BALADES DES 9 ET 10 DÉCEMBRE DITES BALADES DES TROGLODYTES

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MES CHAIRES TOUSSES, TOURTES, TOURTOUS, TOURTOUTTES, ANÉMIQUES, ANIMISTES, ANICROCHES, ANNIHILÉES.....

 

Vautrin, HARRIPOPEYES, junior, senior, Rastignac, Roméo, Juliette, D'ARTAGNAN, MILADY etc....

C'est une grande nouvelle que je vais annoncer, vous donner à vous tous, bretteurs, bretteuses. Aiguisez vos épées, lissez vos plumes, ce week end c'est toujours l'automne. Et après l'automne, c'est l’ Hiver. Et en hiver, au début, c'est Noël. Et quand c'est Noël, çà veut dire que les jours rallongent et quand les jours rallongent les nuits raccourcissent. Voilà les nouvelles positives que je voulais vous communiquer. Mais le plus important c'est que nous allons passer de 2023 à 2024. La science vient de confirmer cette passade importante. Et en 2024 vous referez du sport, des abdos tous les matins, du yoga, du Taïchi, du taekwondo, du jouis-y dessus-dessous-sur-les-côtés, art martial impressionniste  bien connu, révélé par les jovaciens et les jovaciennes pour se protéger des envahisseurs sumériens qui ne sont jamais arrivés jusqu'à leurs portes franchissant les murs civilisationnels les protégeant du froid et autres jeux de boules comme le jeu du cochonnet qui se joue à trois; non pas trois la ville de Troyes ni trois, un, deux, trois.

Le premier prend la boule et la lance!

Le deuxième prend la lance et la boule!

Que fait le troisième?

Réponse samedi à 14h30 rue des gemmeurs chez Micky.

Dimanche 9h45 au wharf

ATTENTION PLUIE PRÉVUE SAMEDI ET LES TROGLODYTES N'AIMENT PAS LA PLUIE. RISQUE D'ANNULATION

Patricia désertera pour mieux s'incruster lors du jour de  repos du seigneur.

Voilà des rendez vous parfaits, faits maison, avec esprit, discernement et sens de l’à propos. Le rédacteur en chef que je connais personnellement, esprit supérieur à la toison d'or d'avant la crise des subprimes, a fait respecter cette ligne éditoriale sans dieu ni maître. Faut bien convenir que cela enrichi notre vision du monde et nous permet de se fixer une ligne directrice pour notre vie en communauté ou l'égalité homme femme prendra toute sa dimension astronomique. 5 femmes pour un homme me semble être la bonne proportion pour que nous puissions combattre le réchauffement climatique sans couvertures en laine de mérinos.

BALADES DU 22 ET 23 JUILLET DITES BALADES DU TOUT BEAU LOUKOUMEU ET DE L’ANNIVERSAIRE DE SES 65 ANS ET 11 MOIS POUR TOUTES CELLES ET CEUX QUI SONT IMPATIENTS DE LUI FAIRE DES CADEAUX ET AINSI ASSOUVIR LEUR IRRÉPRESSIBLE ENVIE DE TÉMOIGNAGES ET AUTRES AMABILITÉS AU NOM DE L’IMMENSE RECONNAISSANCE QU’ELLES NE PEUVENT S’EMPÊCHER DE RESSENTIR VIS A VIS DE MA MODESTE PERSONNE POUR SERVICES RENDUS (le 21 juillet, 65a et 11 mois, le 21 Mai vous l’avez loupé, c’était les 65a et quelques, le 21 Janvier cagué à la culotte aussi, je m’arrête là, je me fais du mal….)

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MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, ADMIRATRICES, ADMIRATEURS, FANATIQUES, FERVENTES, ADULATEURS, SÉCATEURS, SECTATRICES, ZÉLATEURS, ENTHOUSIASTES, etc...

AHHHHHH Mes petits loups, mes petites louves gourmandes et assoiffées de reconnaissance et de contacts avec la beauté du monde, incarnée par le coach, mardi,  fuselé, aérien, oblong, plastique celui  qui,  découpé  à la serpe d'or non pas comme le gui mais comme la sculpturale silhouette de cet adonis Jupitérien qui règne sur les balades  et les paysages de mers, de sables et d'océan, écumant et salé, écrin de ses pérégrinations intellectuelles et votives rendant hommage à sa sagacité alliée à une plastique Schwarzenegerienne avant qu'il est atteint l'âge de ses altères.

La diète d'Arnold Schwarzenegger dans les années 1970 - Disciplean Athletics

Mes chers 2SLGBTQIA+ ce n'est pas que je vous aime mais qu'il est sûr que vous vous m'aimez. Tant de tendresse, d'attention, de gentillesse, franchement je vous en remercie et d'ailleurs votre probité et votre bon goût vous honorent.

CULTURE/

2S Deux-esprits, bi-spirituel (Two-Spirit).   le terme en anglais « Two-Spirit » a été adopté d’une traduction du terme Anishinaabemowin niizh manidoowag. Ce terme signifie la présence de l’esprit masculin et de l’esprit féminin au sein d'une personne.  c'est tout moi, non?
L : Une personne lesbienne  'identifie en tant que femme et est attirée par les femmes.
G : Une personne gaie s'identifie en tant qu'homme et est attirée par les hommes. Le terme gai est aussi utilisé comme terme parapluie pour plusieurs identités de la diversité sexuelle.
: Une personne bisexuelle ressent une attirance sexuelle envers les hommes et les femmes, ou par les personnes de sa propre identité de genre et les autres. Une personne biromantique ressent une attirance romantique envers les autres de cette même façon. Personnellement, pluriromantique
T : Une personne transgenre est une personne dont le sexe assigné à la naissance ne correspond pas avec l'identité de genre. Le terme trans  ou transgenre  est un terme parapluie pour plusieurs identités de genre où le sexe assigné à la naissance ne correspond pas avec l'identité de genre.
Q : Le terme queer, anciennement péjoratif et maintenant réapproprié par la communauté, est un terme parapluie qui désigne toute identité de la diversité sexuelle et de genre.
: Les personnes intersexes sont nées avec des caractéristiques sexuelles (y compris l'anatomie, les gonades et les chromosomes) qui ne correspondent pas aux notions binaires typiques des corps mâles ou femelles. Le terme intersexe est utilisé pour décrire un large éventail de variations corporelles naturelles. 
: Cette lettre représente plusieurs termes

  • Le mot allosexuel désigne toute identité 2SLGBTQIA+, l'équivalent français du mot "queer".
  • Une personne asexuelle ne ressent aucun ou très peu de désir sexuel.
  • Une personne aromantique ne ressent aucun ou très peu de désir romantique. L'asexualité et l'aromantisme existent sur un spectre et comprennent plusieurs sous-identités.
  • Les alliés sont les personnes qui appuient la communauté 2SLGBTQIA+ de façon active et qui démontre une écoute particulières aux besoins de la communauté.

+ : Désigne notamment (mais non exclusivement) les personnes agenres, genderqueer, pansexuelles, non-binaires, demi-sexuelles, demi-romantiques, et en questionnement.

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L’identité de genre
C'est le genre auquel une personne s'identifie (ex: homme, femme, personne non- binaire, personne transmasculine, etc.) .

Attirance sexuelle
C'est ce qui décrit les attirances sexuelles ou physiques ressenties par une personne, et par quel genre de personne elle est attirée.

Attirance romantique
C'est ce qui décrit les attirances romantiques ou émotionnelles ressenties par une personne.

Sexe assigné à la naissance
Il s’agit de la désignation "mâle" ou "femelle" donnée à une personne à sa naissance, selon les caractéristiques physiques de son sexe.

Expression de genre
Ce sont les facteurs qui déterminent la façon dont le genre est interprété par la société, par exemple, la coupe de cheveux d'une personne, ses vêtements, ses loisirs, son emploi, ses intérêts, etc.

Moralité si vous êtes comme moi, vous vous êtes retrouvés et si vous vous êtes retrouvés en tant que Queer ou alliés ou ce qui vous fait plaisir, mon anniversaire, celui de mes 65ans et 11 mois, est donc le 21 Juillet, . Ma fête est passée mais vous pouvez cumuler avec NOËL. Pourquoi je vous dis çà? Parce que je veux des cadeaux, des jouets, des toys made in Germany, je veux qu'on m'aime, que vous mettiez au rebut vos fausses pudeurs et que vous vous lachaillassiez dans l'expression de votre plus délicate admiration et désir de me plaire, uniquement pour rétablir l'égalité homme versus femme dont je suis la balance "roberval", la    THÉMIS montée de son service trois pièces, l'équité, la loi et la paix. 

DIMANCHE 9 30, AU WHARF, ON IRA ARPENTER LA PLAGE, LA MARÉE DESCENDANT MAIS SAMEDI ON RETOURNERA A LA RUE DES GEMMEURS A COTE DE CHEZ MICKY. ON IRA EN FORET, HISTOIRE  DE  NOUS CHANGER DE COIN. INSCRIVEZ VOUS.  

BALADES DU 20 ET 21 AOUT 2022 DITES BALADES DE LA RÉDEMPTION, DE L’ASCENSION ET DU SAKÉ CAR COMME DIT LE PROVERBE QUAND IL Y A SAKÉ, IL NE PEUT PLUS RIEN NOUS ARRIVER, FOI DE POPPEYE!

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MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, TONDUS, CHAUVES, SOURIS, CALMARS GÉANTS, FAUX CILS, MARTEAUX

Enfin, sachez que j'ai été en joie de ne pas vous voir durant ces longues semaines mais que face à la dépression économique, à l'inflation galopante, à la guerre en Ukraine qui se perd dans les méandres de la poutinocratie, face au désir, à l'envie que dis je à la soif de culture et de gâteux basques, je me suis résolu, mon inspecteur des impôts et mon contrôleur de ticket restaurant réunis dans un concert de louanges et de menaces d' internement à Fleury Mérogis quartier de haute sécurité section MADOFF pour délinquance en col MAO, Barbour et bottes de sept lieues, à relancer les balades d'Antoine, mondialement connues depuis que Jeannine a passé ses vacances avec Fleur à New YORK et que les Dafettes sont allées prêcher la bonne parole à Cambridge.

SAMEDI ET DIMANCHE 9 H RENDEZ VOUS FACE AU CERCLE DE VOILE (moulleau pyla) PLACE DANIEL MELLER.

JE VOUS EMMÈNERAI EN FORÊT MAIS JE NE SAIS PAS ENCORE Où? 

BALADES DU 3 ET 4 JUILLET DITES BALADES DES JOUISSIFS VISSEURS DE VICES APPELES PLUS ENCORE LES APAISES DE LA GOURMANDISE MAIS PAS DE L’INDIGESTION

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MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, MONTES, DEMONTEES, SUR LES PRINCIPES, EN AMAZONE 

la complicité, le plaisir du faire ensemble.

Qu’est le plaisir ?

D’après le CNTRL, la définition du plaisir est :

État affectif agréable, durable, que procure la satisfaction d'un besoin, d'un désir ou l'accomplissement d'une activité gratifiante.

PHILOS., PSYCHOL. Pôle fondamental de la vie affective (dont l'autre pôle est la douleur)

PSYCHANALYSE

− Principe de plaisir, du plaisir. Principe d'économie régissant l'appareil psychique, qui vise à la réduction des quantités d'excitation et des tensions (sources de déplaisir) 

 

Le plaisir est donc antinomique avec l’excitation et les tensions.

 

Dans la relation entre le  chien et l’humain, le plaisir « social et grégaire », hors intimité, celui qui se déroule lors du partage de territoire, ne passe ni ne doit passer  par la recherche systématique de frénésies démonstratives et valorisantes. La montée en excitation plus ou moins hystérique et spectaculaire, l’effervescence hiératique, synonyme d’excès et d’absence de contrôle sont synonymes de pertes de vigilance mettant en danger la pérennité du groupe. 

 

 La recherche de l’obtention démonstrative du plaisir sous forme d’excitation est le plus sûr moyen de se tromper sur ce qu’est le plaisir, ce qui le provoque et sur la relation que cela induit. Le démonstratif comme passage obligé à la relation « heureuse » avec son compagnon est le contresens sémiologique le plus répandu et le plus néfaste à une relation complice épanouie. Les signes du plaisir sont la manifestation de la décompensation[1] face à des évènements heureux ou malheureux.

Les activités déclencheuses  d’artefacts[2] d’expression assimilables à du plaisir, synonymes d’excitation, induites par le maître(sse), provoquent les mêmes réactions, font courir les mêmes risques qu’une prise de stupéfiants.  La satisfaction due à une attente intense, celles qui provoqueront pour certains leur addiction, qu’elle soit au sucre, à l’effort, à la cocaïne, à la boulimie  etc. prennent la forme « du bonheur », sourire, relâchement, rire etc.  

 

Autrement posée, la question est de savoir si toute satisfaction extrême, tel le « flash » provoqué lors de la première prise de cocaïne ou d’héroïne, la première cigarette du  matin, n’est-il pas le piège tendu à votre cerveau pour  vous faire prendre une satisfaction, un soulagement pour un plaisir, vous amenant à l’addiction. Assimilable qui plus est au plaisir «de faire, d’être ensemble ». Plaisir qui nous ouvre aux autres, renforce nos capacités et nos aptitudes cognitives en nous mettant dans un état de veille et de disponibilité renforçant notre créativité, nos forces de proposition. La recherche « désespérée » de cet effet flash, par exemple pour la «cocaïne», amène à en augmenter les doses à chaque nouvelle prise, faisant par le biais d’une insatisfaction constante et invariable,  reculer le seuil de satiété.   Alors que l’effet de  flash initial ne se renouvellera jamais, comme la vie rêvée des anges au paradis  est à jamais perdue,  sa quête effrénée et obsessionnelle en constituera la fondation structurelle de la dépendance et en déclenchera les mécanismes d’addiction.

 

Ces mécanismes addictifs amenant à la dépendance, se retrouvent pour le chien de façon tautologique,  dans toutes les activités à spectre étroit et forte récompense tel que jeu de balle, frisbee, bâton etc.

Pour comprendre ce que sont les activités à spectre étroit et la différence avec les activités à spectre ciblé, je vais vous proposer une petite expérience en retrouvant votre âme d’enfant dans un jeu de pirates et de corsaires.

Vous êtes Barbe Rousse  et vous vous demandez quel galion attaqué. Vous décidez alors de regarder l’océan à travers une longue vue. Prenez votre main, fermez l’œil gauche et posez votre main en forme de lunette de tir sur l’œil droit. Regardez l’océan. Vous percevez mieux les  détails par renforcement de l’effet contraste du à  la concentration de lumière constitutive de  la forme de cône ou de tunnel enserrant votre œil.   En dehors des contours de votre main vous ne percevez  rien, ni galion, ni baleine. Vous venez de créer une forme de lunette avec une ouverture, petite, qui définira le spectre, le champs de vision  sur lequel porte votre regard et surtout sur lequel il ne peut porter. Dans ce spectre étroit, si en regardant un point, vous recevez une forte décharge de plaisir provoquée par une satisfaction intense, vous allez vouloir renouveler l’expérience. Choper du galion !

Cette expérience non seulement vous isole et donc concomitamment vous « protège » de l’extérieur par une effet « autruche » mais si de plus, elle vous procure une intense satisfaction, vous cumulez  l’effet « sécurisant et protecteur » de l’isolement anxyogène et l’effet récompense intense comblant votre « faim » d’excitation.

Une activité type à spectre étroit est pour le chien, le lancer de balle ou de bâton à la main qui est constitué de la fixation d’un point (ouverture étroite)   et une forte récompense consommatoire, liée à la satisfaction procurée par l’attente ? récompensée par le lancer, multiplié par la satisfaction d’attraper et donc de produire un effet.

 En effet Le plaisir intense de l’excitation n'est pas la conséquence d'une émotion ou d'une intuition, d'une prédiction réalisée, mais le fait d'une simple activation physiologique provoquée par le lancer répétitif de la balle. C’est celui de son rituel, fixation-attente-tentation, accompagné de démarrages violents et de courses folles, qui provoque la décharge de dopamine et d’hormones du plaisir dans un flash instantané activant les circuits de récompenses.   Ces activités isolantes parce qu’elles demandent une extrême concentration, sont donc « consommatrice » d’une excessive vigilance. Elles sont comparables à l’écran d’ordinateur ou au bandit manchot, les jeux en lignes, les consoles etc. Les activités à spectre étroit ont pour  résultat  de vous sortir de la réalité contextuelle, de vous isoler tout en vous permettant de vous réfugier dans un monde de satisfactions sans attentes, auto induites.

Pour le chien le processus est identique sauf que pour lui l’induction de ces activités est l’humain. C’est ainsi que beaucoup de « maître(sses) sont devenus les dealers de leur propre chien à l’insu de leur plein grès et qu’ils sont confondus par leur confusion entre « amour et dépendance ».  la vie quotidienne ne le surprend plus autant qu'avant. Le jeu de balle, l’agility pratiquée à la récompense avec enjeu de réactivité, dessécheront la saveur émotionnelle que le chien et nous comme pourvoyeur inconscient, attribuons aux éléments et évènements environnant, la vie courante. Hors sans réponse émotionnelle à ce qui nous entourent, on sombre dans la dépression. (paranoïa, conduites à risques grégaires etc.)

Les activités à spectre étroit ne doivent pas être assimilées aux activités à spectre dirigé qui ont pour elles d’être chargées d’un fort potentiel d’apprentissage et de mémorisation.

Comme le vin qui a une dimension ludique, sociale, de désinhibition  et d’apaisement, les activités à spectre étroit dans lesquelles on voit le chien se réfugier, ne le sont qu’à partir du moment où le chien ne peut les interrompre. Par analogie toute personne adulte qui boit n’est pas forcément alcoolique même si elle s’enivre par moment. Pour l’enfant et le chiot c’est pareil, encore ne faut- il pas consommer d’alcool en dehors de la maturité qui est  pour le chien de trois ans et l’humain entre 20 et 25 ans.   

C’est lorsqu’elles deviennent compulsionnelles et sans signaux d’arrêt comme lorsque certains chiens ont des prises d’odeur à travers les veinages traversant les forêts matérialisant les déplacements de la faune sauvage, ce qui aboutit à des déambulations sans attention aux interrelations possibles avec le maître ou ses congénères, que l’activité à spectre étroit devient facteur de perte de capacités effectives d’interrelations grégaires utiles et que l’on peut les assimiler en terme d’ « isolement » aux effets  d’addictions et de dépendances.

 

Ce mécanisme opportuniste  peut aboutir à une compétence « qualifiée d’acquise » par apprentissage opérant, validé par une « récompense forte », un lièvre, une biche, dans un processus abouti, finalisé, caractérisant par la suite  les compétences chasseresses. Ce que l’on interprète hâtivement  d’instinct de chasse, ne sont que « des activités à spectre ciblé » qui par un « heureux » renforcement, conduiront à une efficacité chasseresse.  Tout activité nécessitant de la concentration est assimilable à des activités à spectre ciblé qui par des effets de renforcement aboutissent à des apprentissages. Ces activités de par leur structure ont un effet apaisant parce qu’elle sont porteuses de « réalisation ».

La concentration qu’elles nécessitent préserve une disponibilité à la vigilance externe ne mettant pas en danger le groupe. Par contre toute activité à spectre étroit provoque un isolement par  surconcentration, fixation,  isolement. La peur de l’extérieur, l’incapacité à traiter le « complexe » par déficience d’aptitudes à traiter de l’information et à en produire, deviennent des facteurs contingents à des conduites addictives. Leur pratique fait échapper à l’incertain et au monde extérieur anxiogène. ..

Le niveau d’angoisse morbide est donc un facteur de sensibilité à ces comportements. C’est le fruit d’une incapacité à  comprendre son environnement et la situation dans laquelle on est immergé. C’est-à-dire la regarder, l’interpréter, l’analyser.

Se contenter des formes et des manifestations comportementales  plus ou moins hystériques afin d’interpréter  la présence de plaisir, que ce soit pour le chien ou pour l’humain, est une erreur épistémologique.  Cette erreur nous amènerait à ne rechercher, à provoquer et à ne se référer  qu’à des formes comportementales  frénétiques et nerveuses pour évaluer l’obtention du plaisir pour autrui. Ce qui viendrait à affirmer, hors frénésie  point de plaisir.  Hors la frénésie ou l’excitation ne sont pas les seules unités de mesure phénoménale du plaisir. Le niveau d’excitation et de vocifération, la seule caractéristique objective  à atteindre. Comme si le silence, la retenue, l’apaisement et le contemplatif n’étaient pas aussi de bonnes caractéristiques validant l’existence de plaisir.  

Si le plaisir a une dimension tautologique  ou de nécessité absolue pour obtenir des apprentissages, des constructions de compétences, la mise en relation,  la mémorisation, la construction de l’autonomie et de la complémentarité,  le déplaisir en a tout autant une dimension pédagogique. Ne dit-on « Chat échaudé craint l’eau froide », à moins que cela ne soit « chat rafraichi,  craint l’épilation totale » !

D’ailleurs quels sont les plaisirs ? comment les nomment – on ?

[1] en psychologie, phénomène de disparition ou réduction très importante des défenses face à un événement ou une situation exceptionnelle

[2] altération structurelle artificielle ou accidentelle survenant lors d'une expérience

Examinons  les formes du plaisir nommé et leur expression

Alacrité Du latin alacritas, «ardeur», État enjoué du corps et de l’esprit.

État de vigueur et de vitalité corporelle, souvent mêlé de bonne humeur et d’entrain.

L’alacrité est un état, une conséquence. Et avec mon chien ça se passe quand?? État enjoué? du corps et de l’esprit? comment peut-on savoir? En regardant et en interprétant ce que nous montre toutou. Percevoir et avoir la sensation de l’enjouement, percevoir puis avoir la sensation. L’alacrité est une sensation de joie et de plaisir partagé par le fait d’être avec, antonymique de  l’excitation.

Allégresse Joie intense et manifeste qui s’exprime d’ordinaire en public.

Allégresse, manifestation intense de ……d’excitation joyeuse, exacerbée, qui s’exprime en public. Quelle différence entre joie intense et excitation? L’allégresse nécessite un public, sentiment hors de l’intimité. Expression de joie spontanée, désinhibée. L’allégresse est une démonstration vive, bruyante et collective de la joie.l’allégresse se transmet, elle est une mise en spectacle collectif couronnant et symbolisant une communion.

Affinité: Lien de parenté par alliance, rapport de nature ou de convenance entre des êtres ou des choses.

L’affinité n’est pas une ressemblance. C’est un temps, un lieu de confort, une résonance, un écho, une convergence, une possibilité d’intégration, d’enrichissement, d ‘échange, de partage de point de vue, son point de vue donné, non confronté, complémenté. L’affinité s’enlace, s’entrelace par attrition et frottements. Elle procure la confiance aux autres et en soi vis à vis des autres. Elle procure le sentiment de sécurité.

Agape («caritas») Amour oblatif et universel, il est dévouement.

Il est surtout dans son ressenti le moment d ‘une résilience « sociale », d’une constitution d’un capital d’ouverture et de confiance au monde. L’agape est systématiquement recherchée et observable au sein des balades. Elle se manifeste au bout d’une heure et dure jusqu’à la fin de la balade.

Amour Trouver en l’autre son équilibre et ressentir un sentiment tendre d’affection.

l’amour: Attirance, affective ou physique, qu’en raison d’une certaine affinité, un être éprouve pour un autre être, auquel il est uni ou qu’il cherche à s’unir par un lien généralement étroit.

L’amour est le contraire de la fusion, l’amour est affinité, au-delà de la complémentarité. Il est à contre sens de la passion et de la dépendance, parce qu’il se doit d’être libérateur. L’amour n’est ni une cage ni une laisse. L’amour c’est l’autonomie et la compréhension. Il est hors rancœur. Il est hors narcissisme autre que d’octroyer la liberté à l’autre pour qu’il n’offre point sa soumission mais sa coopération. Son idéal est le rejet de la fusion, de la jalousie et de l’exclusivité, car l’amour est tout sauf suicidaire.

Ataraxie Dans le stoïcisme, état de l’âme que rien ne peut troubler. Quiétude absolue.

Bien être, quiétude du devoir accompli, le regard du « papy » sur ses petits-enfants, au soir de sa vie, quant il n’a plus besoin de gagner, ni de conquérir, ni de prouver. Il n’a qu’à leur donner amour et confiance. Il s’est libéré du besoin de retour et son plaisir est celui d’assister à l’envol. Quand l’avidité, l’avarice et l’agressivité ont disparu pour laisser la place à la confiance, la tolérance et le partage et l’observation de l’autonomie acquise et de l’envol.

Béatitude Représentation chrétienne du bonheur suprême et permanent. Satisfaction des élus au paradis.

Là pour le coup heureusement on n’y est pas encore. Le risque de toute activité sociale fondée sur la recherche ou la promesse d’un équilibre et d’une « utopie réalisable »  est d’être pervertie par le syndrome du gourouisme. De Savonarol à la secte Moon en passant par la Scientologie ou le culte de la personnalité des petits pères du peuple. Transgresser le projet social partagé par la mise en scène de sa propre illusion n’a pour but que d’assoir un fait de domination total.   Utiliser la sur-personnification de la relation et les protocoles comportementaux d’assujettissement, d’adoration et de vénération comme outils de contrôle et de pilotage de la soumission,  c’est faire perdre tous les repères, toute la géographie du champ des possibles du partage de territoire de façon apaisée fondé sur l’autonomie, le libre arbitre et la tolérance.

Bien-être État général de bonheur. Être bien dans sa tête, son corps, sa vie, ainsi que dans son rapport à soi et aux autres.

C’est agréable. On est bien. Mais pourquoi est – on bien? Quand est – on bien?

Il y a le plaisir de réaliser de façon solitaire. La réalisation solitaire ne provoque pas du bien être, elle provoque du contentement, de la satisfaction et souvent un sentiment de vide ou de non fini.  Elle peut provoquer de la satisfaction ou de l’insatisfaction, mais ce n’est pas du bien-être. Le bien-être est un bonheur collectif, social à partir de deux. On est bien quand on a réalisé quelque chose ensemble, quand on a produit quelque chose ensemble. Avec le chien toute action de coordination s’assimile à une production « ensemble ». L’objet produit à deux, par la coopération des deux, à travers la mise en place des négociations et échanges d’intention, sont la caractéristique du produit « réalisé » ensemble. Elles permettent la coordination, le partage de territoire de façon apaisé, qui forment le bien-être.  

Bonne humeur Disposition émotionnelle de l’esprit à être heureux a priori. Principalement passagère.

La bonne humeur n’est pas l’humeur béni oui-oui. La bonne humeur ce n’est pas qu’être positif; de tout rendre acceptable et ainsi de tout rendre accepté. De la domination pour la domination à la soumission comme état interdisant l’insoumission, la bonne humeur  n’est pas un pis-aller permettant d’abandonner tout sens critique et donc toute critique. La bonne humeur si elle permet la jovialité, l’accueil et la tolérance des autres, n’empêche pas de dire la limite de l’épure à ne pas franchir.

Contemplation État de l’âme dédié à la méditation. Chemin vers l’union avec l’absolu.

Que c’est joli. Si la contemplation nous permet de nous ressourcer, de nous connecter avec « le monde », de s’équilibrer et de se réparer des agressions du temps qui s’écoule, elle est aussi un temps d’interaction mort, neutre, tourné vers soi. L’amour acosmique peut y trouver un outil renforçant la capacité, la disponibilité à le vivre, il n’en n’est pas l’outil. La quête du bonheur, de l’équilibre, de la sensation et du respect de la vie et de ses mystères ne peuvent pas  passer que par le nombrilisme de la visualisation, de sa pleine conscience  et du mysticisme. L’interrelation aux autres assure notre sécurité, la production et la protection de nos moyens de vie. La libération des temps de production autorise la conquête des savoirs, leurs stockage, leur répartition et leur transmission. Ils nous lient  à la curiosité de nous connaître individuellement, collectivement et relationnellement. définissant l’écologie idéale à notre développement et à notre recherche de « bonheur ».

Contentement Se satisfaire de sa propre situation et ne désirer rien de plus.

Le contentement n’est-il pas à l’inverse de la compétition, une des valeurs absolues (valeur absolue d’un nombre) alimentant par son énergie le partage de territoire de façon apaisée en excluant la jalousie, l’envie et le mimétisme?

Délectation Savourer un plaisir.

Savourer une caresse, un compliment, des vers de mirliton

Plutôt qu’une croquette qu’un bout de saucisson

Délice Ravissement des sens. Plaisir qui transporte.

Une piste, un chevreuil, des bolets ou des truffes, voilà bien des délices à partager avec ses bons amis et ses hôtes. l’hospitalité, le partage de la table, des mets, des ambiances et des arts, voilà ce qui pour être en tout délice demande aussi accueil, initiation et volonté, un amour du don et du cadeau.

Épanouissement: En philosophie, état harmonieux de l’âme. Chemin vers la plénitude de l’âme réalisée.

L’épanouissement ne s’obtient pas hors du chemin de l’initiation, de la transmission, de la conscientisation et de la construction du rapport de confiance du contrat de grégarité. Il touche les deux parties, l’initié et l’initiateur.

Enthousiasme Étymologiquement, «transport divin» en grec. Sens commun, vive émotion de l’âme poussant à une joie manifeste.

L’enthousiasme est souvent confondu  avec le marqueur d’un mensonge qui est l’exubérance et la communication « hystérique ». Tout ce qui est extraverti n’est pas forcément un mensonge mais tout ce qui est discret n’est pas forcément un manque d’intérêt. Par contre l’enthousiasme cache souvent la superficialité et le manque de ténacité.

Évasion: Fuite du réel face à des situations cloisonnantes. Échappatoire.

Les activités à spectre étroit  (jeux de bal, vélo, courses compulsives etc)  sont démonstratives d’excitation et « d’énervement » .  En hystérisant  la démonstration de ce que l’on croit être du plaisir, elles amènent à confondre amour et dépendance. Elles sont d’autant plus perverses qu’elles sont le plus souvent des rituels de détournement ou de fuite lors de la confrontation à un environnement incompréhensible, bruyant et sans sens. A ne pas confondre avec un environnement complexe mais informant,  demandant et provoquant une disponibilité de l’esprit.

Euphorie Sentiment de bien-être excessif et anormal. Surexcitation qui ouvre le champ des possibles.

Je suis euphorique lorsque je gagne au loto ou quand je suis papa. Plutôt quand je suis papa  ou encore le jour de mon mariage. Mais l’euphorie c’est transformée en vol plané au-dessus de mes chaussures pendant très longtemps et encore maintenant, cette euphorie est un vent ascendant extrêmement puissant.

Eros Dieu grec de l’Amour, désigne principalement un amour sexuel, poussé par le désir des sens et la satisfaction des pulsions.

Hummmmmmm aimer et conclure, pffff,pffff,pffff

Tout ça pour ça! et dire que pour Schopenhauer, Freud, Foucault  et moi un peu, c’est le moteur de la vie!! Mais pas toujours. Créer, transmettre, initier, protéger ne sont-ils  pas les autres mamelles du pis qui nous nourrit. (ou du plus mal qui nous nourrit)?

Surtout quand on en est frustré et que l’accessibilité à ce qui n’est qu’une sexualité nous est interdit.

Mais la recherche, le doute, l’acquisition du savoir, l’échange, la discussion, la rhétorique, le discours et son usage ne sont-ils pas une érotique, tout du moins pour les vieux barbons nostalgiques du sable chaud et de vagues conquérantes ?

Extase Etat qui nous pousse hors du monde sensible. Ravissement extrême d’un sentiment amoureux. Quand le plaisir prend le contrôle de notre corps.

Et bien on n’est pas dans la …… si le plaisir a la tête de l’hydre de Lerne dont Héraclès coupa la dernière tête en inventant la cautérisation, l’extase n’est jamais loin de perdre la tête.

Félicité Du latin felicitas signifiant heureux. Bonheur promis et espéré aux croyants dans la tradition chrétienne. Une élévation vers les cieux.

Je m’élève, je vole et sans parachute je chois.

Gaieté État manifeste de joie. La gaieté peut être légère, bruyante, douce et enthousiaste.

Que du bonheur, la gaieté n’a jamais était l’antonymie de la responsabilité ou le synonyme de l’inconséquence.

Ivresse Etat d’euphorie, surexcitation. Perte de contrôle de l’esprit et du corps.

De l’ivresse à l’addiction le chemin n’est pas égal pour tous.

Joie Du latin gaudium, se réjouir. Manifestation d’un plaisir intense. On frisonne, on saute, on pleure de joie. Jouissance de l’âme et du cœur, la joie est la marque du bonheur dans l’instant.

Être joyeux, heureux au spectacle de l’émancipation de l’autre. On n’est jamais joyeux de la soumission.

Jouissance Éruption violente et intense de sentiments qui envahit l’homme lorsqu’il profite d’un moment unique de bonheur.

Jouir ou ne pas jouir, est ce la finalité ou comme pour la « virtu » un moment qui doit rester opportun?

Liesse Déferlement collectif et spontané de joie intense. Célébration commune d’un moment heureux.

La liesse est à l’agapé ce que l’agapé est à la liesse, une différence d’échelle mais pas d’altitude.

Mirage Illusion, trompe l’œil à tendance séduisante.

Le discours est mirage. Le mot est mirage. Le fait, l’action, l’activité dans sa situation sont seuls peut -être l’approche de la réalité.

Nirvana Etymologiquement, «souffler pour éteindre». État de parfaite quiétude et de sérénité suprême inspiré par la tradition bouddhiste. Extinction de tous les désirs.

Avec l’âge je m’en approche. mais que le chemin est chafouin, alors pourquoi vouloir l’accélérer.?

Optimisme Du latin optimus, le meilleur. «Tout est au mieux dans le meilleur des mondes», nous disait Gottfried Leibniz. Positiver et se dire que tout ne va pas si mal et que demain sera meilleur.

Mouais bien sûr pourquoi pas dit l’esclave, l’OS ou le garde chiourme. La vie rêvée des anges pour les anges de la télé réalité.

Orgasme Sentiment soudain d’un bonheur intense. Point d’orgue de l’acte sexuel.

Quand on a fait pfff pfff il nous reste plus qu’à nous rhabiller et ceci dans tous les cas. 

Passion Épanouissante ou aliénante, elle suscite bonheur ou le malheur. Elle est tout sauf la satisfaction d’un bonheur calme.

On en rêve ou on la redoute, elle n’est pas sujet ou fin en soit. Pourquoi et pour qui se prend-on pour rêver de brûler et de se brûler.

Philia Amour fraternel et sélectif, il est l’amour d’une mère à son enfant ou l’amitié entre deux êtres.

La philia est la nécessité  qui permet la prise en charge  d’un individu et donc d’un chien.  Mais elle n’est pas spontanée, elle se construit à travers la compassion et la prise en charge de la douleur. Avec le chien c’est facile à faire parce qu’il  porte en lui le codex de notre enfance.

Plaisir Au sens premier, satisfaction d’un besoin procurant aux hommes des sentiments agréables.

Soit par l’organisation physique d’un retour  et d’une distanciation sur soi par méditation et autres exercices de « pleine conscience », soit par l’usage et l’usure du corps à corps libérateur de chaleur, soit par l’activité sociale de construction et de production d’un bien,  l’endorphine et autres hormones du plaisir qui en sont les produits, sont les vecteurs d’un état ressenti de bonheur.

Plénitude Sentiment d’accomplissement. Quand rien ne manque au bonheur.

C’est pas souvent et c’est tant mieux.

Prospérité Situation favorable de réussite matérielle au moment présent mais principalement pour le futur. Un bonheur matériel pour la postérité.

Certains l’ont, d’autres non; mais tous  l’attendent en mieux.

Quiétude Du latin quies, signifiant repos. Douce tranquillité de l’âme et de l’esprit.

Quand le devoir est accompli m’envahit une douce quiétude. Le travail de production d’une coordination complice produit une satisfaction et provoque un état de quiétude dans les temps suivants. Souvent sur plusieurs jours d’ailleurs.

Ravissement Étymologiquement, «enlèvement à soi». Quand l’admiration émerveille et nous transporte hors de nous.

Mon fils, ma femme, ma maîtresse etc

Réjouissance Au sens premier, une nouvelle jouissance. Au sens figuré, une célébration collective d’un moment de joie.

Soit le début de la fatigue soit le début de l’ivresse. Dans ces deux cas la précocité de l’état est inversement proportionnelle à ………hic.

Satisfaction Sentiment résultant de l’accomplissement d’un travail ou de la réalisation d’un souhait.

On est satisfait quant on a réalisé une chose, un produit,. Construire quelque chose qui va vous remplir de fierté. Fierté d’avoir été utile, d’avoir rempli son devoir, ceci vis à vis des autres? Ce plaisir du travail accompli est un plaisir solitaire qui ne provoque pas de bien être, simplement une auto-reconnaissance d’avoir été à la hauteur, magiquement. Être un héros est du à un hasard, une circonstance ou la « virtus » (vertu) va avoir l’opportunité de s’exprimer. Au fond de soi on sait que l’héroïsme identifié comme tel permet de  détenir une dette envers le destinataire de l’acte héroïque. C’est donc soit une opportunité de la valoriser en la créditant soit une opportunité de la réaliser en l’offrant.

Sérénité Etat de l’esprit où le calme, face aux situations d’adversité, est le mettre mot. Symbole d’une noblesse de l’âme.

Je suis d’accord, j’ai la particule à l’âme.

Volupté Plaisir intense des sens.

On commence pas les chairs fermes pour ensuite les aimer rôties et bien arrosées accompagnées de musique symphonique ou d’opéra. De toute façon on passe de la chambre à la salle à manger et des fois par des détours par les placards.

 

Chez nos amis les bêtes et nous même qui en sommes.

Les plaisirs « socialement et grégairement » constructeur de soi, créateur de réel bien être et d’apaisement le sont par la complémentarité à l’autre qu’ils créent. 

Qu’est-ce que l’excitation si ce n’est une perte plus ou moins totale de la maîtrise de l’expression de ses émotions, un stress incontrôlable faisant perdre toute capacité de tempérance et annulant nos capacités à traiter de l’information, la catégoriser et s’en servir pour alimenter ces capacités à s’interroger, raisonner, conséquentialiser et orienter ses réponses.

Le plaisir du chien comme le plaisir humain est beaucoup plus complexe que les « singeries » hystériques interprétées comme tel. Il passe aussi par la création, la production, le faire ensemble, l'élaboration, la résolution et à deux c'est encore mieux. 

Le demonstratif

Le plaisir démonstratif chez le chien prend toutes les formes que par habitude on interprète comme des expressions de joies et de bien-être. Cela va de la queue qui bat plus ou moins hiératiquement, aux sauts, secouements de tête, mâchouillement de morceaux de bois, courses saccadées et effrénées etc..

la question qui se pose est de savoir si toute expression d’excitation frénétique est synonyme de plaisir. Y a-t-il au contraire une qualité ou caractéristique d’expression de plaisirs correspondant à des plaisirs sociaux et grégaires que l’on pourrait qualifier de nobles, ne dépendant pas de dépendances ou d’addictions. Le sourire d’un bébé ou d’un jeune enfant regardant sa mère équivaut-il au sourire d’un enfant prenant in shoot d’héroïne?

Chez le chien  la plus grande partie de l’expression de plaisir passe par la queue qui est l’analogue  du visage et des expressions de la bouche et ses crispations illustrant le rire et sourire. Ces « convulsions » illustrent, caricaturent  le plaisir. Hors celui-ci doit-il pour exister, se traduire systématiquement par ces « démonstratives agitations ». La queue du chien par ses mouvements plus ou moins relâchés ou frénétiques, équivalent chez l’homme au rire et au sourire,  plus ou moins extatique, forcé et permanent, Ces   battements sous prétexte de leur absence traduisent-ils systématiquement l’absence de plaisir ? Si nous le croyons, nous passons à coté de tous les plaisirs dits complexes et sociaux.  Ce qui équivaudrait chez l’humain à n’identifier le plaisir qu’au travers le sourire et le rire ou les cris orgasmiques.

 

Hors leur manifestations "hystériques" peuvent surtout être obtenus par des « excitants », tel les chatouilles chez l’enfant. Mais la chatouille à y regarder de plus près, provoque surtout un mécanisme de défense, une contraction, une raideur du corps, une crispation permettant d’interdire des accès du corps plus ou moins intimes que le chatouilleur simule ou pas de vouloir atteindre. On peut se poser la question si dans ce cas précis, le mécanisme de défense de l’enfant qui passe par le rire geste d’apaisement, ne constitue pas plutôt un mécanisme de désamorçage du harcèlement et de la frustration en  utilisant le rire comme leurre afin de détourner le chatouilleur de ses tentations peut-être plus « intimes », tout en organisant une rigidification et des convulsions du corps le rendant non désirable si ce n’est repoussant. On voit bien que la recherche systématique de la forme démonstrative du plaisir n’est pas gage de plaisir « partagé » ni « partageable ».

Hors les plaisirs qui répondent à des désirs et non à des besoins, les plaisirs hors dépendance et addiction, hors passion tel que  l’émulation, la fierté, la confrontation au beau, au raisonnement, la stimulation intellectuelle, sociale, le plaisir d’appartenance, de communication, de communion, d’argumentation, le sentiment de réalisation sont  tout autant de plaisirs passant par d’autres formes d’expression que des hystéries « spectaculaires » et marchandables et sont de façon adaptée tout autant abordable par le chien à partir du moment où on lui reconnait une capacité à la sensibilité et une autonomie dans la façon de la vivre.

L’appauvrissement de la notion de plaisir, sa réduction à celle d’intérêt et d’utilité, ne servent qu’à justifier l’organisation de mise sous dépendance par l’utilisation de d’activités provoquant l’expression de ces hystérisations sous prétexte que le simulacre du plaisir est le plaisir. Raisonnement qui fonde l'organisation de nos rapports à partir de nos égoïsmes et de notre sens strategique poursuivant les satisfaire, d’un simplisme explicatif tautologique tellement pratique qu' Adam Smith et Ricardo y trouvent toutes les justifications d’un capitalisme libérateur, organisant les échanges du bon commerce apaisé, l’homme asservit l’homme non à ses désirs ou besoins mais à ses pulsions. Comme le chien pour certains.

Nos  besoins,  nous humains de se comparer, ne sont ils pas dûs au fait de ne pas se sentir égaux. Organiser l'inégalité n'est il pas organiser la compétition et le conflit, mettre de côté la complémentarité, la coopération émancipatrice et pourvoyeuse de plaisirs?

Provoquer nos jalousies, caresser nos  instincts les plus bas, du voyeurisme à la concupiscence, instaurer la dépendance, ne sont ils pas les artifices machiavéliques pour créer des besoins artificiels et frelatés construits sur des processus addictifs qui sous prétextes de flatter nos égoïsmes et nos égo, nous mettent le cerveau en jachère. Satisfaire nos « intérêts dits immédiats » et nous approvisionner en  excitation par le comblement de besoins frelatés et artificiels alimente dans l’idéal les distributeurs et producteurs de substances qui n'ont de séduction que leur côté artificiel et addictif. Des sodas à la cigarette, de l'organisation archétypal de la production à la distribution de drogue  et autres pompes  à transfert de bien inutiles, il faut être conscient que l'équilibre du système économique monétarisé n'est fondé que sur l'organisation et l'institutionalisation de nos addictions spoliatrices de notre libre arbitre et destructeur de notre autonomie.  Leur mise en oeuvre, de la nicotine au sucre en passant par tous les narco trafiques ne sont que la mise en oeuvre du marketing idéal cher à Procter et Gamble, Mac Kinsey et consort. Fondé sur la satisfaction des besoins captifs, comme les narco traffics qui soit dit en passant par le recyclage d'argent "sale" alimentent une économie souterraine d'investissements dans des secteurs tel le tourisme et autres biens de service, qui sont aussi un facteur de paix sociale, un facteur important de croissance et de régulation des dysfonctions économiques.

Pour le chien c'est pareil.  Organiser sa domination par le refus de le considérer apte à être autonome, le définir comme égoïste et piloté que par son intérêt souvent assimilé à la récompense par croquettes ou bonbons, l'essentialiser comme hiérarchique et conditionnable, le restreindre à n'être émotionnel qu'à travers des systèmes relationnels de faible complexité, lui dénier des capacités à être apte à raisonner, conséquentialiser, c'est en faire un addictif par destination et nous un dealer par abandon de la réflexion et de la raison.

les mecanismes du plaisir

Reprenons les mécanismes du plaisir à travers l’exemple de la drogue, de sa consommation et des mécanismes addictifs qui y sont en jeu.

D’après Alexandre STIPANOVICH. Ingénieur et Docteur en neuropharmacologie, Alexandre Stipanovich a travaillé sur l'impact de la cocaïne sur le cerveau, dans les universités de Yale et Rockefeller et publie dans Nature. D’après Comment la drogue drague votre cerveau pour vous rendre addict | Le Huffington Post LIFE

« Toutes les drogues d'abus (i.e. l'héroïne, la cocaïne, la marijuana, etc.) ont au moins un mécanisme en commun: elles augmentent la concentration de dopamine dans le cerveau. La dopamine est un neuro-modulateur qui permet d'anticiper la récompense.

Souvenez-vous de votre béguin au lycée. Elle - ou il prend d'habitude le bus 79 à un arrêt en amont du vôtre. Quand vous parvenez à votre arrêt, vous regardez la circulation qui arrive et distinguez le 62 qui s'approche. A ce moment, votre séquence mentale est: le 62 approche. Il est huit heure moins le quart, elle ou il devrait être dedans. Une chance. Ces pensées rapides, presque réflexes, sont générées par - ou avec - le relargage de dopamine. Cette dernière inondant une partie de votre cerveau, vous êtes à présent en train de prévoir, d'anticiper, et d'attendre, un moment excitant, potentiellement agréable.

Si, au moment où vous montez dans le bus vous apercevez effectivement votre crush (votre fiancé(e)), alors votre cerveau largue encore un peu de dopamine, mais moins que lorsque vous attendiez le bus. Ce second pic de dopamine consolide ainsi le pic initial. En revanche, si vous ne le ou la voyez pas dans le bus, alors une baisse du niveau de dopamine a lieu, comme si elle était retirée des espaces synaptiques. Dans ce cas, la valeur appétitive associée au signe 62 s'efface de votre esprit.

Un pic de dopamine signifie bien plus qu'une simple expérience de plaisir. C'est une phase d'apprentissage, durant laquelle nous attribuons une valeur émotionnelle aux objets qui nous entourent. Cela nous permet de rendre notre journée excitante, prometteuse, et réussie.

Quand quelqu'un prend de la drogue (par exemple de la cocaïne, ou les jeux de balles), il court-circuite ce système biologique pour aller "droit au but" : il/elle ressent le relargage de dopamine comme un agréable bain de plaisir, aiguisé par le fait qu'il/elle compte sur une récompense réelle qui ne vient jamais. Le plaisir intense n'est donc pas ici la conséquence d'une émotion ou d'une intuition, d'une prédiction, mais d'une simple activation physiologique. Pour filer la métaphore, vous n'attendez plus le bus, c'est vous dorénavant qui le conduisez. Votre béguin s'est transformé en fantôme. Votre recherche de désir est piégée dans une boucle folle, infinie.

La différence entre addiction et dépendance.

Effets des drogues sur les neurotransmetteurs (ge.ch), le site: lecerveau.mcgill.ca, puis aller dans "le plaisir et la douleur" etc..

La dépendance

Malgré leurs modes d’action très différents, toutes les drogues augmentent la libération de dopamine dans le cerveau. La récompense est une sensation positive, une sensation de plaisir que tout humain ressent de manière naturelle et innée lorsqu’il agit de manière bénéfique pour lui-même ou pour son espèce. Ainsi, par exemple, la consommation de nourriture induit du plaisir et assure la survie de l’individu, de même, l’acte sexuel permet d’assurer la continuité de l’espèce. Les drogues utilisent le même circuit, provoquant une sensation de plaisir temporaire, une fausse récompense qui n’est bénéfique ni pour l’individu, ni pour son espèce, et qui détruit l’équilibre de ce circuit. Plus la récompense est importante, plus l’organisme s’en souvient et plus il cherchera à répéter l’activité en question. Une forte augmentation de dopamine dans la synapse peut induire une diminution du nombre de récepteurs à dopamine dans la membrane postsynaptique (adaptation du système nerveux à l’excès de dopamine). En absence de drogue (sevrage), une quantité de dopamine redevenue normale ne sera plus suffisante pour créer une sensation de plaisir. Dans le cas où la drogue bloque le récepteur, la réponse peut au contraire être une augmentation du nombre de récepteurs pour rééquilibrer la situation. Lors du sevrage, les récepteurs ne captent plus suffisamment de dopamine pour créer une sensation de plaisir. On observe également chez les personnes dépendantes une anticipation du plaisir. En effet, lorsqu’on montre des photos évoquant la prise de drogues à un toxicomane ou à un ex-toxicomane, que ce soit des photos de la drogue utilisée ou du lieu où la prise s’effectuait, certaines zones du cerveau s’activent, Ces zones sont en fait le circuit de la récompense qui va donc stimuler les neurones dopaminergiques. Cette anticipation du plaisir va pousser les personnes dépendantes à consommer, ce qui nous indique à quel point la mémoire de l’environnement de la prise de drogue est ancrée dans l’inconscient des personnes dépendantes. Même si la personne veut arrêter de se droguer, une simple image, un simple souvenir peut pousser la personne à replonger.

Addictions sans substances, le cas particulier du jeu de balles

Le circuit de la récompense, activé artificiellement par les drogues, l’est aussi par tous les processus récompensant, autrement dit toutes les expériences agréables possibles. Les addictions sans substances (jeux d’argent, jeux vidéos, sexe, achats compulsifs, travail, téléphones portables, internet,…) sont caractérisées par une dérégulation du système de la récompense, non pas par l’apport régulier d’une substance exogène, mais par la répétition d’un comportement ayant des effets sur ce circuit. Tout comme les comportements d’addiction aux drogues, ils se caractérisent par :

Ø La perte de contrôle sur le comportement

Ø La place grandissante de la conduite addictive dans la vie, au détriment du reste

Ø La persistance du comportement même en cas de retombées négatives

Ø La période de sevrage en cas d’arrêt.

Pourquoi faire une analogie cocaïne, drogue d’abus, alcool et jeux de balle.

Aparté : Tous les produits et toutes les activités qui « peuvent » c’est-à-dire qui ont un risque de provoquer une  dépendance, ont la propriété  de faire croître sensiblement la quantité de dopamine disponible dans la zone du cerveau délimitant  les circuits de la récompense.

Le jeux de balle.

1° Phase: attente, fixation de la balle, 1° décharge de dopamine.

A partir de cette fixation se réalise un rétrécissement du champs visuel. Cette fixation servie par une attente, « un espoir » très fort de « décharge », la course effrénée sur la balle sans réflexion parce qu’uniquement réflexe par rapport à un déclencheur, (information pauvre), crée une incapacité à pouvoir se servir de sa vision périphérique en s’ouvrant au « monde ». Il en résulte un rétrécissement de la vision du monde, d’autant plus important que l’attente est grande ou d’autant plus importante que ce monde périphérique inquiète, est vécu comme porteur de stress et d’insécurité.

2° Phase: la balle est lancée, l’attente, l’espoir est satisfait, s’y additionne une phase consommatoire extrêmement  « vive » ,  avec une forte décharge d’excitant, équivalente à l’ingestion de la cocaïne et ses effets euphorisants. Par un raccourcis non naturel parce que extrêmement rapide, concentré dans le temps et répétitif, ce « jeu » stimule de façon excessive les circuits dopaminergiques,  accentuant la sensation d’excitation, de vigilance, de réactivité, qui font reculer par la répétition le seuil de satiété.

Dans le cerveau le mécanisme de stimulation lié à la cocaïne suit le même processus que celui lié à la vitesse. Son effet aboutit au rétrécissement du champs visuel et à subir  des stimulations stroboscopiques.  Leur effet combiné, que nous appellerons syndrome de  « spectre étroit »,  provoque un isolement renforcé  par la ligne de fuite poursuivie, ce qui déclenche une sur-stimulation des circuits dopaminergiques, équivalent  à l’effet de la cocaïne dans le cerveau.

Les manifestations comportementales prennent alors la forme d’extrême excitation, exubérance, demande, jappements, aboiements de sollicitation etc.

Les amphétamines et leurs dérivés, comme l’ecstasy, provoquent des augmentations immédiates et importantes de sérotonine dans la synapse en bloquant sa recapture, et dans une moindre mesure, ils augmentent également la dopamine.

Un très grand nombre d’antidépresseurs ainsi que l’alcool agissent directement ou indirectement sur la libération de la dopamine.

Le cannabis entraîne une faible libération de dopamine selon un mécanisme encore étudié et discuté. Les récepteurs cannabinoïdes sont présents en forte densité dans le système limbique (dans le noyau accumbens, dans le cervelet, l’hippocampe et le cortex).

La cocaïne agit en empêchant la recapture de la dopamine au niveau des synapses. Ce faisant, elle augmente la présence et donc l’effet de la dopamine au niveau du cerveau des émotions (système limbique).

L’héroïne est transformée dans le cerveau en morphine. Celle-ci se lie aux récepteurs opioïdes naturels (récepteurs aux endorphines). Elle stimule également le système de la dopamine, mais par un mécanisme indirect, en diminuant le contrôle des neurones GABA (inhibiteur) sur les neurones à dopamine.

La nicotine du tabac, comme toutes les autres substances induisant une dépendance, accroît la libération de dopamine par certains neurones. La nicotine imite l’action d’un neuromédiateur naturel, l’acétylcholine. Elle se lie aux récepteurs nicotiniques dans le cerveau. La nicotine facilite également la libération des endorphines, ce qui expliquerait en partie son effet antalgique (anti-douleur)

Petit tableau des différentes substances addictives et de leur conséquences :

Les facteurs renforçant les risques d’addiction et de dépendances :

Sept groupes de facteurs non biologiques : culturels, sociaux, situationnels, ritualistiques, développementaux, de personnalité et cognitifs.

- facteurs culturels : ensemble des interprétations des effets d’une substance (ou d’une stimulation) qui sont propres à une culture donnée et qui influencent en retour le potentiel addictif de la substance (ou de la stimulation)

- facteurs sociaux : une substance psycho-active est étroitement reliée au groupe social et de pairs auquel appartient la personne : initiation (ados), reconnaître et anticiper les effets de la drogue

- facteurs situationnels : la situation (stress) dans laquelle se trouve la personne ou le chien. Dans un monde de « bruit » il existe un environnement propice. La question est que le chien ne joue qu’à une balle qu’on lui lance. Pourquoi lui lance t on la balle comme un « idiot » à moins que soi même nous n’ayons des troubles psycho sociaux.

- facteur ritualistiques : ambiance, gestes, actions, sensations…qui forment le rituel de la consommation, on fait comme tout le monde. Réseaux sociaux, télévision et perte du sens critique par peur de ne plus faire partie du circuit de récompense qui nous esclavagise et nous assujettie à une hiérarchie et à une subordination matérielle, sociale, consumériste…etc   (overdoses par absence de rituel, préadaptation neuronale, tolérance à recevoir la substance

- facteurs développementaux : phénomènes de maturation, acceptation du rôle d’adulte, accessibilité, solutions alternatives moins coûteuses, moindre coût adaptatif, abandon de son libre arbitre, autonomie dévalorisée etc.

- facteurs de personnalité : vulnérabilité aux addictions - explication personnaliste : réponse à une problématique d’ordre narcissique. Ado : baisse de l’estime et de la réalisation de soi, incompétence apprise, passivité, relations de dépendance, désir de satisfactions immédiates, sentiments de stress habituels élevés. Notion de « personnalité limite addictive ».

- thèse environnementaliste : les co-addictions, économie narcissique familiale, étayages mutuels, culture groupale plutôt que personnalités composant le groupe, réponse-solution aux enjeux narcissiques présents dans tous types de personnalités9

- facteurs cognitifs : croyances et attentes à propos de l’effet des drogues qui influencent en retour les réactions physiologiques et psychologiques à la substance (effet placebo : cuites sèches, morphine thérapeutique, besoin irrépressible, manque ou tolérance, rechutes…)

Les substituts aux conduites de plaisirs faux et addictifs

 

Toutes les expériences d’interactions sociales complexes, mettant en exergue la relation, le faire ensemble, le produire ensemble.

Toutes les expériences de contact, caresses, câlins.

Toutes les expériences de raisonnement, d’élaboration.

Toutes les expériences de dialogues, de partages.

Toutes les expériences d’argumentation aboutissant à un partage et une négociation d’intention etc.

Toutes les expériences de contes, d’histoires, qui nous entraînent dans des mondes étranges et mystérieux

On mettra de côté le sexe non parce que cela nous fait peur mais parce que cela n’a pas lieu d’être hors le champs de l’intime.

ANNEXE:

psychologie-positive/les-hormones-du-bonheur/

dopamine solution rire

Endorphine : bien-être

 Cette hormone est bien connue de tous les sportifs (et des rieurs également !) car elle provoque un sentiment de calme, de bien-être voire d’euphorie, tout en réduisant le stress et l’anxiété. Elle a également un effet antalgique important.

Dopamine : plaisir et action 

La sécrétion de dopamine est provoquée par des situations évaluées comme agréables par notre cerveau et génère un sentiment de plaisir (ce que l’on ressent lorsqu’on mange un morceau de chocolat ou qu’on gagne à un jeu, par exemple).

Le plaisir alors ressenti devient un formidable encouragement à l’action pour atteindre nos objectifs et créer à nouveau cette sensation (d’où un risque de dépendance à la dopamine).

La dopamine nous donne alors envie de faire, d’expérimenter et de relever des défis.

Sérotonine : régulateur de notre humeur

La sérotonine est bien connue pour être impliquée dans les phénomènes de dépression.

Elle est produite lorsque nous nous sentons reconnus à notre juste valeur, lorsque notre estime de nous-même est bonne. Elle nous fait sentir serein et optimiste alors qu’un manque de sérotonine favorise irritabilité et impulsivité.

Comme l’endorphine, la sécrétion de sérotonine est facilitée par l’activité physique. De plus, l’exposition au soleil favorise également un taux satisfaisant de sérotonine.

Ocytocine : l’hormone sociale

L’ocytocine joue un rôle clé dans nos relations sociales.

calin solution rire

En effet, elle est produite lors de relations sociales positives (par exemple : un câlin, des compliments reçus ou donnés, lorsque nous faisons ou recevons un cadeau…).

Elle crée en nous un sentiment d’intimité et de confiance qui facilite en retour les interactions sociales et les comportements de type altruiste ou coopératifs.

Conseil : Autorisez vous des purs moments de tendresse. Prenez dans les bras votre partenaire, vos enfants ou vos animaux. En suivra un véritable shoot d’ocytocine qui vous rendra encore plus apte à entrer en relation avec autrui !  http://www.solution-rire.fr/psychologie-positive/les-hormones-du-bonheur/

[1] en psychologie, phénomène de disparition ou réduction très importante des défenses face à un événement ou une situation exceptionnelle

 

SAMEDI DIMANCHE 9H15 ON PLANERA TOUT EN FAISANT LES HYDRAVIONS A LA SALIE SUD.

BALADE DU 28 JUILLET DITE BALADE DES OLYMPIADES DU DEUXIÈME ÂGE POST PUBÈRE

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, LOULOUS, LOULOUTTES, PROUPROUS, PROUPROUTES...

Allez la France, allez la France.......

Mais où??????

On accueille les Jeux OLYMPIQUES, normalement c'est magique, une grande fête populaire, le symbole de la fraternité et ne voilà-t-il pas que l'on se retrouve avec PARIS assiégé, PARIS ficelé, PARIS ligoté, PARIS muselé....

Bistrotiers, restaurateurs, commerçants (quoiqu'à part ceux de la place Vendôme, du faubourg St Honoré et tous les petits vendeurs de légumes de ces quartiers macronisés de premiers de cordée) à la diète!

Les jeux devaient nous enrichir, nous divertir, être une fête. On se baigne dans la seine, ohh la belle affaire. Entre Valérie Pécresse, Anne Hidalgo et AOC c'est les vachettes lâchées en plain Paris. Les écarteurs parisiens et banlieusards renforcés par les touristes internationaux sauteront, feinteront, écarteront corde à terre ou pas, pour éviter le mal des transports, le racket des hirondelles ou de ce qu'il en reste, capées, blindées, robocoppées. 

Et pendant ce temps là, le roi ou la reine macron premier, va pavaner, défiler, se vantant de son déni de démocratie, attendant d'adouber, prenant son temps pour s'en croire maître, attendant la prochaine crise, plus grave, plus extrême afin qu'il en profite pour s'ériger en oxymore républicain, en nouveau Napoléon, le IV ème, usant de l'article 16 au nom de la sûreté et de la protection de la France et comme Pétain à force d'à force, rendre la France  "Touquet",  afin que Brigitte puisse continuer à se cacher derrière sa mise en plis.

 

ARTICLE 16. de la constitution/

Lorsque les institutions de la République, l'indépendance de la nation, l'intégrité de son territoire ou l'exécution de ses engagements internationaux sont menacées d'une manière grave et immédiate et que le fonctionnement régulier des pouvoirs publics constitutionnels est interrompu, le Président de la République prend les mesures exigées par ces circonstances, après consultation officielle du Premier ministre, des présidents des assemblées ainsi que du Conseil constitutionnel.

Il en informe la nation par un message.

Ces mesures doivent être inspirées par la volonté d'assurer aux pouvoirs publics constitutionnels, dans les moindres délais, les moyens d'accomplir leur mission. Le Conseil constitutionnel est consulté à leur sujet.

Le Parlement se réunit de plein droit.

L'Assemblée nationale ne peut être dissoute pendant l'exercice des pouvoirs exceptionnels.

Après trente jours d'exercice des pouvoirs exceptionnels, le Conseil constitutionnel peut être saisi par le Président de l'Assemblée nationale, le Président du Sénat, soixante députés ou soixante sénateurs, aux fins d'examiner si les conditions énoncées au premier alinéa demeurent réunies. Il se prononce dans les délais les plus brefs par un avis public. Il procède de plein droit à cet examen et se prononce dans les mêmes conditions au terme de soixante jours d'exercice des pouvoirs exceptionnels et à tout moment au-delà de cette durée.

Et bien Dimanche on marchera et on se baignera car si on résiste au sel, au froid et au vent, on résistera à tous les impétrants. 

Impétrant: Celui (celle) qui a obtenu de l'autorité compétente (où? c'est pas gagné) ce qu'il (elle) avait sollicité (charge, titre, privilège).

DIMANCHE 9H45 AU WHARF EN MAILLOT ROUGE........

BALADE DU DIMANCHE 14 JUILLET DITE BALADE DES RÉCHAUFFÉS, DES PAS FRILEUX, DES PATRIOTES UKRAINIENS, RUSSES, PALESTINIENS, ISRAÉLIENS, SOMALIENS, ÉRYTHRÉENS, BURKINABÉS, NIGÉRIANS, IVOIRIENS, BIRMANS, IRANIENS, LIBYENS, YÉMÉNITES, MALIENS, TCHÉTCHÈNES, TAÏWANAIS……..TOUS CEUX POUR QUI LA FÊTE NATIONALE EST UNE PURGE……..

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, LÉVRIERS AFGHANS, BERGERS ALLEMANDS, ÉPAGNEULS BRETONS, DOGUES ARGENTINS, MÂTINS ESPAGNOLS, BOUVIERS SUISSES, PÉKINOIS, DALMATIENS, YORKSHIRES, COURANTS ANGLAIS, BULLDOGS ANGLAIS, BERGERS PICARDS, DOGUES DE BORDEAUX......

Une bonne nouvelle en cachant toujours une mauvaise, voilà t-il pas que le macronisme s'est pris une baffe, que dis je, un aller retour. LFI et son leader maximo, théoricien de la non prise de pouvoir aux allégories Hugoliennes mais aux idées un peu trop hypocrites si ce n'est perverses par leur paradoxes non assumés est tellement content d'avoir réchappé à la correctionnelle qu'il se croit roi du Monde. Quant au RN en quête d'une virginité, il se retrouve en position de doubler tout le monde en 2027 ou même avant au nom du changement et d'une rupture qui n'en est pas une! avec un programme économique de gauche et une moralité toute chrétienne dans sa capacité à avoir des indulgences mal à propos.....

Bravo! Heureusement le diablotin Lewis Hamilton a remis les pendules à l'heure et la France a réintégré son rang de 4° puissance européenne de football. Merci M'Bappé d'être l'arbre qui a caché la forêt de nos rêves d'hégémonie multiraciale dans un monde inégalitaire à souhait. La compétition OUI, mais pas si tout le monde n'a pas les mêmes chances.

Hors notre pays est une terre d'immigration, fécondée par le reste du monde, où la couleur halée est une dominante qui donne bonne mine à tous.

Voilà le cadre des balades ce dimanche, on défilera à la salie. Rosés car de bronzage que nenni. On profitera d'un moment de paix et de concorde basé sur la frilosité à laquelle nos blanches et pâles peaux nous condamnent!

DIMANCHE A 9H45 PARKING DU WHARF, ON SE RENDRA EN BORDURE D'OCÉAN POUR NOUS TREMPOUILLER LES PETONS QUI NOUS SERVENT A RESTER QUAND LE VENT EST CONTRAIRE!!!!

BALADES DU 7 JUILLET, DITES BALADE DES CITOYENS ET CITOYENNES QUI N’ONT PAS INTÉRÊT A FAIRE N’IMPORTE QUOI …… MAIS QUI FERONT CE QU’ILS VOUDRONT …..COMME D’HAB!!!!!

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, POLYGLOTTES, POLITIQUES, POLYSÉMIQUES, POLITICARDS, POLITICIENNES.....POLYANDRES, MONOPOLITAINES.... 

 

TEXTE TIRÉ D'UN ARTICLE PARU DANS "THE CONVERSATION":

Intolérance, violence : il n’y a pas d’équivalence entre extrême droite et extrême gauche

Les travaux présentés dans cet article ont été menés par des chercheuses et chercheurs en psychologie sociale, mais aussi en sciences politiques, en neurosciences, en génétique comportementale, en primatologie. Toutes et tous partagent la conviction que le comportement politique ne saurait être expliqué par une seule discipline de recherche.

 

1° remarque:

les individus ont une position idéologique stable, c’est-à-dire une position sur le continuum politique allant de l’extrême gauche à l’extrême droite qui varie peu au cours du temps ou de leur vie. Cette position les situe sur l’échelle de conservatisme Wilson-Patterson ou une échelle simple allant de « très à gauche » à « très à droite ».

Plusieurs décennies de recherche en psychologie sociale montrent invariablement que plus les personnes sont de droite, plus elles sont intolérantes (par exemple, racisme, sexisme, homophobie, antisémitisme). À l’inverse, plus les personnes sont de gauche, plus elles sont tolérantes.

Cette différence entre les personnes de gauche et de droite s’observe jusqu’au phénomène de déshumanisation, un mécanisme psychologique par lequel des personnes sont perçues comme moins « humaines » et, par conséquent, ne sont pas pleinement prises en compte sur le plan moral.

 

Déshumanisation flagrante

Nour Kteily (chercheur en psychologie sociale à l’université Northwestern) et ses collègues ont développé une mesure de la déshumanisation basée sur la représentation populaire de l’évolution humaine (c.-à-d., un primate courbé qui avance vers la droite et se redresse progressivement pour « finir » en Homo sapiens redressé). Les participantes et participants doivent placer différents groupes sur cette représentation.

 

Les résultats des premières études menées aux États-Unis (2 293 participantes et participants), en Angleterre et en Hongrie (1 181 participantes et participants) montrent que les personnes tendent à juger les groupes dominants comme « pleinement évolués » (Étasuniens, Français, Australiens, notamment) et les groupes subordonnés comme « moins évolués » (personnes arabes, musulmanes, migrantes, notamment). Ces résultats ont été répliqués dans plus d’une dizaine de pays auprès de plusieurs dizaines de milliers de personnes.

Cette différenciation hiérarchique entre groupes est non seulement réfutée par la recherche scientifique, mais elle explique un large ensemble d’attitudes hostiles, notamment les préjugés racistes, le rejet du soutien aux personnes migrantes, la justification des injustices, le militarisme, le soutien à la torture, le soutien à des représailles violentes après une attaque, un moindre souci pour les victimes civiles d’un conflit quand elles appartiennent à un groupe de faible statut.

Les attitudes autoritaires, plus précisément l’autoritarisme de droite et l’orientation à la dominance sociale, sont les prédicteurs les plus robustes de la déshumanisation : plus les personnes ont des scores élevés aux échelles de mesure de ces attitudes, plus elles présentent une propension à la déshumanisation, une préférence pour la droite politique, et une inclination à la violence intergroupe.

 

Hypothèse de la symétrie idéologique

Le consensus scientifique voulant que l’autoritarisme, l’intolérance soient plus répandus à droite qu’à gauche semble s’éroder depuis les années 2010. Des chercheurs ont récemment soutenu que les personnes de gauche sont aussi autoritaires et intolérantes envers les individus qui ne partagent pas leurs valeurs que les personnes de droite.

Cette « hypothèse de la symétrie idéologique » a depuis été réfutée notamment par Vivienne Badaan et John T. Jost.

Asymétrie dans les préjugés

Vivienne Badaan (chercheuse en psychologie sociale à l’université américaine de Beyrouth) et John T. Jost (chercheur en psychologie sociale à l’université de New York) ont pointé deux problèmes. Premièrement, des asymétries dans la force des préjugés sont fréquemment observées même dans les études qui prétendent fournir des preuves de symétrie. Une récente étude montre que l’hostilité des personnes de droite envers les personnes de gauche est plus importante que l’hostilité des personnes de gauche envers les personnes de droite. L’hostilité la plus forte est observée chez les personnes d’extrême droite.

Deuxièmement, les études qui prétendent fournir des preuves de symétrie reposent sur une procédure qui consiste à demander aux personnes de rapporter sur un thermomètre symbolique le degré de « froideur » ou de « chaleur » ressentie à l’égard de certains groupes. Les personnes de gauche expriment généralement des attitudes « tièdes » envers les personnes de droite, rarement « froides ». Or le fait d’avoir des attitudes « tièdes » à l’égard de certains groupes de personnes, de ne pas être enthousiaste à l’égard de leurs activités politiques est loin d’exprimer des préjugés, du moins si l’on se réfère à la définition de la notion de préjugé qui prévaut en psychologie sociale.

En 1954, Gordon Allport a défini les préjugés comme une hostilité injustifiée qui se manifeste par la discrimination, l’exploitation, et des crimes de haine. Il n’y a pas de préjugés « inoffensifs », les préjugés sont des réponses viscérales émotionnelles négatives provoquant des comportements hostiles.

Vivienne Badaan et John T. Jost rappellent que, dans cette tradition de la psychologie sociale, « les préjugés sont un problème social sérieux qu’il convient d’analyser et de traiter – avec de vraies victimes, telles que les victimes de crimes de haine – et ce n’est pas une notion à utiliser à la légère ni un phénomène à banaliser […] Il ne s’agit pas d’une notion qui peut être assimilée, par exemple, à des attitudes tièdes ou à un discernement critique. »

Ces chercheurs estiment qu’il est important de ramener l’étude des préjugés à ses racines en psychologie sociale, en tant que tentative de comprendre et d’atténuer les problèmes sociaux associés à l’hostilité, l’agression, la violence dirigées contre les membres d’un groupe. Cela implique que toute étude sérieuse des préjugés prenne en compte leurs conséquences dans le monde réel, notamment les crimes de haine.

Asymétrie dans les crimes de haine

Les crimes de haine sont des actes violents commis contre des personnes en raison de leur appartenance (réelle ou supposée) à un certain groupe social. Si l’intensité des préjugés est équivalente à gauche et à droite du continuum politique, les crimes de haine commis contre les minorités ethniques, religieuses et sexuelles (qui sont détestées de manière disproportionnée par les personnes de droite) devraient être aussi fréquents que les crimes de haine commis contre les groupes avantagés (que les personnes de gauche sont supposées détester de manière disproportionnée). Vivienne Badaan et John T. Jost ont analysé les statistiques sur les crimes de haine commis aux États-Unis sur la période 1996-2018 :

Or, les données montrent que les crimes de haine contre les minorités sont beaucoup plus fréquents que les crimes de haine contre les groupes favorisés. Si l’on part du principe que les crimes de haine sont la conséquence directe de préjugés extrêmes, il apparaît que les individus de droite sont beaucoup plus enclins à des formes extrêmes de préjugés (infra-humanisation, déshumanisation animalistique, déshumanisation flagrante notamment) que les personnes de gauche.

Empathie, autoritarisme, intolérance

Martin Bäckström et Fredrik Björklund (chercheurs en psychologie sociale à l’université de Lund) ont examiné la relation entre l’empathie, l’autoritarisme de droite, l’orientation à la dominance sociale, et le préjugé généralisé.

L’empathie désigne la capacité à ressentir et comprendre les émotions des autres individus. Cette compétence est centrale pour le souci pour autrui, la prise de perspective, les émotions morales (comme la compassion, la culpabilité), le comportement d’aide, l’altruisme, la coopération. Le préjugé généralisé désigne la tendance à avoir une attitude défavorable à l’encontre des personnes perçues comme dissimilaires à soi (racisme, sexisme, homophobie, etc.)

Les participants ont complété un questionnaire comprenant l’indice de réactivité interpersonnelle, une échelle souvent utilisée pour évaluer la tendance spontanée des personnes à l’empathie, ainsi que l’échelle d’autoritarisme de droite, l’échelle d’orientation à la dominance sociale, et plusieurs échelles de préjugés (par exemple, racisme, sexisme, validisme).

Les résultats montrent que moins les personnes sont dotées d’empathie, plus elles ont un niveau élevé d’autoritarisme, et plus leur niveau de préjugé généralisé est élevé.

Figure 1. Modèle proposant qu’un déficit d’empathie favorise l’autoritarisme, qui détermine ensuite le niveau de préjugé généralisé. Les signes – et + précisent la relation entre les variables : relation négative entre l’empathie et l’autoritarisme, relation positive entre l’autoritarisme et le préjugé généralisé. L’étude de Martin Bäckström et Fredrik Björklund est corrélationnelle, les relations entre variables ont été testées par la modélisation d’équations structurelles.

De manière cohérente, la recherche en neurosciences montre que les réponses neurophysiologiques d’empathie sont plus faibles chez les personnes de droite par rapport aux personnes de gauche.

D’autres travaux soutiennent l’idée que l’empathie exerce une influence causale sur les attitudes autoritaires, le conservatisme et les préjugés intergroupes. Notamment, des chercheurs ont observé que des lésions cérébrales dans des zones importantes pour l’empathie provoquent une augmentation du niveau d’autoritarisme chez les personnes. Attention, ce résultat ne signifie pas que l’autoritarisme soit la conséquence de lésions cérébrales : les études lésionnelles permettent de compléter les données disponibles, de clarifier les relations de causalité entre variables.

Aucune équivalence entre « les extrêmes »

La recherche en psychologie sociale sur les relations intergroupes (préjugés, stéréotypes, discrimination) a débuté dans les années 1930. Les études ont souvent porté sur les pays occidentaux, cependant la recherche montre que les phénomènes présentés ici (orientation à la dominance sociale, autoritarisme de droite, conservatisme, préjugés, déshumanisation) sont universels.

Dans leur ensemble, les travaux présentés dans cet article montrent qu’il n’y a aucune équivalence entre « les extrêmes ». Plus les personnes présentent un déficit d’empathie, un niveau élevé d’autoritarisme, de préjugés, de déshumanisation, de violence intergroupe, plus elles se situent à droite ; plus les personnes présentent un souci empathique, un niveau faible d’autoritarisme, de préjugés, de déshumanisation, de violence intergroupe, plus elles se situent à gauche. « Les extrêmes » s’opposent dans leur conception de la justice sociale, leur souci pour autrui, les non-humains, et l’environnement.

Ces traits s’objectivent dans la surreprésentation de l’extrême droite dans les crimes de haine et le terrorisme (des années de plomb à aujourd’hui) ; et dans la surreprésentation de l’extrême gauche dans les initiatives de lutte pour la justice sociale, de solidarité envers les personnes les plus vulnérables (comme les personnes migrantes), les initiatives de défense des droits, des libertés, de l’environnement.

Une critique consiste à pointer les exactions commises au XXe siècle au nom de certaines idéologies de gauche. Toutefois la recherche en psychologie sociale suggère que cette violence soit le fait de personnes « de droite ». Par exemple, une série d’études menée en Union soviétique montre que plus les personnes ont un score élevé à l’échelle d’autoritarisme de droite, plus elles soutiennent le régime soviétique, rejettent les dissidents politiques, et sont intolérantes (sexisme, racisme, antisémitisme notamment). Les résultats montrent également que les membres du parti communiste russe ont des scores plus élevés à l’échelle d’autoritarisme de droite que les membres des autres organisations politiques.

Selon Bob Altemeyer (chercheur en psychologie sociale à l’université du Manitoba), l’alliance entre des leaders à forte orientation à la dominance sociale et des subordonnés autoritaires de droite représente une « union létale » car elle augmente fortement le risque de violence politique, les premiers appelant à l’action violente, les seconds passant à l’acte. La montée du RN nous confronte directement à cette menace, en sus d’une augmentation des inégalités sociales et d’une intensification de la crise environnementale.

JE N4AI RIEN A RAJOUTER.

LES BALADES ÉTANT FONDÉES SUR LE PARADIGME  DU ¨PARTAGE DE TERRITOIRE DE FAÇON APAISÉE, LA DÉRACIALISATION DU DISCOURS, LE COMBAT CONTRE LE PATRIARCAT ET LE VIRIARCAT, LE RESPECT DE L'AUTRE ET SON ACCUEIL, LES CHIENS ÉTANT LE MÉTA MODÈLE DE L'AUTRE ÉTRANGE SI CE N'EST ÉTRANGER, DES CHIENS ET DES ALLIGATORS VOLANTS QUI FONT DES "BALADES UN LIEU UNIQUE DE TRAVAIL SUR LA PRISE EN COMPTE DE L'AUTRE DANS UN "PROJET COLLABORATIF ET COOPÉRATIF" BASE SUR L'ÉNACTION ET LA COMMUNICATION.

MORALITÉ: DIMANCHE BALADE POUR LES MOUS HDU GENOUX, LES MASSEUSES, LES CALINEURS,  LES TENDRES, LES PLEUTRES, LES LÂCHES, LES PEUREUX MAIS LES RÉSISTANTS QUAND MÊME. 9H45 WHARF

BALADES DU 15 ET 16 JUIN DITES BALADES DES APEURES

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES,  vous complèterez...

Dimanche dernier, gros crachin innocent en balade, puis sur la fin grosse pluie de merde.

Dimanche soir orage et profitant d'une semi érection molle équivalent à un quart ou un demi de bière bien moussu provoquée par Ferrari,  tonnerre et coup de foudre, le zizi enflammé, les coucougnettes en chemise, me voilà à courir autour de a maison cherchant la piscine pour me mettre les fesses au frais et les idées au  clair.

Rien n'y fait. A la télé Boloré les gueules enjouées et satisfaites font de leur sourires les serpettes qui couperont les tiges de roses fanées que Mitterrand nous avait laissé en souvenir d'un bon vieux temps. Quoique, comme disait mon Général, lorsque la connerie gagne il n'y a plus qu'à savoir que la bêtise a toujours était du côté de Boulanger!

Darty sors de ce corps, pas d'opportunisme libéro-constructor!

Vous allez voir la peur sur leurs visages s'ils gagnent. Le nombre d'inepties qu'ils vont débiter, de bêtises et d'erreurs qu'ils vont faire et en face d'eux les auto-satisfaits se rongeront les ongles et sanctuariseront leur aveuglement et leur duplicité.  La marge de manœuvre aucune avant la faillite et la mise au banc des sociétés.

Les baleines continueront à péter, les agro-industriels, à ouvrir des porcheries géantes pour le bien - être d'Herta et des vallées bretonnes. Les postes frontières se fermeront. Le trafic de drogue se développera, le clientélisme fleurira et les ratonnades seront ouvertes tous les dimanches et samedi comme les jours de chasse pour la régulation des couleurs et des gibiers à plumes et à poil.

Les prisons seront ouvertes, les milices créées, et, au nom de la sécurité, une police intérieure d'opinion et de déclaration sera là.

 

PEUT ÊTRE SAMEDI SI IL Y A DU MONDE, SUREMENT DIMANCHE, MÊME LIEU, MÊME HEURE.

MANIFESTEZ VOUS!!!

BALADES DU 9 JUIN 2024 DITE BALADE DU DÉSERTEUR DU SAMEDI (QUOIQUE POUR FAIRE PLAISIR A ÉDITH, GILLES, LÉA, S’IL E DEMANDE TRÈS GENTIMENT…)

MES CHERS TOUS, TOUTES, TOUTOUS, TOUTOUTTES, LOULOUS, LOULOUTTES, DE POMÉRANIE, D'AILLEURS........

Panier de fruits peinture Giuseppe Arcimboldo 12 x 16 pouces imprimé art  encadré

Arcimboldo mon ami, mon cher Giuseppe, sors moi de cette galère. Laquelle? Celle à rames bien sûr. Celles que je m'efforce de patouiller afin de remonter le courant de mon incommensurable paresse qui m'entraîne, plus fort que les chutes de  YUNTAI, bidonnées, de 314 m de dénivelé, alimentant le lac de mon narcissisme, m'offrant une surface plane pour que mon incommensurable plastique se reflète et révèle au monde mon profil dystopique.

 

On a découvert qu'une célèbre cascade en Chine contenait de l'eau coulant d'un tuyau - Photo 1.

Et bien me voilà bien. Le grand timonier, roi solaire d'un socialisme à l'image de l'élite modeste et honnête d'un parti mettant au dessus de tous et de tout le BITCOIN et les sardines à l'huile de ricin pour chacun de nous, nous a encore une fois roulé de printemps dans la farine.

La seule cellule communiste des Abatilles à usage privé en est fort marie. Donc que voter maintenant que Poutine frappe à la porte, que le loquet n'est pas fermé, pour passer les dernières semaines de la paix à brûler par les deux bouts la chandelle qui éclaire mon chemin de vie et dont vous profitez par manque d'imagination.

Là est toute la question. Sans faire de la politique bashing, le niveau du débat fait peur. La télé réalité va gagner la guerre des ondes? non les élections! Jordan, le Kevin du paysage français, Marion et Eric les Dupont et Dupond transgenre, qui se sont auto proclamés la nouvelle aristocratie française, descendant direct de saint Lepen, le déni généralisé du réchauffement climatique, la prétention de Macron, l'imbécilité de Mélenchon, Milei de gauche, et j'en passe et pas des meilleures. Les communications paradoxales, contre intuitives relayées par les fakes news qui ne sont jamais aussi ridicules que les discours officiels, minent le débat et l'échange. Pour débattre il faut être deux mais deux ayant au moins l'envie et le besoin d'échanger sur des rationalités, à  reconnues, affichées même si elles sont divergentes. Mais aucun débat de fond,  uniquement des invectives!

Alors qu'en ce moment, le débat est confisqué à travers les affirmations non tracées, non fondées et constitutives d'un discours uniquement marketing de pouvoir privilégiant le bouc émissaire noir de préférence, On va hériter du plus magnifique incompétent et de la blonde la plus perverse qui se croit élue de Dieu, je veux dire Marion et le petit Jordan.
Moralité, dimanche je risque fort de ne pas voter ou alors du bout des doigts mais pour qui? Pour les partisans de la paix, de l'accès aux bordels subventionnés pour les vieux bandant mou, pour l'assistance respiratoire par jeune fille post pubère toujours pour les tremblotants et surtout pour ceux qui préserveront mes arbres, l'accès à you porn anonyme et gratuit etc.

 

 

SAMEDI SANS GARANTIE (PLUIE) 14 30 RUE DES GEMMEURS,

DIMANCHE, SÛR, WHARF 9H45.