BALADES DU 20 ET 21 MAI DITES BALADES DES CERVEAUX LENTS MAIS NÉANMOINS PROMPTS A PRENDRE LEUR ENVOL

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, PAS LOURDS, PALOURDES, ARAIGNÉE DU SOIR, ARAIGNÉE DE MER, MAYONNAISE, AÏOLI....VIEUX...CROUTONS, VIEILLES BIQUES...

D'après les chroniques féministes de Violaine de Filippis-Abate parues dans l'humanité, journal de la droite prolétarienne si ce n'est de la gauche réactionnaire Bourgeoise des classes dominantes à la culture patriarcale enracinée dans un substrat celtoromanofranc, amatrices de côtes de bœuf et de frites maison le tout arrosé de saint Estèphes avec en entrée un verre de Sauternes accompagné d'un foie gras poêlé en toute simplicité servi nappé d'une sauce aux raisins et en conclusion pour le dessert des fraises chantilly et des profiteroles gourmandes au chocolat, accompagné d'une champagne rouge pour faire la nique au rosé et au blanc de blanc.

 

Une étude scientifique, publiée le 8 mai 2023 dans Proceedings of the National Academy of Sciences, a analysé 7 800 IRM pour en conclure que dans les pays les plus inégalitaires, les cerveaux des femmes subissaient des modifications : « Ces résultats suggèrent un lien neuronal potentiel entre l’inégalité entre les sexes et des risques plus élevés de problèmes de santé mentale et de réduction des performances scolaires. » Autrement dit, notre cerveau peut être modifié en fonction de notre environnement culturel. Comme pour le chien.

On a déjà prouvé qu’il n’existait pas un modèle de cerveau inné, naturel et figé,  spécifique aux genres. Les études qui ont tenté, au XIXe siècle, de démontrer à des fins idéologiques de soumission et de réalité, que les filles naissaient avec des aptitudes intellectuelles dignes du serpent qui leur a tendu la pomme préjugées différentes et inférieures à celles des garçons et des boeufs se sont d’abord basées sur la taille de la boîte crânienne. Puis elles se sont attachées à faire croire que l’imagerie IRM démontrerait bien que les zones du cerveau des femmes et des pythons ne réagissaient pas, originairement, de la même façon que celui des hommes et des charolais, et que cette donnée serait fixe, immuable, gravée dans le marbre de la chapelle Sixtine.

Or, comme le démontrent notamment les travaux du D r Catherine Vidal, neurobiologiste fort charmante qui derrière sa blouse blanche et son collier de dents de requin s'étant fait surfacer la dentition Conférence à Nîmes avec Catherine Vidal : le cerveau a-t-il un sexe ? -  midilibre.fr  et directrice de recherche à l’Institut Pasteur, les IRM reviennent juste à fournir « un cliché instantané du cerveau de la personne à un moment donné », puisque ce dernier évolue tout au long de la vie. Or, au moment de la photographie d’un cerveau adulte mais la femme n'est elle pas une éternelle adolescente, les connexions neuronales sont déjà imprégnées de plusieurs décennies de vécu patriarcal pour les femmes, de domination et de plus ou moins de dressage pour les chiens qui sont par ailleurs des bébés loup dans leur maturité dégradée. Le fait de visualiser des différences ne signifie donc pas qu’elles aient été présentes depuis la naissance, ni même qu’elles vont y rester. La preuve en est mon front intelligent et ma bosse des maths qui n'a de calcul que ma capacité à être mental comme le dit si bien la DAF , égérie des balades mais néanmoins fille.

La Dr Vidal souligne l’importance de l’environnement social et culturel dans le développement du cerveau et la construction des identités femme et homme comme pour le chien où le syndrome de privation sensorielle et d'hyper sensibilité qui en découle illustrent cette réalité. En effet, le cerveau se remanie en fonction des expériences vécues à tous les âges, figé à 12 ans chez les filles, en continuel expansion après 65 ans chez les hommes mûres au front calotté de bobs. Le NeuroGenderings Network, réseau de chercheurs interdisciplinaires présent dans 13 pays, soutient exactement cette même position. Kamasouthra aussi. C’est ainsi que la découverte de la réaction des cellules à leur environnement au sens large, appelée « plasticité cérébrale », alors qu'au sens étroit les cellules étant pris à la taille de guêpes, leur réaction s'apparente plutôt à une mollesse qui démontre que notre cerveau comme celui du chien mais donc aussi celui de la fille serpent bien connue pour ses effets ondulatoires et rampants aux pieds de son prince, se modifie en fonction de nos expériences sociales. Nos , ses, connexions neuronales continuent de s’établir après la naissance, confrontées à notre, son, propre vécu. Il n’y a donc, en réalité, pas de cerveau qui soit naturellement, à la naissance, genré masculin ou genré féminin, genré chien, genré chienne!!! Alors que pour nos, leurs, leurres fesses  

Nos expériences sociales s’intègrent sous notre peau. Le point de nature neutre, de vérité pure de ce que serait le mâle alpha ou la femme alpha, n’existe pas.

 

MORALITÉ SAMEDI ET DIMANCHE MATIN A LA LAGUNE, NOUS VÉRIFIERONS L’ÉTAT DE NOS CERVELLES DE MOINEAUX POUR CERTAINES ET DE TOUCAN POUR LES CHAUVES VENTRIPOTENTS.  ET CECI A PARTIR DE 9H45

BALADES DU 13 ET 14 MAI, DITES BALADES DES BOIS SANS SOIF, POUR ARTISTES ET PRODUCTEURS DE PENSÉES POUR LE MOINS SANS SENS CENSITAIRE POUR LES PRIVILÉGIÉS POURVUS D’UN CAPITAL SYMBOLIQUE, CULTUREL, ESTHÉTIQUE, ATHLÉTIQUE D’AU MOINS 15 EUROS!

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, DOUDOUX, DOUDOUTES, BEATNIKS, BITTES NICKELLES ET AUTRES PAIRES

Déjà Leibnitz disait: ne confondez pas le Billot de bois ou de fonte, à tête renflée, fixé sur le pont des navires, le plus souvent par paires, autour duquel sont enroulées les amarres de bord avec le billot de chaire entourée d'une paire servant à attacher des corps qui ne sont pas mort, et que si dans les trois quart de nos actions nous sommes des automates, dans les 45 % RESTANTES, nous sommes des animaux à sang chaud et à désirs tièdes.

J'en étais là de mon introduction à la sagesse quand le monde de l'art étant ce qu'il est, je me posai la question, l'art est il encore vivant et aux balades, de part son aspect révolutionnaire, ne l'a t'on pas définitivement enterré sous prétexte qu'il ne sert que les dominants pensants comme le roseau de la fable à moins que ce ne soit comme le châtaigner perdants ses glands l'été passé.

Et quel dominant! babillant, toujours pertinent et jamais endormant!

Après les Menines de Vélasquez, une nouvelle peinture symbolisant une critique nimbée d'admiration image la puissance de la parole semée  dans les bois qui ne sont pas de Meudon.

SALOMÉ athlète du pinceau et du crayon, tu viens de tracer ton sillage auprès de Caravage et du Titien, car ma chérie pas de chef d’œuvre sans un beau modèle surtout de DOS. MERCI

SAMEDI, DIMANCHE 9 H 45 RDV MIMOSAS, LA TORCHERE, bd LOUIS LIGNON

BALADE DU 7 MAI 2023 DITE BALADE DES SANS SCRUPULES COMMENT VEUX TU, JE RÉPÈTE, COMMENT VEUX TU QUE JE TE PÉDONCULE ?

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, LOUPS, LOULOUVES, COUS, COUCOUVES, DE MURS, DE MURVILLE....

Plus rien ne nous étonnera, même pas que l'on décide de bétonner un des coins protégés d'ARCACHON, la maison de retraite saint Dominique, sous prétexte qu'elle perd de l'argent, alors qu'elle pratique des tarifs sans concurrence pour accueillir nos vieux et que la mairie, la cobas, l'intercommunauté a décidé de profiter de cet état de fait pour en organiser le démembrement et la constructibilité de son parc.

Adieu les pins parasols triple centenaires, adieu cet endroit de paix pour nos vieux. Bienvenue à l'édification des buildings du tribunal  d'instance, de la gendarmerie, de la police municipale et de la maison des docteurs qui palliera à la désertification médicale de notre "pauuuuuvre commune" administrée de main de maître par son maire sacrificiel.

Encore une fois le sans scrupule Foulon et sa bande de vampires de rentes immobilières qui ne crée que du bétonnage, une désertification organisée du territoire arcachonnais, afin que l'on subisse confortablement les prochaines canicules, que l'on soit sans soif et sans piscines remplies à l'eau des Abatilles! nous pauvres propriétaires de résidences arcachonnaises, voix du peuple de France, floué dans ses prérogatives, ses passes droit de confort, beauté et soins palliatifs, déclarons que trop c'est trop, et quand c'est trop, c'est trop. La mixité sociale, oui. La gentrification non. Arcachonnais de souche, parisien du seizième, grande bourgeoisie et petites retraites mais confortables dividendes même combat. Sandrine Rousseau sauve nous! Ils en veulent à notre littoral. Ils travaillent pour le Portugal, terre d'accueil de nos retraités. Mais comment cela se faisse que quand on vit de nos privilèges, il y a toujours un branquignole prêt à nous les abimer au nom de la sainte écriture de l'économie de marché et de sa propre rétribution qui si elle n'est juste est de toute façon proportionnelle à la somme d'argent que l'on fait gagner à ses compères.

Dernières nouvelles, toujours grâce à la mairie qui prend soin de ses petits vieux, suppression de toutes les postes de quartier. Bienvenue à la poste centrale!

Renforcement des ASVP pour verbaliser les impétrants stationnaires dans les rues dépourvues de parkings. 

 

DIMANCHE  BALADE MATITUDINALE  DES INFORMES, 9H45  LA LAGUNE

BALADES DU 29, 30 AVRIL ET DU 1 MAI DITES BALADES DES TRAVAILLEURS PARESSEUX ET NON DES PARESSEUX TRAVAILLEURS.

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, MOUS, MOUMOUTTES, DOUX, DOUDOUS

Dire que le 1 mai est une fête, que l'on en soit bien conscient, c'est une imposture.

La preuve, on fête le travail par une journée chômée!

Est ce que le travail peut être une fête dans la vie?

N'est ce pas au contraire une parenthèse de temps systématiquement confisquée au nom d'une rétribution vitale mais aliénante dans sa constitution?

TRAVAIL: l'étymologie de travail est "tripaliare" qui veut dire tourmenter, torturer, le trepalium étant un instrument de torture.

En ancien français travailler c'est faire souffrir.

Puis l'emploi de travailler recouvre la notion de transformation acquise par l'"effort".

A partir du 16 e siècle l'idée de transformation efficace l'emporte sur celle de fatigue. 

Puis le verbe se transforme en faire un "ouvrage", réaliser une œuvre.

Travailler en argot signifie voler (1623), assassiner (1800), se prostituer (1867).

Quel est le travail que l'on veut quitter pour partir en retraite?

Quel est le travail que l'on est forcé de trouver pour toucher un salaire?

Un contrat de travail n'est il pas un abandon total de souveraineté individuelle, d'autonomie et de liberté en échange d'une rémunération qui aboutit à organiser notre temps de vie, le délimiter, le borner et entre ces bornes nous obliger à en abandonner toute maîtrise quand ce n'est pas tout libre arbitre. Une servitude achetée, négociée? non imposée par la loi de la subsistance à assurer. Que ce soit par la contrainte de la dette, de la faim et de la précarité, de la domination ethnique, d'origine qui chosifie l'individu, le travail nous est imposé comme une grâce accordée!

L'insubordination est toujours considérée comme une faute grave. Quelque soit le contexte, le chef a d'abord raison avant d'avoir tort. Cela implique que seul le drame ou l'accident, la rupture peut porter la justification de la remise en cause et du refus de soumission sans excuser celle-ci. Justifier n'étant pas excuser. 

Hors ceci pose un vrai problème? un vrai questionnement anthropologique sur l'efficacité de l'autorité.

Avec nos chiens au sein des balades le paradigme de définition du travail sera ou est "réaliser un ouvrage". Ouvrage qui prendra la forme des exercices qui ont pour enjeu la construction des communications de collaboration et de négociation d'adaptation à son environnement. Privilégier le faire ensemble ne proscrit pas les communications de désapprobation ou d'expression de protestation ou d'opposition.

Le faire ensemble est la brique élémentaire de la construction de la relation et de la communication nécessaire à sa mise en œuvre.

Mais çà c'est aux balades! où est est ce ainsi? lorsque l'on a l'impression que les relations au travail n'ont qu'un enjeu, la protection des petits pouvoirs et des places chaudes en haut de pyramides qui n'ont de monticules que la dernière syllabe sur laquelle on s'assoit.

SAMEDI, DIMANCHE ET PEUT ÊTRE LUNDI, 9 45  FORÊT DES MIMOSAS, BD LOUIS LIGNON, ON MILITERA POUR UN TRAVAIL FESTIF, CRÉATIF DONT L’ÉNERGIE PROVIENT D'UN DON, D'UN TALENT MÉRITANT UN IMMENSE TRAVAIL POUR EN FAIRE FRUCTIFIER LES FRUITS.  

 

LA PARESSE, LA FAINÉANTISE, LA PROCRASTINATION DU MAÎTRE DE CES LIEUX, L'ANTOINE FLEUR DE PIVOINE FAUTE DE SENTIR LE MUGUET, JE VOUS SOUHAITE QU'IL VOUS INSPIRE DANS SON IMMENSE COMBAT MENE AVEC COURAGE AFIN D'ÉVITER, FEINTER LE TRAVAIL ET SON COROLAIRE LA FATIGUE!

https://cdn-s-www.leprogres.fr/images/6A8CA532-0849-4067-9D90-D951014D42F7/NW_raw/illustration-adobe-stock-1619682363.jpg

BALADE DU 23 AVRIL 2023 DITE BALADES DE LA DYSPHORIA MUNDI

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, BÊTES, A DEUX BOSSES, ALLUMEUR D'AMPOULE AU FOND DE LA PYRAMIDE, BUVEUSE DE  BUDWEISER WOKE!

DYSPHORIE (sémantiquement opposée à l'euphorie) est le trouble émotionnel et mental perçu chez un individu insatisfait ou mécontent, et dans certains cas, le trouble caractérisé par l'indifférence concernant son entourage.

POURQUOI L'ÊTRE, PARTICULIÈREMENT CES TEMPS-CI.

La dystrophie résulte d'un mal-être du à la situation transitoire dans laquelle nous nous trouvons. Transition de genre, de système de domination, d'épistémé du pouvoir et des structures en découlant, la praxéologie démocratique fondée sur l'élite remise en cause par l'éloignement des élites et les jeux de pouvoir d'une oligarchie de moins discrète et que l'on pourrait même qualifiée de décomplexée, la résurgence des inégalités de classe et d'origine, alpha et oméga des passes droits à l'accès  aux places de pouvoir, l'écologie du monde et le monde de l'écologie,  ses contraintes et ses logiques de protection, l'exploitation, l'économisation des modèles de décision et le paradoxe de leur dé-rationalisation, les paradoxes des algorithmes mystères et l'ignorance de leur logique corrélative, la confusion entre nature et description, énoncé statistique et réalité,  l'animalisation de l'humain, l'individuation de l'animal, notre place entre polluant et créateur de vie, le pillage de la terre au service du toujours plus  de dépendances, la créations des faux déterminismes alimentant par un consumérisme compulsif et  lobotomisant tous les asservissements protégeant les lieux de pouvoirs,  font de la dysphorie notre bain quotidien dans lequel on respire, transpire, souvent s'étouffe, rarement s'envole. 

Dans ce temps comment ne pas se tromper, comment situer la pertinence de nos décisions, c'est à dire comment caractériser le bon du mauvais, la bonne direction de la mauvaise, comment se construire une représentation des situations émancipatrices et non aliénantes. Pourquoi refuser le respect institutionnel tout en étant fascinés par la course aux places de pouvoir, fondée sur un discours mi rationnel mi émotionnel mais toujours limité dans sa compétence des choses.

Passer d'une coordination fondée sur le partage des points de vue et la négociation des directions, mettre au centre de la discussion l'acculturation des agents aux sujets traités tout en respectant l'écoute et en ne tombant pas dans le mythe du savoir vérité mais de la négociation de l'élaboration de  sa construction, tout en respectant la pragmatique du temps et de la durée nécessaire aux adaptations et aux organisations de celles-ci sont entre autres choses l'enjeu de la complexité du monde. 

Sinon on ne verra plus çà

JPEG

le partenariat woke entre Bud Light et M. Mulvaney comprenait des canettes arborant son visage et un discours pro-LGBTQ saluant le fait que ce mâle biologique “est une femme” 

Mais :

Kid Rock UNLOADS On BudLight! - Reaction To Woke Capitalism In America -  YouTube

Masculiniste tirant que dis je défouraillant toute sa haine au pistolet mitrailleur sur des canettes de bière envers les homos, trans, niggers, femmes etc....

 

 

DIMANCHE ET SAMEDI J'ESSAIERAI DE GARDER MON CALME LÉGENDAIRE A 9 45 POUR ALLER A LA SALIE SUD. JE PROMETS PAS PARCE QUE LES ŒUFS ET LES CASSEROLES C'EST DU VELOUTE DE JUS DE CHAUSSETTES A COTE DE CE QUE CE PAUVRE MACRON A LA PRÉTENTION DE CROIRE DE LUI MÊME, MAIS PARCE QUE LE RDV EST AU PARKING DE LA LAGUNE;

IL EST CON MAIS IL LE FAIT SAVOIR, NON?

IL EST CON MAIS IL Y CROIT. OU IL N'EST PAS BON NI CON A LA FOIS.

IL EST SIMPLEMENT MACRON, SUPER DU BON, DU BON, DU BON NIAIS ET DU "CONNIAIS" COMME LES BRAVE M.