de sa destination ou de son utilisation.  Va-t-on subir des importunités?. Les images de ces personnes ne sont pas  à destination explicitement sexuelle mais sont mises à disposition de façon contractuelle soit pour illustrer une histoire, soit pour raconter et expliquer des évènements, soit pour informer etc.. elles sont payées pour cela. Est-ce que ces mises à disposition  permettraient d'accéder au titre convoité de travailleur  sexuel, ou à celui moins envié, d'outil sexuel? Et si oui, est-ce que ça leur ferait plaisir d'avoir une ligne de plus sur leur curriculum vitae?  Ces images étant détournées de leur finalité, elles peuvent-être utilisées de façon importune, indolore pas forcément inodore, on est d'accord. (Qui ne s'est pas paluché devant Delahousse et sa mèche rebelle????)  Dans la dialectique de l'outil et du travailleur  se pose la question de la destination souhaitée, admise, consentie de l'outil, du travailleur et de l'acceptation de celui-ci de cette destination. Le travailleur devenant outil de plaisir, David Pujadas, Nikos, Delahousse,  Elisabeth Kein ou Céline Dion, cela peut être flatteur, chacun a une sensibilité à l' ego. Mais est-ce agréable de  devenir plus travailleur (la mèche construite de Delahousse!!! pas innocent ou innocente) ou outil de plaisir, que travailleur de jeu, d'information, de divertissement.

Au même titre, est-ce que les fesses de femmes et d'hommes sont exposées et mises à disposition dans le tramway, le métro ou au boulot, pour remplir leur fonction d'outil sexuel? Sont-ils, du fait de leur exhibition et leur proximité,  des outils de plaisir, ou du travail sexuel non rémunéré par destination?  Une éjaculation  sur un jean à la dérobé n'est pas si douloureuse que cela, surtout, si le porteur du jean est lui même absorbé par Auto Plus, Closer ou un édito de Barbier réunis. Où sont-ils les objets marchands de convoitise et d'échange de prérogatives? Mais ai-je à subir cela?

Dans le cas de Delahousse, l'importun a au moins l'avantage d'être derrière l'écran, invisible, loin mais pas assez distant pour interdire les voleurs d'image, les paparazzi et tous ceux qui vivent de nos importunités.  Et les autres? Qui n'a pas travaillé à la télévision, a du mal à appréhender l'angoisse de la perte d'image et d'accessibilité à une vitrine. Cette accessibilité à la "vitrine" est constituée au moins de deux sacrifices. L'abandon de son image aux perversions du voyeurisme et  l'acceptation de la marchandisation du corps de l'image par les détenteurs des caméras dépositaires de l'accès à la vitrine. Et cela crée les mêmes symptômes d'instrumentalisation du corps, de sa mise  à distance, de son insensibilisation à tous les ressentis émotionnels. Comme l'ouvrier qui n'a pas le droit d'écouter son corps et de tomber malade sous peine de se vivre comme un fainéant et  risquer de perdre son pouvoir de survie, tout comme la prostituée qui ne sent plus rien et passe son temps à se doucher pour se purifier, ou la victime de viol à répétition qui n'a d'autre issue que d'oublier l'existence même de ses organes et de ne se vivre que comme un cloaque. L'individu en tant qu'image, subit   la violence terrible de courir le risque de ne  plus plaire et  de disparaître de la vitrine. Ce n'est sans doute pas en son nom que l'on peut justifier une telle manipulation argumentative qu'est le droit à l'importunité.

Qui n'a pas, étant stagiaire dans une rédaction, une maison d'édition ou chez Ariane Espace au service conception des toilettes sèches ou latrines verticales pour navette spatiale, subi le poids de l'importun sur l'outil ou le travailleur sexuel qu'il est. (humour on l'est trop) Que celui ou celle qui ne l'a jamais supporté me jette la première paire de Louboutin qu'on lui insinue de porter.

La distance

Indolore,indolore, vous avez dit indolore!  mais pourtant......

Qu'en  est il de la distance entre le viol symbolique, le droit à l'image, son utilisation non douloureuse à des fins de stimulation, leur diffusion qui le permettent et nous transforment de facto en travailleur ou outil sexuel et le fait de se frotter contre des fesses anonymes?   C'est une zone floue, ambigüe. Une zone de souffrance, de domination et de spoliation. Mais sans doute pas une zone de permission. La question de la zone d'attrition hors de laquelle il n'y a pas de relation humaine se complique par la distance à partir de laquelle on met en œuvre  l'utilisation de l'outil de plaisir par détournement ou de l'exploitation du travailleur sexuel que nous sommes tous par vol et non rémunération, qu'elle soit symbolique, sécuritaire, d'honneur, économique etc.ou fantasmagorique. Plus c'est de loin plus il paraitrait que c'est "supportable". Pas sûr.

Remplir une utilité en vidant quelque chose, cela ne veut pas dire que c'est enviable, souhaitable pour  tous. La prostitution est-elle destinable, souhaitable pour autrui? Quant elle est le produit de la dette à rembourser, de la peur subie par la crainte de l'échéance, c'est paradoxalement plus lourd et efficace en terme de subordination volontaire que la violence directe. Ce n'est évidemment ni souhaitable ni acceptable. La prostituée du Carlton qui va se faire sidoniser (sodomiser) par DSK,  est forcée, économiquement prise au piège par la dette. Il n'y a pas consentement. Il ne peut y avoir de défense morale quoiqu'en dise les Dupont Moretti   qui argumentent  sur la liberté de chacun, sur le respect de la vie privée et des procédures.

 

Se palucher devant des images volées, non vendues ou à la dérobée, me semble être une pratique non contractuelle qui n'interroge pas que sur l'accessibilité des images,  mais sur leur usage par destination dévoyée. L'absence de dolorisation n'excuse rien. L'argument si je ne le sais pas, c'est pas si grave ne tient pas.  Ça fait pas de mal d'être l'image sur laquelle on se paluche sauf quand on l'apprend et qu'on en devient conscient. N'étant pas limitées dans leur accessibilité, la question de leur utilisation devient anormalement morale, éthique peut être mais surtout phénoménologique, a-t-on besoin de l'image fantasmée de la prise (du rapt) de l'autre pour accéder au plaisir. Est ce admissible? Cette zone étant floue et par elle même très sujette à caution elle pose la question des  zones systématiques de non droit, d'incertitude et de violence due non pas à l'absence de règles  de consentement acceptables ou inacceptables pour tous mais  à l'incapacité de pouvoir en établir de façon négociée, immédiate et partageable. L'origine  cognitive, culturelle et d'aptitude, de notre incapacité à se frustrer, à résister à l'injonction de notre bite pour les hommes et de notre clitoris pour les femmes, et aussi à toutes les pulsions narcissiques de l'envie, du pouvoir et de l'avidité en est la cause.  On ne peut justifier le droit d'importuner, alors que c'est l'aptitude et la culture de l'auto-contrainte, de la frustration, de la proposition, de l'acceptation et du renoncement qui doivent construire notre liberté totale de jouir avec qui on veut qui veut de nous.

Certaine tribus d'Amazonie, ne me demandez pas lesquelles mais je peux les retrouver, définissent la virilité par l'absence d'érection et de réaction malgré tout type de sollicitation tactile sur la pièce à deux bourses hors "intimité".  La statutaire hellénistique et romaine représente toujours l'attribut masculin comme petit. Ce signe de virilité étant le symbole de l'absence de risque de manipulation du magister et du pater familias.

Être viril c'est ne pas bander. C'est cool et super pour s'économiser en trafic de pilules et psychothérapies. Et dieu sait que je suis hyper viril, on m'a souvent comparé à un dieu Grec! quand j'étais jeune et que j'allais au Louvre, dans les premières galeries, les personnes se retournaient et s'exclamaient: Ohh le modèle!!!!  Les maîtresses et maîtres d'école lorsqu'ils me croisaient en profitaient pour jouer à "Qui reconnaît la statue au kikirikiki du monsieur?" "regardez, tripotez, comparez, avant/après" il faut vous dire qu'en tant qu'exhibitionniste humaniste,  j'ai toujours été considéré comme un outil bien proportionné de l'histoire de l'art et de la géométrie et que du coup je n'ai jamais été regardé comme une gêne si ce n'est une importunité.

La nécessité de la multiplication des zones d'attrition où vont se vivre notre sociabilité et se définir les règles de socialité de nos rapports est incontournable. Et encore plus nécessaires, souhaitables, indispensables à notre vivre ensemble de façon apaisée. Encore faut il en avoir l'aptitude et la compétence.  Elles sont là pour nous permettre de mettre en œuvre nos arguments de justification et ainsi de discuter de nos libertés et de nos limites dans nos mises en commun, sans tabous. Elles nécessitent l'aptitude et la capacité à la tempérance, l'auto-contrainte, la mise en œuvre des qualités cognitives produites par nos histoires collectives et personnelles d'observation,  proposition, d'intentionnalité, de négociation de niveau de partage, de savoir exprimer et définir la limite.  OODA et GUIDANCE

Viol Air France 345

L'argument que dans le viol il y a aussi possibilité de jouissance et de s'envoyer en l'air,  en induisant que ce n'est pas si grave au nom du plaisir potentiel partagé, est la chose la plus abjecte jamais dite. Dans ce cas le viol est bon, le viol est bon, le viol c'est la vie, une épreuve comme la circoncision ou le baptême. Donc si il y a risque d'orgasme et  d'expérience jouissive alors là, tentons le drop et surtout laissons le tenter. Si ça loupe ce sera l'effet d'une maladresse, ou à pas de chance??

Dans le livre une femme à Berlin journal 20 Avril 22 Juin 1945, les scènes de viol sont quotidiennes. Personne n'en réchappe. Certaines y ont trouvé une hystérie , l'orgasme, qui leur a permis de tenir, de survivre. Pas d'être indemne et entière.

L'orgasme n'est pas synonyme de plaisir consenti. Il peut aussi être provoqué par la concomitance d'un stress intense et d'un télescopage avec un inconscient désinhibiteur permettant de passer l'épreuve,   sauver son intégrité,   cautériser les plaies.

Tolérer et protéger  toutes les personnes des discriminations provenant de leur comportement intime est moral. Les libérer  de l'outil et du travail sexuel comme critère phénoménologique de notre être,  est un  devoir épistémologique quant à notre capacité à être les constructeurs de notre monde.

Le rapport d'égalité et de négociation du consentement en découlant entre sexe, genre, pratique, classes, niveaux, origines, formes, couleurs, postes doit être envisagé comme la praxéologie (la logique de nos pratiques)  fondant le rapport de socialité et de grégarité.

Mais plus encore l'éducation, la valorisation de la tempérance, de l'autocontrainte, la maîtrise de l'intensité de l'expression de nos émotions et de nos sentiments, la déconstruction de la passion et de l'excès font partie des compétences à construire pour continuer à vivre ensemble de façon apaisée en paresseux hédoniste et respectueux de chacun.

Ontologie: objet l'étude des propriétés les plus générales de l'être, telles que l'existence, la possibilité, la durée, le devenir et on pourrait ajouter le choix, donc le consentement, la liberté et l'initiation. Partie de la philosophie qui a pour objet l'élucidation du sens de l'être considéré simultanément en tant qu'être général, abstrait, essentiel et en tant qu'être singulier, concret, existentiel.

Les femmes quotidiennement violées par leur conjoint apprécierons.  Les peloté(e)s du RER aussi, les stagiaires et les pigistes de France télévision aussi.

Balade des bonnes résolutions, 6 et 7 Janvier, de l’épiphanie et du shabbat, vive la galette

Mes chers tous, toutoutes et les autres de dos

En ce jour de l'épiphanie, saint Antoine, le moinillon lubrique d'Arcachon, n'assurera pas la balade à travers les forêts de Brocéliandes.

Je parle bien du saint Antoine que vous ne connaissez pas. Par contre le saint Antoine que vous connaissez, le maître es Lucrèce de ce qui est pris n'est plus à prendre, le saint Antoine-Dominique, deux qui le tient une que le ........ lui, assurera avec sa mèche folle et sa barbe de barde sous speed, les balades.

Es spécialiste de la chatte tigrée, de la mycose et de l'élevage de moucherons hivernaux, il développera lors de ces 3 balades qui auront lieu dans les mêmes lieux et aux mêmes horaires que les dernières fois, ses dernières trouvailles en terme de zoo-parties et autres  pratiques transgenres.

Car rien ne sert de courir il faut ............ à point.

De la vulgarité et du bien être

Certaines, certains se sont plaints si ce n'est pas pour eux mêmes mais pour les autres de la crudité des Haïkus irlandais et autres Limericks.

Pauvres choux qui me conseillent. Et en plus des vétos!!!!

Le jour ddddddddu 500e Numéro de fluide Glacial, et à l'heure du macronisme ambiant qui dénature la langue en parlant de cross founding, TEBA, bit coin, et contributions généralisées à la France éternelle que même que quand je me lève, je me dis :

Mais que fais je pour elle, la France?  je réponds je résiste.

Macron l'excité de l'EBITA , de la marge, de la régulation par la sélection et du laisser faire; le "je m'en lave les mains que si vous êtes dans la merde, c'est votre problème, responsabilité, faute,  condamne les gangbang et les éjacs faciales non pas par éthique, féminisme inversé ou masculinisme inverti, mais par respect et sacralisation de la liberté de commercer ce qui est une des mamelles de notre république. Liberté chérie qui rime avec et qu'avec libéralisme et libre concurrence pour cette figure élue et représentative de notre vivre ensemble à 26% de majorité. L'offre et la demande, les seules forces régulatrices de nos échanges et de l'assouvissement de nos plaisirs contribuant à la réalisation de nos vies bien heureuses.  Compétition, compétition, vive la compétition. Rassure toi, à celle du plus inconséquent, t'es en bonne voie pour la gagner malgrès tes potes Wauquiez, Trump, Poutine et les autres. (je ne parle même pas des Lepen, Kadirov, Orban  et autres autrichiens qui sont  là pour nous rappeler qu'aux plus avides, abjectes, racistes, torves et pervers, tout est permis surtout celui de se faire élire et reconnaître par encore plus veules).

Je me rendors pour ne pas enrichir ceux qui la pillent, la France, l'Europe, Gaïa, le système solaire, la galaxie, l'univers, le big prout et mon trou noir. Pas d'achat d'Apple. Je refuse de faire mes courses chez Leclerc, je ne trie pas mes ordures pour ne pas avoir à enlever le pain de la bouche  des petits roms et des esclaves de mère Thérésa et ainsi je nourris le cycle du recyclage et de la création de richesses par nettoyage à sec etc.....

Je conchie la famille Mulliez, Bernard Arnaud, François Pinault, Serge Dassault, Leclerc Jules Edouard, Gaumes, Bolloré, Gattaz etc et tous les potentats bourgeois qui nous abusent et qui sont l'objet des plus viles courtisaneries et des plus ringardes jalousies. (les personnes sus nommées sont bien sûr suces - citées pour ce qu'elles sont et ceux qu'elles symbolisent sans différence de couleur, de sexe et de qualités capillaires). Ex: Pinault l'archétype du pas de bol. J'ai un gros bateaux, une femme à gros nénés  qui s'est fait tripoter pour devenir convoitable  par plus dégueulasse que moi (Weinstein)  etc..... Salma Hayek emblême malheureux, navrant et ridicule de "comment se retrouver abusée" en échange de devenir objet de convoitise et d'en vivre pitoyablement. Que croyez vous que le fils Pinault aurait fait de Salma si elle n'était devenue Hayek par la grâce de Weinstein. Il l'aurait même pas abordée pour quelques pesos dans une banlieue mexicaine. Elle a ainsi obtenu son rôle le plus libérateur et révolutionnaire. Devenir une icône de la travailleuse du nichon et du renforcement de l'acuité visuelle du mâle dominant Auteuil, Neuilly, Passy   et surtout elle a libéré les péripatéticiennes bien pensantes des oiseaux, de l'actors studio, sciences po, du cours Florent et du conservatoire à trouver du charisme au rouquin au porte feuille garni et aux montres hors de prix.

Maaaaaacroooonnnnn en défenseur de Loréal et des crèmes antirides mises au point pour Brigitte  dont le coût unitaire baisse grâce à une production de masse absorbée par le contingent des péronnelles en mal d'éternité de 20a et plus. Brigitte que  l'on nommera désormais BM comme Buisness Management, qui à force de plisser les yeux  pour déceler les points noirs de son chérubin se retrouve en une de Paris Match comme égérie de l'intelligence et de la féminitude au service de la civilisation  Pandaïque. En dénonçant la pratique des éjac faciales via leur exploitation par des vidéastes amateurs qui n'ont plus que cela pour assouvir leur vocation artistique d'acteurs et metteurs en scène  de Story telling (c'est plus moderne et macronien qu'histoires) contemporaines et néanmoins subversives, cette  production d'art brut, populaire, originale et pas stéréotypante du tout dénonce la misère sexuelle, féminine, masculine et les décorations intérieures originales Ikéa, Leroy Merlin, Yvan Tout,  Natura etc. Je disais donc la dénonciation des éjacs faciales sur supports dématérialisés est en fait le fruit d'un lobbying intense de Loréal et de Bolloré pour sauver les crèmes anti rides et le journal crypté du Hard dernière chance de sauver Canal Plus et les usines pétrochimiques d'adjuvants bons marchés et corrosifs de blanchiment de peau. Ne nous y trompons pas, restons vigilant et ne fermons pas les yeux quant çà arrive.

Tout cela pour vous dire que la vulgarité n'est pas là où vous la croyez. Mais surtout ceux et celles qui la voient sur un cul qui pue, ou une bise à l’œil qu'ils ne viennent pas aux balades, qu'ils continuent à voter Fillon comme révolutionnaire Thierry marxisant, et qu'ils se contentent de souffrir dans leurs problèmes de bonheur et de surpoids.

1 Janvier 2018 Vœux de Nouvel an à mes groupies et à moi même

Mes chères groupies chéries,   Ode à la féminitude nécessaire et utile à la vie rêvée d'un baladeur post priapique par ravissement et sensibilité préandroposique.   Joyeux Noël Jeune fille dont la  beauté et le charme n'ont d'égal que le charme et la beauté. çà c'est fait. Sachez que mes vœux s'adressent par panel interposé à mes groupies dont la population s'étale de 21a à 76a c'est à dire dont l'étendue est égale à  55a. La moyenne étant de 56a La médiane de 50a et l'écart type = 5,24 Ces données démontrent par rapport à l'année dernière, un net rajeunissement de la population GROUPIES. Nous sommes en effet passés d'une moyenne de 71a à une moyenne et une médiane quasi équivalente de 55a. Que retirez comme enseignement de ces chiffres précieux et spécieux qui donnent un relief particulier à l'année écoulée. Que çà a été NOËL tous les jours en 2017. Alors en 2018 cela va-t-il être  mieux encore, plus chaud, plus caliente, plus lourd, plus tendu, plus oppressant, en un mot comme en 100 , plus transpirant, plus calfouettant. C'est l'avantage du réchauffement climatique et donc... . Vive la jeunesse, les donzelles et la movida. Attirer et repousser en même temps. 2018 le bonheur est dans le spray. Voilà. Avant je ne chopais pas faute d'intérêts pour et par respect dû au troisième âge. En 2018 je vais continuer à ne pas choper, car ornicar, le panel. Mais même soyons fou, la population totale des balades va continuer à subir un net rajeunissement. En effet en passant d'une moyenne de 71a résolus à une moyenne de 56a toujours résolus, la population s'est rajeunie en moyenne de 71a moins 56a, d'un certain âge. En tant que moyenne, Beatrix peut faire figure avec ma femme d'ailleurs, de médiane et de point d'équilibre, et pourtant que de points communs et de différences dans le traitement qu'elles m'octroient. l'une jaboté à tout va, pipelette, l'autre partage; Résultat de recherche d'images pour "oie blanche" Elles recevront mes meilleurs vœux pour 2018 au nom de vous tous et en tant qu'image tutélaire des balades, pleine de grâce et de détermination. Le dimorphisme intellectuel bien connu entre oies blanches d'un certain âge faisant partie du monde public et les oies domestiques du même âge sera un sujet neuf d'introspection et de compréhension.   Résultat de recherche d'images pour "oie blanche agressive" La lecture de ces chiffres est plein de paradoxes. Réjouissant parce qu' en 2017 on n'a jamais atteint un tel niveau de renouveau, mais c'est déjà du passé. Mais crainte que 2018 ne puisse être  meilleur . Le syndrome du téléthon nous guette.Pour 2018, le défi d'une meilleure année va être difficile à relever. Mais d'un autre côté 2018 choperai je plus ou moins? Vive 2018, bonne nouvelle et heureuse année frustrante à tous et toutes. Avant je ne chopais pas faute d'intérêts, de timidité et par manque d'enjeu sportif. Simone disait oui avant d'être interrogée, bonne année Simone, Brigitte ne comprenait la question, bonne année Brigitte, Nelly accélérait, bonne année Nelly, çà n'allait jamais assez vite. Patricia ne pensait qu'à me faire prendre des forces de craintes d'une baisse de régime dans la montée du col du sein Godard, bonne année Patricia. Françoise, Murielle, Nicole, Bonne année les filles qui ne veulent  que faire des trucs de groupes alors que je suis over booké et la bouche pleine de grumble et autres fondants au chocolat. En 2017 nous avons tenté et réussi l'action de groupe, chocolat chantilly, dans un bouge interlope aux glaces au plafond, crise de foie et pas de morue garantie. Nous renouvelerons. ET PUIS AMELIE, mon Amélie, la mère de Django et la paire de Jawa. bonne année ma grande. 2018, çà va être révolution non dans la faim mais dans la justification de la fin. Mais je choperai toujours pas les anciennes et encore moins les futures frustrées parce que....... Je peux toujours point. Pourquoi?  

admiration profonde

espoir et confiance en soi

  Parce que toutes ces nouvelles générations de fleurs de cannelles rosies et cuivrées aux rayons verts et nourries au glyphosate

LICORNE ADULTE sans pensées à l'arrière

sont poussées à porter plainte au moindre clin d’œil. Ma Résultat de recherche d'images pour "FEMME ESPAGNOLE"   femme, espagnole de sang, franquiste domestique de conviction,  Résultat de recherche d'images pour "espagnole femme"   a tendance a vouloir coupé le peu qui me reste d'oreille et de queue à la moindre plainte de harcèlement même que virtuellement imaginé. Bonne année mes Sabrina (quatre), Véronique, Clothilde, Charlotte, Melissa , Auréa, Aurélie, Nathalie, Sophie,etc Que 2018 vous fiance enfin et continue à me procurer de nouvelles rencontres mettant à l'épreuve mes formidables capacités de frustration, gage d'une sociabilité  performante  m'amenant à savoir tenir ma place les mains dans les poches et le regard franc dans ma fréquentation des club échangistes de virus de la grippe et de morpions domestiqués. Pour les garçons que 2018 vous soit doux et enivrant, surtout pour mon petit Gilles, la polygamie marchant de concert avec la polyandrie, qu'on soit enfin objet de respect et que l'on nous nourrisse  sans promesse de retour.

Balade du 30 et 31 Décembre 2017 dites balade de la veille

Mes chers tous, toutes, toutoutes et autres toutouatries.   Mauvaise nouvelle     Elle est partie au paradis des toutous.   Tous les membres des balades vous embrassent.     Les mauvaises nouvelles ça m'inspirent pas; Donc  je vais me faire un con, je vais me faire César. Je suis revenu de Rome pour passer un Noël de merde. Entre mes virus grippaux, adoptés chez "mouche ton nez.com"  et les programmes  télé César "je suis le chef de la meute dominante de la maison qui a besoin d'un guide, de Destop pour débouché son  égo et son autosatisfaction boursouflée à l'autoclave du drive in de la réussite en vente chez Auchan ou Boulanger, je suis fourbu, fiévreux  mais en pleine rédemption, prêt à sacrifier tout à la tolérance, l'empathie, le respect , l'amour, la mayonnaise et le foie gras aux truffes de soja made in china!!!!!!!!!! CESARRRRRRRRRRR César, mes roubignoles en collier de nouilles, le rêve américain, le cauchemar des chiens et le nec plus ultra du machisme et du ridicule de la pensée positive et de "vive la hiérarchie" et "la famille meute"  vient de me briser menu menu les restes de cojones que mon voyage à Rome m'avait laissé.  Avec son  "je vais te montrer, moi seul digne représentant sur terre de l'ordre des choses et des rapports humains - chiens - femmes et plus,  le chemin derrière toi de ta virilité perdue pour que t'avances à reculons vers l'étalon, sans pression  ni faux col , qui te chevauchera  comme l'escargot monte un escalier électrique en colimaçon, moi César.....César qui ?  top c'est parti:

calme toi

J'ai les yeux plissés, le regard profond et le soleil dans la Ray Ban. Je transpire sous les bras, je marche dans mon jean moulé tendu grâce à mes appendices trois pièces électro mexicano vibrato de  clandestin assimilé, moulés en bakélite de corne de rhinocéros qui font rêver Marion et douter Brigitte  quant aux attributs du pouvoirs et aux épithètes de la renommée qui les précèdent. Par mon ceinturon en peau de crotale imberbe s'étant fait refiler une tente Queshua comme famille d'accueil à Villenave d'Asq, je maintiens le delta significatif entre l'étroitesse de mes épaules, la longueur de mes  postérieurs, l'épaisseur de mes antérieurs et la discrétion  de mon membre inférieur. Je pose  bras croisés, le torse replet, debout face au maître désemparé et à la femme dubitative quant au manque de charisme de son  white middle class dream cosmic heroe,  vendeur chez décathlon au rayon port de l'angoisse et paddle narquois,  qui a un sens inné de l'animal, aime la nature et les chatons rôtis. Celui-ci, adipeux, habillé de cuir, le katana jauni et le collier en chaîne de vélo sur un torse nourri aux hamburgers stéroïdés et au frites Mac Cain, Membre actif de la NRA, association des tireurs précoces et des pointeurs modestes, écoutant Jauny et la seule musique que j'aime, elle vient de là ,elle vient de la loose,   approuve de façon entendu que son monstre à dent dur a besoin de sentir qu'il l'a tout aussi dur que dur avant qu'elle ne soit mûre. Ohhhhhhhh le césar et sa rhétorique jupitérienne sur la hiérarchie nécessaire et rassurante, la domination libératrice et la maltraitance perverse justifiée. Quel bonheur pour l'égo narcissique en manque de perversion de pouvoir  faire subir à son toutou toutes les dominations harcelantes qualifiées d'utiles et de justes, excusant toutes les maltraitances.    La prison, les menottes, l'enfermement, le bâillon, la punition, la violence, la fessée, le martinet  ne sont ils/elles pas demandées par ceux là même qui doivent vivre avec nous et qui savent bien que ce qu'ils font (surtout pour nous embêter et nous faire perdre notre face de foie blanc) n'est pas toujours le fruit d'une volonté d'excellence, de rigueur, de respect et de bonté mais souvent le fruit d'une tentation à satisfaire nos plus bas instincts de plaisirs interdits et néanmoins jouissifs.  Les dominer pour leur bien, avoir cette autorité pour l'autorité pour ne jamais rien céder et ne leur faire céder,  n'est ce pas le ciment indispensable que dis je, le sacrifice moral, humain dont on se doit de s'acquitter au nom de la recherche de leur unique bien être?  Les empêcher de réfléchir, les cantonner dans l'étroitesse des mondes et des explorations, faire de l'animal un joujou réactif et tremblant, ne réfléchissant pas, c'est génial et tellement bon pour lui et valorisant pour nous, omnipotent de pacotilles. Petit Parallèle. (remplaçons chiens par filles, esclaves, nègres, ouvriers, arabes, africains, tsigane, roms, lapons etc...) Waooooooo les empêcher d'être convoitées, les tenir hors des sentiers  nauséeux de la concupiscence masculine qui nous confère cette double charge divine de harceleurs et de protecteur. Les considérer comme des suppôts tentateurs et les enfermer comme des pots de crèmes etc.... je suis en tant qu'homme le méchant et le bon, le berger et le loup etc.... tous les discours sur les dominés et leur justification se ressemblent. Les dominés sont tous naïfs, sans consciences, incultes, hédonistes, jouisseurs, dépendants, inconséquents etc.... c'est toujours pour leur bien qu'on les enferme, les prive de liberté,  de conscience etc......les dominer pour les protéger et s'ils résistent, une bonne branlée, ça leur remet les idées en place, comme la colère divine qui ne se met en action que quant il n'y a même plus un innocent. Chez Sodome et Gomorrhe, il n'y avait plus un seul papier cul et c'était diarrhée  à tous les étages et comme aurait dit Poutine à son compère affectif Ramzan Kadyrov ou vice versa, on risque pas un génocide de "pédés" dans la steppe, il y en a pas, c'est anticonstitutionnel. Un génocide d'agents étrangers ce serait ballot ou un cadeau de Bashar el Assad qui nous aurait refilé un agent inverti, c'est à dire ayant retourné son keffieh, une idée chez Daesh qui arrive souvent quant on a la grippe et qu'on doit se moucher dans les doigts. (qui, la culotte sale, n'a pas retourné son string, me jette la pierre! faute de scorpion) Merde de merde de merde de merde. Çà fait du bien. Aux balades c'est pareil, trop confondent l'usage de la gorge profonde comme un signe uniquement d'autorité, de domination alors que ce n'est, comme le dit si bien Linda (lovelace), qu'un banal canal, un transmetteur, un fluidifiant  d'humeur, une main tendue et relâchée puis retendue et relâchée puis retendu et relâchée, guidant l'un l'autre vers un plaisir partagé tel que ...... ce que vous voulez.  (avec la langue, sans la langue, déglutition, toux, crachat etc etc etc) Donc c'est décidé, je reprends ma quête militante contre ces connards de César, Caligula, Néron, Napoléon, Staline, Hitler, Mussolini, Mao, Louis XV, Poutine, Trump, Kevin Spacey , Charles Taylor etc..et tous les pipolles qui envahissent les écrans et veulent me donner des leçons de savoirs vivre. Vive moi, vous et les autres hors ceux qui se croient des phares du monde. Pour les contemporains, peu n'ont grâce car nous sommes tous à subir ceux qui nous enlèvent des libertés et des protections plutôt qu'à encenser ceux qui nous en amèneraient. La liberté est un corps à corps, une solidarité, un frotti frotti. La soumission est une lâcheté, un abandon, une incompétence. Je reviendrai en 2018 sur les choqués du Limerick ou Haïkus irlandais. Samedi 14h15 Mac do La teste Dimanche matin 9 45 Salie nord Dimanche AM 14  30 Salie sud

Les balades je vais vous manquer et bien pas moi

ça m'aurait étonné

Mes chers toustoutoutes jean passe et des mets yeuses   (Botanique chêne vert).   Mon premier Limerick. Je me balade entouré de glands Quant au détour d'un tournant Je croise BBiX virevoltant,  sans culotte apparemment, Chevreuils , cochons, Amélie, dormez en paix Django ne sait plus où humer.   Mon deuxième après le premier. Pine d'huître, clito de moule, naseau de cheval, Mais que ne cours , que ne t'emballe, A QUE QUE QUE disait Jauni Queue queue queue répondait Nathalie Queue ne court, queue que j'emballe. Troisième aïku irlandais Il était une fois dans la ville d'Oeil Charlotte, Mélissa  et Sidonie Trois qui se bisent mais deux qui puent Car la bise à l'oeil met en appétit Tout ceux qui aiment le cul qui pue.     Les clefs mystérieuses de cet hymne à l'amuuuur sont détenues par Patricia qui est la seule a en posséder le trousseau. Elle vous renseignera pendant les balades de rentrée si elle continue à me fréquenter!!!!!!!   Un peu de culture: qu'est ce les Limerick Blog les 400 culs Les “limericks” –surnommés «haiku irlandais»– sont des poèmes lubriques en 5 lignes qui parlent généralement d’une femme mais quelle femme ! Ce sont les versions épouvantablement paillardes des berceuses pour enfant, c’est-à-dire qu’ils ne veulent rien dire… En tout cas, rien sans rougir.   «La belle Charlotte» : du fils d'André , Bernard Citroën Native de Vic-en-Badoit,
 A la fête comme il se doit
 S’en va la gentille Charlotte. Sous sa robe point de culotte : Qui te l’a dit ? Mon petit doigt. Un dernier pour la route qui de dédouble (de Jacques Barbaut) Cette sapeure-pompière appelée Josiane Remédiait à toutes les pannes En tant que femme-fontaine Elle n’avait aucune peine A ouvrir en grand les vannes Ou encore Cette putain venue d’Hendaye Avait tatoué ses tarifs autour de sa taille Et pour le confort des sans-vue Sur les reins et sur le cul Elle s’était scarifiée en braille Pour les intellos  extraits Copé Chloé de l'article du Blog des 400 culs   Noblesse oblige : le limerick comme exercice philosophique Dans une postface qui brosse l’historique du genre en France, Jacques Barbaut avance la théorie suivante : cette forme poétique est si contraignante qu’elle touche au métaphysique. Pour le dire plus clairement : il s’agit d’un quintil, (poème de 5 lignes et 2 rimes) qui doit obligatoirement mentionner un nom propre et chuter sur du salace. Il semblerait que ce genre, très prisé outre-manche, ait fait la joie des repas de noces : on portait le toast avec un limerick, histoire de mettre en train les mariés. De même, l’entrée dans un club se fêtait en levant le verre sur quelques vers bien troussés. Aucun gentleman ne se serait cru digne de porter ce nom sans avoir fait rimer deux mots grotesques avec une cochonnerie. Raison pour laquelle, en France, ceux qui s’intéressent au genre sont tous passionnés de non-sens. Les «prolongements ontologiques et métaphysiques» du limerick ? Jean-Claude Carrière, par exemple : «homme de cinéma et de théâtre, scénariste, acteur, adaptateur, conteur, auteur de Les Mots et la Chose, sous-titré Le Grand Livre des petits mots inconvenants, et d’un Dictionnaire de la bêtise et des erreurs de jugement, ou le Livre des bizarres», décrit le limerick comme un poème qui «dit quelque chose d’absurde, où il y a toujours un personnage qu’il faut nommer, avec des détails obscènes. C’est très anglais, voire irlandais, et longtemps réputé intraduisible, inadaptable.» Pour Jean-Claude Carrière «les prolongements ontologiques» du limerick sont «si nombreux», qu’il affirme ne point pouvoir les énumérer. Ces scabreuses fantaisies, de fait, inspirent un nombre considérable d’ouvrages érudits qui font remonter leur origine à l’antiquité gréco-latine et qui soulignent leurs affinités avec les nursery rhymes, les comptines d’enfant, couplets à bouts rimés, dont les conclusions nonsensiques ne sont pas sans rappeler aussi des fatrasies d’Arras.